Phénomène de sté :L'addiction au web.

Phénomène de sté :L'addiction au web. - Société - Discussions

Marsh Posté le 13-11-2008 à 02:42:46    

L'addiction au web se ressent lorsque passer des journées ou des nuits entières devant son écran d’ordinateur pour participer à des jeux en réseau (Second Life par exemple), des forums ou des chats devient la principale activité. Une dangereuse spirale dont il est très dur de sortir. Et les répercussions sur le couple peuvent être fatales :(  :pt1cable:  
 
et la vie réelle ???  [:cassandra-languedoc]  
 
qu'en pensez-vous ?  
 

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 02:42:46   

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 02:48:07    

First  [:uriel]  
 
Go get a life noob !
 

Spoiler :

oui c'est un phénoène déplrable .. tan pis


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Mes copines et moi, on est toutes à poil ici .
Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 03:08:06    

si on est pas en couple y'a pas de problemes alors :D


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xXx ventes FeedbacK
Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 14:38:09    

la_salace a écrit :

First  [:uriel]  
 
Go get a life noob !
 

Spoiler :

oui c'est un phénoène déplrable .. tan pis



oui et non : à consommer avec modération, je crois  :pt1cable:

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 14:38:36    

sospc a écrit :

si on est pas en couple y'a pas de problemes alors :D


 
ben si, va, nigaud !! :ange:  :pt1cable:

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 14:43:29    

attention, ce n'est pas drôle, mais ces exemples, je les prend également avec de la....distance !!
 
"On pourrait presque parler de la drogue du 21ème siècle… L’addiction au web est en train de faire des ravages chez beaucoup d’adolescents et commence à toucher certains adultes également. Les "no-life" ou encore "geeks" comme on les surnomme se retrouvent plongés dans une vie virtuelle qu’ils ont de plus en plus de mal à quitter pour retourner à une vie réelle qu’ils trouvent bien insipide. Nicolas et Candice, ensemble depuis cinq ans, en ont fait les frais… Lorsque Candice a commencé à s’intéresser au célèbre jeu Second Life, rien ne laissait présumer du pire. Ils nous racontent leur histoire pour tenter d’y voir plus clair sur ce phénomène et peut-être prévenir des dangers de cette addiction…  
 
Candice et Nicolas ont tous les deux la trentaine et se connaissent depuis cinq ans et demi. Ils vivent ensemble depuis maintenant quatre ans. Ou plutôt devrait-on dire, ils vivaient ensemble. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Les deux amoureux se sont rencontrés sur les bancs de la fac de droit. Candice a choisi de devenir avocate, Nicolas, lui, est devenu notaire. Une réussite professionnelle, un bel appartement, des amis, de la famille, le couple s’estime privilégié, épanoui et heureux. Jusqu’au jour où Candice entend parler de Second Life et qu’elle décide d’aller voir cela de plus près…  
 
 
 
© iStcokDouble je
 
"C’était de la simple curiosité raconte Candice, je voulais juste voir à quoi ressemblait Second Life puisque tout le monde en parlait autour de moi. J’ai donc créé un personnage. Au départ, il ne se passe pas grand-chose dans ce jeu. On a un personnage, on l’habille, on lui fait faire un tour. Rien de transcendant. Je n’ai pas vraiment accroché. Et puis un collègue de travail m’en a parlé et m’a expliqué le nombre de possibilités avec ce jeu. Toute cette vie parallèle qui s’était créée sur Second Life. Comme une vraie vie. On pouvait tout y faire. Acheter, vendre, rencontrer des gens, danser, faire du sport… Je suis donc retournée dessus un soir, en me disant qu’il fallait que j’y passe plus de temps pour en comprendre toutes les applications et en cerner l’intérêt. Je me collais sur l’ordi environ deux heures en rentrant du travail. Nico rentrait plus tard que moi, donc, il n’y avait pas de souci."
 
"Et puis enchaine Nicolas,  elle s’est mise à me parler de Second Life tous les soirs. Quand on dinait, elle me racontait ce qu’elle avait fait sur le jeu. Avant elle me racontait son boulot, ses sorties, là, elle me parlait de son évolution dans le jeu. J’ai vraiment compris qu’il y avait un début de problème, le jour où elle s’est relevée après qu’on se soit couché et que je me sois endormi, pour aller jouer. La voir devant l’ordi à 3 heures du matin, j’ai eu un frisson. Une intuition, en me disant : là, il y a un problème, ça devient une addiction."
"Nico m’en a parlé le lendemain, poursuit Candice. Il m’a dit très gentiment que je passais un peu trop de temps sur l’ordi et sur ce jeu et que je devrais peut-être prendre du recul. Sur le coup, je me suis super énervée. Je lui ai dit qu’il était complètement fou ! Que ce n’était pas parce que je me prenais un peu à ce jeu que j’étais dépendante et que c'etait une addiction. Et surtout je lui ai soutenu que je n’en avais rien à faire et que bien évidemment, j’arrêtais de jouer sur le champ pour lui prouver qu’il avait tort. Le soir même on est sorti, et j’avoue ne pas trop avoir pensé à Second Life. Mais le lendemain matin, je mourrais déjà d’envie d’aller sur le jeu. Toute la journée j’y ai pensé. A la fois inquiète que ça m’obsède autant, et en même temps furieuse que Nico m’empêche de jouer à Second Life : je trouvais ça ridicule. Le soir, je suis rentrée un peu plus tôt et hop, je me suis remise sur le jeu. Je crois que c’est à ce moment-là que tout a basculé."
 
 
 
© iStockGame over dose
"Le cauchemar a commencé, explique Nicolas. Candice était devenue complètement accro, c'était vraiment une addiction. De deux heures par jour elle est passée à 5 heures le soir en rentrant du travail. On dinait de plus en plus tard. Et puis un soir, elle m’a carrément dit de manger seul parce qu’elle ne pouvait pas quitter le jeu comme ça. Les disputes ont commencé ; j’avais beau lui dire que ce n’était pas normal de passer autant de temps sur Second Life, qu’elle perdait la tête, Candice était persuadée que je noircissais le tableau et qu’il n’y avait rien de mal. Que pleins de gens jouaient à ce genre de jeu et à Second Life en particulier. Surement, mais pour moi ce n’était pas une raison : ça faisait deux mois et demi qu’elle jouait, qu’elle était rentrée sur Second Life et que sa vraie vie ne ressemblait plus à grand-chose."
 
"J’ai perdu pied effectivement, explique Candice. Une drogue, une addiction, il n’y a pas d’autre mot ; je pensais Second Life, je rêvais Second Life. Ça m’obsédait toute la journée au travail. Je ne dormais plus ou seulement deux ou trois heures par nuit, pour pouvoir jouer. Et puis j’ai commencé à avoir dans l’idée de travailler dans Second Life. Les grandes marques avaient leurs stands, certains faisaient vraiment recette, je pensais pouvoir y arriver. Par l’intermédiaire d’une amie, une boîte d’événementiel m’a demandé de créer leur stand sur le jeu. J’étais folle de joie, je pensais que c’était l’opportunité de débuter une carrière sur ce réseau. Mais j’avais besoin de temps, de plus de temps, les nuits ne suffisaient plus. Voilà comment 5 mois après avoir mis un pied sur Second Life, j’ai démissionné du jour au lendemain du cabinet d’avocat ou j’exerçais… "
 
"Elle ne m’avait rien dit. C’est peut-être ça le pire, soupire Nicolas. Elle avait démissionné sans me le dire. Je rentrais le soir, je la voyais sur l’ordinateur. On ne se parlait presque plus de toute façon. Je dinais seul, je pouvais sortir seul. Je pense que j’aurais pu passer la nuit dehors, elle ne se serait rendu compte de rien. J’ai tout essayé pour la faire réagir. Etre gentil, attentionné, j’ai essayé d’être plus corrosif et blessant dans mes paroles. Je l’ai menacée de partir si elle n’arrêtait pas. J’ai demandé à ses amis de lui en parler, à sa famille… Mais rien à faire. Et la perspective de me perdre ne semblait pas l’atteindre non plus. Je pense qu’elle devait même avoir une liaison virtuelle sur Second Life, alors moi forcément, je ne servais à rien ! Et puis j’ai découvert que Candice avait laissé tomber son travail pour ce jeu… "
 
 
 
© iStockTroisième Vie
"Je ne l’ai jamais vu comme ça, se rappelle Candice. Il est devenu fou… Il a pris l’ordi et l’a lancé par terre. Il s’est mis à pleurer. C’était horrible, terrible. Parce que je ne comprenais même pas. Je me répétais, mais enfin, pourquoi est-ce qu’il se met dans cet état là, il est fou. Je n’avais plus conscience du monde qui m’entourait. Que ce soit matériellement ou humainement parlant. Je ne pensais plus et je ne vivais plus qu’à travers Second Life. Je me laissais aller aussi physiquement. J’étais devenue une épave, un vrai zombie. Et plus je m’observais, plus je me disais que mon personnage sur Second Life était bien plus représentatif de ce que je voulais être. Cercle vicieux bien évidemment… Ma démission a été la goutte d’eau pour Nico. Il a rassemblé mes affaires et m’a demandé de partir. Je n’ai même pas cherché à lui faire changer d’avis. Je suis repartie chez mes parents. En 5 mois j’avais tout perdu. Mon amoureux, mon appart, mon travail, mes amis… tout. C'est là que je me suis dit que le mot addiction me caractérisait dorénavant."
 
"Mettre Candice à la porte, enchaine Nicolas, je ne l’ai pas fait de gaîté de cœur évidemment. Je pensais que ça pourrait être l’électrochoc qui la ferait revenir à la vraie vie. Je pensais qu’elle allait réaliser, en rentrant chez ses parents que l'addiction à ce jeu était en train de détruire sa vie.  Mais absolument pas. Une semaine sans nouvelles, je l’ai appelée, et elle m’a dit qu’elle était sur le point de monter sa propre boite sur Second Life. J’ai raccroché. Je me suis dit que je ne pouvais plus rien pour elle. Aucune nouvelle durant trois mois.""Durant ces trois mois, poursuit Candice, mes parents m’ont mise au sevrage de cette addiction. Oui, comme une droguée. J’étais en cure de désintoxication. Plus d’ordi à la maison, on contrôlait mes sorties. Je me trouvais nulle, sans intérêt. Moi qui étais une avocate plutôt brillante, mignonne, extravertie et sociable, j’étais devenue une vraie loque. Et puis petit à petit, j’ai repris goût à la vie réelle, puisque de toute façon, je n’avais plus accès à ma drogue, à mon jeu, à Second Life. Au bout de ces trois longs mois, j’ai repris contact avec Nicolas. Mais le mal est fait. Pour le moment, on se revoit, mais Nico n’envisage pas plus. Quand à mon travail, je postule dans différents cabinets. Ce n’est pas facile d’expliquer pourquoi j’ai quitté l’ancien du jour au lendemain".
 
 
 
© Comment passe-t-on d’un simple loisir à une dépendance destructrice ?
 
Une société américaine de psychologie a présenté une étude réalisée par Kimberly Young, psychologue, portant sur 396 hommes et femmes, qui se connectent en moyenne sur Internet 38 heures par semaine. L’article dresse le constat de l’existence d’une vraie addiction, qui peut détruire les relations personnelles et de travail de ces utilisateurs obsessionnels, en les amenant à la perte de leur travail et à une désinsertion socioprofessionnelle. Les personnes atteintes des conduites addictives rapportées à l’Internet, ne sont pas des "ados farfelus", mais la plupart sont d’âge moyen, donnant l’impression d’être au sommet de leurs rendements et capacités. Les grands usagers on-line présentent tous les critères psychiatriques applicables aux alcooliques et aux grands toxicomanes. Les dialogues et les thérapies arrivent à déceler, par rapport aux descriptions des sensations ressenties, trois aspects prédominants : l’idée de communauté (rencontrer des amis virtuels), les fantasmes (l’adoption de nouvelles personnalités et les fantaisies sexuelles) et le pouvoir (l’accès instantané à l’information et à de nouvelles personnes). Il en résulte donc que malgré certaines apparences, les addicts de l’ordinateur ont tout de même quelques manques affectifs ou un manque de reconnaissance évident.
 
Comment peut-on les aider ?
 
 
 
Tout comme les drogués ou les alcooliques, lorsque l’addiction est trop forte, seule une aide médicale pourra aider la personne ; sous forme de thérapie, pour déceler les manques et réapprendre à communiquer verbalement avec son entourage. Et bien évidemment, comme on empêche un drogué de toucher à sa drogue, il faut impérativement faire disparaitre les ordinateurs, les modems ou les consoles de jeux de son environnement… "
 
 
 

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 16:11:09    

c'est n'importe quoi dans un sens, quelqu'un qui n'a de vie sociale que sur un jeu et qui le vit bien n'a pas vraiment de manques. sauf aux yeux des gens "normaux" qui sont si rapides a traiter de fou tout les gens differents d'eux.
 
etre un mouton ça c'est de l'addiction stupide et dangeureuse :o


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xXx ventes FeedbacK
Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 18:33:24    

moi je trouve ce post tres interessant au contraire.
et le post de nico est tres vrai.
 Toutes personne ayant touche a n importe quel MMO en s investissant un peu sais commen cela se passe. Il est tres facile de se prendre au jeux, et ensuite de simplement perdre son temps.

 

pour sospc : c est comme une drogue, tu perd le controle de toi meme.
Tu m'expliquera commen avoir une famille et un boulot et des amis (une vie quoi) si tu passe tout ton temps a tuer des gens online, ou bien faire du commerce online, ou bien a te bourrer la gueule toute la journe, ou bien fumer des join a longueur de journee, etc ...
Les causes de l'addiction de l'addiction sont peu etre differente, mais le resultat, sur le plan social est plutot le meme, tu perd le controle de ta vie, et tu te coupe de la realite.


Message édité par Profil supprimé le 13-11-2008 à 18:37:57
Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 18:59:44    

pourquoi parler de drogue, d'addiction?

 

j'assimile tout cela plus a de la passion, quelqu'un de vraiment passionné (par ce que tu veux) peut tres bien se mettre  a y passer son temps, son argent sa vie au detriment de tout le reste. ça n'a rien d'une addiction ou d'une drogue.

 

le jeu est un loisir, le web aussi, ça peut tout a fait etre une passion tres forte. je vois pas le rapport avec drogue et addiction. tout de suite les grands mots.

 

quand une personne passe son temps (et de façon plus que raisonnable) sur ses peintures, sur sa musique, sur sa passion en general, on parle pas d'addiction, limite on l'admire, c'est BIEN. c'est marrant tout de suite de vouloir dresser un tableau noir, dire que c'est MAL des que ça touche le web et les jeux videos.

 

Message cité 3 fois
Message édité par BiBi_PoK le 13-11-2008 à 19:00:40
Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 19:59:05    

A ce compte là tu peux être passionné par la drogue :o


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The relations of the soul to the divine spirit are so pure, that it is profane to seek to interpose helps.
Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 19:59:05   

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 20:22:51    

BiBi_PoK a écrit :

j'assimile tout cela plus a de la passion, quelqu'un de vraiment passionné (par ce que tu veux) peut tres bien se mettre  a y passer son temps, son argent sa vie au detriment de tout le reste. ça n'a rien d'une addiction ou d'une drogue.


C'est justement la définition de l'addiction

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 20:36:08    

BiBi_PoK a écrit :

pourquoi parler de drogue, d'addiction?
 
j'assimile tout cela plus a de la passion, quelqu'un de vraiment passionné (par ce que tu veux) peut tres bien se mettre  a y passer son temps, son argent sa vie au detriment de tout le reste. ça n'a rien d'une addiction ou d'une drogue.  
 
le jeu est un loisir, le web aussi, ça peut tout a fait etre une passion tres forte. je vois pas le rapport avec drogue et addiction. tout de suite les grands mots.  
 
quand une personne passe son temps (et de façon plus que raisonnable) sur ses peintures, sur sa musique, sur sa passion en general, on parle pas d'addiction, limite on l'admire, c'est BIEN. c'est marrant tout de suite de vouloir dresser un tableau noir, dire que c'est MAL des que ça touche le web et les jeux videos.
 


 
On parlle je pense dans ses expériences vécues : d'un phénomène qui devient pathologique, avec coupure avec son entourage, ses proches, on est pas bien lorsqu'on n'est pas sur le web, on n'a plus envie de sortir, de s'occuper de soi. Rien à voir avec la passion pour un loisir...je pense.

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 20:40:20    


 
C'est l'addiction à la monotonie.

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 20:45:56    

sur wiki :
La dépendance à Internet (aussi appelée cyberdépendance, cyberaddiction, trouble de dépendance à Internet et TDI) est sensée être un trouble psychologique entraînant un besoin irrésistible et obsessionnel d'utiliser Internet. L'expression addiction à Internet fut employée pour la première fois par la psychologue américaine Kimberly Young, lors d'un colloque de l’American Psychological Association (APA) à Toronto en 1996. C'est Otto Fenichel (1949), qui a soulevé le premier la question des " toxicomanies sans drogues ". Cependant il s'agit d'un canular produit par le docteur Ivan K. Goldberg : la dépendance à Internet est un symptôme et non un trouble à proprement parler. Le docteur Goldberg s'est inspiré de la dépendance aux jeux d'argent pour sa description de l'hypothétique "dépendance à Internet".
Causes et symptômes [modifier]
Selon le psychiatre américain, Ivan K. Goldberg : "La dépendance à Internet peut déterminer la négation ou l’évitement d’autres problèmes de la vie courante "[1]. La conduite addictive, traduit l’immaturité socio-affective qui détermine l’impossibilité de se construire une identité psychosociale véritable, solide. La situation est amplifiée par la coexistence d’un sentiment de non-valeur personnel, de non-reconnaissance.[2]
 
La dépendance à Internet se caractérise par l'incapacité de s'empêcher de se brancher à Internet et l'incapacité de contrôler le temps alloué à des activités reliées à Internet.
 
On parle de dépendance à Internet lorsque les symptômes suivants apparaissent :
 
le sentiment de bien-être et d'euphorie lors de l'utilisation d'Internet ;  
l’incapacité à arrêter d'utiliser Internet ;  
le besoin d'augmenter de plus en plus le temps d'utilisation d'Internet (le malade en vient à se lever la nuit pour utiliser Internet) ;  
le manque de temps pour la famille, les amis ou d'autres loisirs ;  
les problèmes d'assiduité ou de performance au travail ou à l'école ;  
les mensonges à la famille ou aux amis sur le temps consacré à Internet ;  
la dépression ou l’irritabilité lorsque la personne est privée d'Internet.  
Les psychiatres américains et allemands observent une très forte fréquence de ce trouble : le Berliner Zeitung avance le chiffre de un million pour l'Allemagne. En France, le problème commence à être décrit surtout chez les adolescents, très friands de jeux vidéos en réseau et de conversations (chat ou les visio-chats).
 
 
 Test de dépendance [modifier]
Test d'Orman[3]
 
1. Est-ce que vous passez plus de temps connecté sur l’Internet, que vous auriez pensé initialement ? OUI NON
 
2. Est-ce que ça vous dérange de limiter le temps passé sur l’Internet ? OUI NON
 
3. Est-ce que des amis ou des membres de votre famille se sont plaint par rapport au temps que vous passez sur l’Internet ? OUI NON
 
4. Est-ce que vous trouvez difficile de rester sans être connecté pendant quelques jours ? OUI NON
 
5. Est-ce que le rendement de votre travail professionnel, ou les relations personnelles, ont souffert à cause du temps que vous passez sur l’Internet ? OUI NON
 
6. Est-ce qu’il y a des zones de l’Internet, des sites particuliers, que vous trouvez difficile à éviter ? OUI NON
 
7. Est-ce que vous avez du mal à contrôler l’impulsion d’acheter des produits ou des services étant en relation avec l’Internet ? OUI NON
 
8. Avez-vous essayé, sans succès, d’écourter l’usage de l’Internet ? OUI NON
 
9. Est-ce que vous déviez beaucoup de vos champs d’action et satisfaction, à cause de l’Internet ? OUI NON
 
De 1 à 3 réponses positives, il y a une petite tendance à devenir addictif Internet.
 
Entre 4-6 réponses positives, il y a une chance de développer cette conduite addictive.
 
Enfin, entre 7 à 9 réponses positives, il y a une forte tendance à devenir dépendant.
 
 
 Types de dépendance [modifier]
Il existe plusieurs types de dépendance à Internet :
 
la dépendance à caractère sexuel (visite de sites pornographiques) ;  
la dépendance à des jeux vidéos, en particulier à des jeux en réseau ;  
la dépendance à caractère relationnel (courrier électronique, chat, forum de discussion, blog, Réseautage social, etc.) ;  
la dépendance générale qui ne se concentre pas sur un type de sites en particulier.  
 
 Traitement [modifier]
Comme tous les autres dépendants, le sujet nie souvent sa dépendance même lorsque celle-ci lui est mentionnée par ses parents et ses amis.
 
La meilleure solution pour le cyberdépendant est de consulter un professionnel comme un psychologue ou un médecin qui l'aidera à comprendre son problème, à en identifier les causes et qui pourra l'orienter vers les ressources disponibles pour vaincre sa dépendance.
 
 
 

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 20:49:19    

[quotemsg=16720717,13,388428]Une vie sans addiction doit etre bien monotone... .
 
la définition de l'addiction est esclavage  :pt1cable:  

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 20:55:06    

Nivo a écrit :

[quotemsg=16720717,13,388428]Une vie sans addiction doit etre bien monotone... .
 
la définition de l'addiction est esclavage  :pt1cable:  


 
C'est pas une définition. C'est juste un mot plus connu et illustré de plein d'exemple qui viens jouer le sens de ceux qui ne s'avous pas avoir un quelconque centre d'intérêt dans leur pauvre vie d'aseptique.

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 21:19:45    


 
tu veux certainement parler de ceux qui n'ont pas de passion dans la vie ? mais, j'estime qu'il y a une véritable différence entre passion et dépendance. Non ?

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 21:34:34    

Nivo a écrit :


 
tu veux certainement parler de ceux qui n'ont pas de passion dans la vie ? mais, j'estime qu'il y a une véritable différence entre passion et dépendance. Non ?


 
Est bien ta pensé n'est pas plus véritable que la dépendance que te combat.
 
 
Je disais dans le topic philo, qu'un sociétaire n'est rien sans la société toute entière.
 
 
Nous somme tous dépendants les un des autres.

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 21:47:17    


désolée, je ne saisis pas le sens de ta première phrase ?

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 21:49:21    


 
 
on est tous des addict du confort, du loisir, de l'electricité, du travail de l'eau courante, et tiens meme des chiottes, un truc tout con. t'irais difficilement chier ailleurs que dans un chiotte non? t'es addict  [:haha]  
 


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Entrez dans la dance clap clap, les soucis n'ont pas de chance, la musique commence, clap clap, ça c'est Fraggle Rock!
Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 22:01:38    

boober a écrit :


 
 
on est tous des addict du confort, du loisir, de l'electricité, du travail de l'eau courante, et tiens meme des chiottes, un truc tout con. t'irais difficilement chier ailleurs que dans un chiotte non? t'es addict  [:haha]  
 


 
Non, pour le coup de l'exemple, j'irais bien ailleurs.

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 22:03:49    

Nivo a écrit :


désolée, je ne saisis pas le sens de ta première phrase ?


 
Elle t'encourage à faire preuve de mesure dans l'utilisation de la parole.

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 22:58:13    


 
les mots, tu voulais dire.... :D  
 
tu nies la dépendance au web, en expliquant que nous sommes tous dépendants les uns des autres, ce qui est vrai, quels sont tes arguments ??

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 23:05:25    

Nivo a écrit :


 
les mots, tu voulais dire.... :D  
 
tu nies la dépendance au web, en expliquant que nous sommes tous dépendants les uns des autres, ce qui est vrai, quels sont tes arguments ??


 
Il y en à plein.  
 
Je peux prendre l'exemple de la dépendance entre l'homme et la femme pour se reproduire.

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 23:51:04    

:lol:  :lol:  
Certaines concluent que l’on devient cyberdépendant à partir de sept heures d’utilisation par semaine, d’autres à partir de dix-neuf heures ! La fourchette est large… qui consacre autant de temps au sexe ?

Reply

Marsh Posté le 13-11-2008 à 23:58:17    

Nivo a écrit :

:lol:  :lol:  
Certaines concluent que l’on devient cyberdépendant à partir de sept heures d’utilisation par semaine, d’autres à partir de dix-neuf heures !  


Durant combien de semaine ?
 
 
 
 

Reply

Marsh Posté le 14-11-2008 à 00:00:24    

boober a écrit :


 
 
on est tous des addict du confort, du loisir, de l'electricité, du travail de l'eau courante, et tiens meme des chiottes, un truc tout con. t'irais difficilement chier ailleurs que dans un chiotte non? t'es addict  [:haha]  
 


un outil technologique n’est pas la source d’un comportement pathologique.
Sinon, tout le monde serait dépendant de tout ! Il est le révélateur et le facteur déclenchant de problèmes qui existaient déjà chez des personnes vulnérables, psychologiquement fragiles, et qui établissent un lien affectif avec l’objet. Sinon le web est pour un formidable outil, d'ouverture sur le monde, de lecture des journaux notamment...de recherches.
 

Reply

Marsh Posté le 14-11-2008 à 00:01:28    

pakm a écrit :


C'est justement la définition de l'addiction


exact

Reply

Marsh Posté le 14-11-2008 à 00:06:10    

Nivo a écrit :


Sinon le web est pour un formidable outil, d'ouverture sur le monde, de lecture des journaux notamment...de recherches.

 



Et une sacré mine de prOn surtout  [:aloy]

 

Sinon plus serieusement, oui on est dépendant de beaucoup de choses, ne serait ce que par l'environnement dans lequel on évolue (par exemple, on ne se trimballe pas à poil en été, pourtant rien ne nous y oblige vraiment). Sinon franchement les gens qui se disent drogués du Web (dans le genre  [:alph-one] j'peux pas m'en sortir) moi perso ces gens là je leur ferais volontiers faire un tour dans les pavillons de toxicos en HP, histoire qu'ils comprennent ce qu'est une vrai addiction. Mais bon on est en France, hein, faut bien que les bourgeois s'inventent des maladies sinon ils s'ennuient dans leurs trains trains quotidiens..


Message édité par Profil supprimé le 14-11-2008 à 00:07:27
Reply

Marsh Posté le 14-11-2008 à 08:49:30    

pakm a écrit :


C'est justement la définition de l'addiction

 
Citation :


L'addiction est au sens phénoménologique, une conduite qui repose sur une envie répétée et irrépressible, en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s'y soustraire. Le sujet se livre à des addictions malgré la conscience aiguë qu'il a le plus souvent d'abus et de perte de sa liberté d'action, ou de leur éventualité.

 
Citation :

passion, nom féminin
Sens 1 Affection, intérêt très vif pour quelque chose.

 

dans ce que tu as decris, c'est la société qui culpabilise les internautes sur leur temps passé sur le WEB ou autre pour l'interet vif qu'ils y trouvent. de la part des internautes, il n'y a pas de conscience d'abus, puisqu'il y a envi de le faire et aucune envie de s'y soustraire (donc ça releve bien de la passion).

 

et ça se comprends tres bien cette culpabilisation des masses tres en vogue pour tout et rien dès que ça plait pas. le Web est un formidable outil d'information et de loisir, ou les gens echangent, se renseignent, jouent et se rapprochent les uns des autres par leurs centres d'interets, communiquent sur autre chose que ce qu'ils vivent au travail ou voient a la TV. les elites n'aiment pas trop que les gens forment des communautés et soient trop informé/proche, c'est nuisible pour eux car un individu seul est demuni face a notre systeme, surtout s'il est mal informé, alors qu'une communauté, informé, qui echange, c'est chiant a gerer.

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Message édité par BiBi_PoK le 14-11-2008 à 08:52:20
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Marsh Posté le 14-11-2008 à 09:22:24    

J'aime bien ce genre de topic :D
 
Personnelement, je peux passer selon les périodes de ma vie plus de 15h00 par jours devant un écran (que cela soit du jeu vidéo ou du pc).
 
En ce moment, je n'y suis qu'au boulot, et ne touche plus ni mon pc perso ni ma console.
 
Je pense que c'est comme tout (par exemple, j'ai arrêté il y a 2 mois la cigarette sans patch en passant de 30 clopes/jours à 0), tout est une question de volonté et de "force" de caractère.
 
C'est pas les jeux vidéos ou Internet qui est la "cause" de l'addiction, c'est juste révélateur d'un problème qui existait déjà...


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Parce que le vote pour Emmanuel Macron n'est pas un vote de conviction mais une nécessité démocratique
Reply

Marsh Posté le 14-11-2008 à 10:41:05    

J'ai lu le "témoignage" posté par Nivo et j'ai vraiment du mal avec.
 
L'histoire est tellement clichée. C'est rempli de poncifs sur le cas "addiction au jeu vidéos". Les termes et expressions utilisées sont bien trop adaptés au discours qu'il défend que j'ai l'impression que c'est monté de tte pièce [:ddr555] Et bien evidement prenons le cas d'une avocate et d'un notaire (des gens forcément bien sous tout rapport) pour illustrer nos propos.
 
Vas y Mireille, chauffe ! (Les rolistes comprendront :o)


Message édité par MrGnou le 14-11-2008 à 10:41:41

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Only Long Island Ice Tea, jamais de mélange !
Reply

Marsh Posté le 14-11-2008 à 10:57:42    

Présent!

 

Je tiens quand même a remercier:

 

Julie Lescaut
Mimi Mathie
Nikos
Endemol
Arthur
Derrick
JL Delarue
JP Pernaud
Les pubs Danone
Patrick Sébastien
..."C'est la MaaaaF"
La famille Drucker
Sebastien Cauet
...tous les responsables de programmes Herzien, les chef de pubs, les animateurs de talk shows, le CSA qui au fil des années m'ont poussé vers l'ordi (DVD, Reseau, Internet...) au point d'etre principalement devant l'ordi avec en fond la télé.

 


Message édité par pakbo59 le 14-11-2008 à 10:59:53

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Listening to heavier music than you!!
Reply

Marsh Posté le 14-11-2008 à 15:00:39    

BiBi_PoK a écrit :


 

Citation :


L'addiction est au sens phénoménologique, une conduite qui repose sur une envie répétée et irrépressible, en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s'y soustraire. Le sujet se livre à des addictions malgré la conscience aiguë qu'il a le plus souvent d'abus et de perte de sa liberté d'action, ou de leur éventualité.


 

Citation :

passion, nom féminin
Sens 1 Affection, intérêt très vif pour quelque chose.


 
dans ce que tu as decris, c'est la société qui culpabilise les internautes sur leur temps passé sur le WEB ou autre pour l'interet vif qu'ils y trouvent. de la part des internautes, il n'y a pas de conscience d'abus, puisqu'il y a envi de le faire et aucune envie de s'y soustraire (donc ça releve bien de la passion).  
 
et ça se comprends tres bien cette culpabilisation des masses tres en vogue pour tout et rien dès que ça plait pas. le Web est un formidable outil d'information et de loisir, ou les gens echangent, se renseignent, jouent et se rapprochent les uns des autres par leurs centres d'interets, communiquent sur autre chose que ce qu'ils vivent au travail ou voient a la TV. les elites n'aiment pas trop que les gens forment des communautés et soient trop informé/proche, c'est nuisible pour eux car un individu seul est demuni face a notre systeme, surtout s'il est mal informé, alors qu'une communauté, informé, qui echange, c'est chiant a gerer.


 
 [:rofl]  [:rofl]  
 
Encore un coup des Bilderberg  [:khalifa]  
 


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The relations of the soul to the divine spirit are so pure, that it is profane to seek to interpose helps.
Reply

Marsh Posté le 16-11-2008 à 02:00:38    

ho hi,

 

moi je passe mon temps sur le net, divers forums/chans biens connus et autres saloperies qui foutent en l'air ma scolarité/vie

 


comme je suis seul, ça me permet d'avoir ''des contacts'' dirons nous , et de me sentir dans un groupe qui partage quelque chose de commun - le fait de glander et d'avoir les mêmes codes (genre memes and co) - de discuter, de déconner et finalement de passer le temps

 


c'est une vraie drogue puisque je peux passer plusieurs semaines comme cela, à rien foutre à part dormir et lurker pdt 15h00/jour

 


c'est à un point maintenant que si je coupe le net plus de 3heures, je suis en manque et je stress comme un goret de louper un truc, un évènement à la con mais , qui pourrait m'exclure  du groupe, puisque je ne l'aurais pas vécu en live, et donc être à la ramasse, '' ho le noob etc'', du coup je ne me déconnecte pas, je sèche les cours, je ne sort plus etc

 

j'ai essayer d'y aller à fond une fois, ie rester connecté le plus longtemps possible en profitant des grandes vacances et j'ai donc fais 3 mois d'affiler, juin juillet aout à rester dans ma chambre 99% du temps à lurker et encore lurker, n'importe quel infos était bonne à prendre (et je parle pas de wikipedia), n'importe quelle vidéo sur youtube  devait être vue, toujours pour être dans le coup, puisque mon schéma était : je suis dans les premiers à l'avoir vu, donc dans les premiers à commenter donc on me remarque et ca me flatte (je comble un manque que j'ai irl quoi) => wouhou

 


au moi de septembre j'en avais ras le cul d'être finalement qu 'une grosse merde de nolife useless

 


puis j'ai coupé le net pendant plusieurs mois pour ne pas rater mon année, et là je replonge depuis 2/3/4 mois  à lurker les mêmes merdes, à voir toujours et encore les mêmes débilités

 


et là je craque tout doucement

 

j'essaye de m'intéresser à mes études, à essayer d'avoir un job qui me plaît, mais plusieurs fois par jour je me dit, tiens quést-ce qu'ils sont entrain de raconter, ça se trouve il se passe quelque chose d'épique, ho finalement je laisse ce que j'ai à faire- trop difficile, faut réféchir-, allumons le pc, il est que 16h00, **some lurking of the interweb later**, ho il est 5heures du matin [:dawa]

 


bref, plus ça va  et plus je suis irrécupérable......

  


inb4 get a life faggot :o


Message édité par bhk le 16-11-2008 à 02:01:21
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Marsh Posté le 16-11-2008 à 03:07:51    

Nivo a écrit :


 
 Les "no-life" ou encore "geeks" comme on les surnomme se retrouvent plongés dans une vie virtuelle qu’ils ont de plus en plus de mal à quitter pour retourner à une vie réelle qu’ils trouvent bien insipide.


Tu peux laisser les geeks en dehors de ça s'il-te-plaît ?
 
 
Marre qu'on confonde les geeks et les gamers.


---------------
Des Bisous et des nounours ! | Internet 2025 | Dungeon-Generator
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Marsh Posté le 16-11-2008 à 06:28:17    

Tangrim a écrit :


Tu peux laisser les geeks en dehors de ça s'il-te-plaît ?
 
 
Marre qu'on confonde les geeks et les gamers.


 
En même temps c'est possible de jouer un max sans etre forcément nolife, j'ai des potes, je sort régulièrement voir du monde et... je me couche aussi régulièrement à 6h du mat apres une nuit devant un pc. :D
 
Même chose que pakbo59, pas de télé mais un pc
 

Nivo a écrit :

Une dangereuse spirale dont il est très dur de sortir.  
 
qu'en pensez-vous ?  
 


 
J'en pense que c'est en partie faux. J'ai toujours joué beaucoup et ce depuis des années et je n'ai aucun mal à décrocher de mon pc pour aller voir des gens. J'ai stoppé wow du jours au lendemain et ça ne m'a jamais manqué, j'ai des semaines à + de 30 heures devant un pc et d'autres à 2h histoire de regarder mes mails / msg en tout genre. Suffit d'avoir une vie à coté. (je dit pas que la mienne est fantastique mais une poignée de copains c'est suffisant pour occuper une aprem / soirée) Quand j'ai rien à faire d'intéressant, je zone sur mon pc / quand j'ai moyen d'aller voir des gens, j'y vais.
 
Et à la limite on s'en fout. Qu'est ce qui va se passer si on reste trop sur le net? Notre cerveau va exploser? En quoi c'est mieux que "jeux télé de 19h, manger, journal de 20h + film de 21h?" Si on fume, qu'on mange gras, qu'on vois jamais le soleil et qu'on aime passer des heures devant un écran ya une fée qui va venir et nous taper sur les doigts? (puis qu'elle vienne, à la limite si elle est doesable :o)

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Message édité par Ouiche le 16-11-2008 à 06:40:17
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Marsh Posté le    

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