Il y a un exemple avec une fronde, mais ça n'explique pas pourquoi le soleil tourne sur lui-même...

 
ou ca

.. sur eux memes
 
 
qu'ils gravitent autour de qqch, je le concois aisément, mais ...

Pour la même raison qu'ils gravitent.
 
Un nuage de particules se contractant a peu de chance d'être en équilibre parfait.
Dès qu'une tendance se profile, elle entraîne le reste avec elle et s'amplifie.
Comme le tourbillon de la baignoire: une fois lancé, il s'auto-entretient.
 
Ce qui est plus difficile à comprendre, c'est que le nuage se contracte en disque.
Pourtant le mécanisme est un peu le même, la matière n'ayant pas eu le temps de rejoindre le centre (soleil) formant les planètes.
 
N'oublions pas que le nuage à l'origine du système solaire avait déjà un mouvement dû à celui de la galaxie.
 
Et même un astre sans rotation serait entraîné, par phénomène de marée, à tourner à la même fréquence que sa révolution.

Il y a un exemple avec une fronde, mais ça n'explique pas pourquoi le soleil tourne sur lui-même...

c'est dingue!
je me suis posé la question une grande partie de la nuit aussi!

au début, il y a explosion (un grand truc qui péte)
 
le mouvement de translation induit se maintient ed vita éternam dans le vide puisqu' il n y a pas de résistance
 
dans une translation, le vecteur vitesse garde une direction constante
 
mais son module peut varier
 
au contraire dans une rotation, la direction du vecteur vitesse se modifie
 
mais ces mouvements sont eternellement entretenus dans le vide (à petite échelle, faut il le rappeler)  
 

Pour la même raison qu'ils gravitent.
 
Un nuage de particules se contractant a peu de chance d'être en équilibre parfait.
Dès qu'une tendance se profile, elle entraîne le reste avec elle et s'amplifie.
Comme le tourbillon de la baignoire: une fois lancé, il s'auto-entretient.
 
Ce qui est plus difficile à comprendre, c'est que le nuage se contracte en disque.
Pourtant le mécanisme est un peu le même, la matière n'ayant pas eu le temps de rejoindre le centre (soleil) formant les planètes.
 
N'oublions pas que le nuage à l'origine du système solaire avait déjà un mouvement dû à celui de la galaxie.
 
Et même un astre sans rotation serait entraîné, par phénomène de marée, à tourner à la même fréquence que sa révolution.

Parce qu'il suffit d'un infime déséquilibre initial pour que le mouvement commence et s'amplifie.
Il ya toujours l'agitation thermique, et il y a trop de particules en jeu pour qu'un équilibre initial parfait existe et se maintiennent, c'est improbable à l'extrême.
 
Le seul moyen d'empêcher le tourbillon de la baignoire de se former, c'est de remuer l'eau plus fort que lui...
 
Mais si quelqu'un a d'autre idées ou des références...

pourquoi n'y a-t-il pas de perte d'énergie ,un système perpétuel ça n'existe pas en théorie ...  

.. sur eux memes
 
 
qu'ils gravitent autour de qqch, je le concois aisément, mais ...

Théoriquement, le mouvement perpétuel exiuste s'il n'y a aucune intéraction entre l'objet en mouvement et le reste de son environement.
mais dans le cas d'un système stélaire, c'est vrai qu'il n'y a pas de mouvement perpétuel possible, généralement, pour les étoiles, ca finis en explosion, pour les autres astres (planètes, trous noirs, ...) je sais aps trop comment ca finis.
En tout cas, pour une étoile, l'ensemble est en perpétuel déséquilibre du fait de la fusion continut des diférents éléments chimiques.
De plus, chaque étoile envoie un vent solaire vers l'espace, c'est peut être ça qui définit dans quel sens une nouvelle étoile va se mettre à tourner autour d'elle même au début.
 
bon, je m'arrête là parr ce que pour réussir à tout expliquer, il faudrait passer énormément de temps sur le clavier et en plus sans être sur d'avoir raison.

Mais il y en a !
 
Tout astre est ralenti par la matière qu'il percute sur son chemin dans le 'vide' de l'espace.
C'est simplement trop ténu, et les astres trop gros, pour que cela joue à notre échelle d'observation.
 
Il y a aussi les phénomènes de marée qui peuvent transférer du mouvement entre les astres.
 
Ce n'est pas perpétuel, c'est juste très très long.