[Topic écriture] Sujet 18 : Votez !

Sujet 18 : Votez ! [Topic écriture] - Arts & Lecture - Discussions

Marsh Posté le 27-03-2005 à 23:30:47    

Voilà le nouveau sujet!  :hello:  
 

Sujet n°18 a écrit :

 
Un petit groupe d'amis se lancent dans une exploration risquée : il peut s'agir d'une maison abandonnée, d'un bar à strip-teaseuses, ou d'une course en montagne, par exemple, selon l'âge et les préoccupations de l'auteur.  




 
Pour en savoir plus n'hésitez pas à vous reporter à l'index (des liens sont faits vers les autres topics)
http://forum.hardware.fr/hardwaref [...] 2189-1.htm  
 

Principe de Fonctionnement a écrit :

 
Un membre poste un court extrait de roman ou une description de scène, ceux qui le souhaitent peuvent remodeler le sujet à leur idée, avec leur style, en collant ou non de près au sujet de départ (entre 20 et 40 lignes).    
   
Vous pouvez soumettre un texte entre le moment ou le sujet est proposé et le moment ou le vote est ouvert pour ce sujet.  
   
Pour poster, mettez votre texte dans les balises citation :  
 

Sujet <n°sujet> - <votre pseudo> a écrit :

 
<votre texte  
 ...  
 fin du texte>  








 
Enfin, n'oubliez pas que ce topic est avant tout un plaisir s'adressant à des gens amoureux des mots mais pas specialement écrivain ou critique littéraire. C'est ouvert à tous, et dans la bonne humeur  
 
Il faut prendre ce topic comme un atelier plutôt que comme un concours. Le sujet est un point de départ plus qu'une barrière. On le dit concours pour attirer du monde. Mais en fait c'est plus pour s'amuser ensemble autour de l'acte de création... En conséquence ne vous prenez pas la tête. A partir du moment où le sujet vous inspire un texte, quel qu'il soit, il a sa place ici.  
 
Ce topic sera ouvert deux semaines, ce qui porte la date limite au samedi 9 avril (minuit et quelques...).  
 
Les votes se déroulent de la manière suivante:

Principe des Votes : a écrit :

 
 
Pour les votes (pensez à enlever les espaces dans les balises) :  
 
[ fixed]
Auteur n°1 : xxx  
Auteur n°2 : yyy
Auteur n°3 : zzz
Remarques : abcd
[ /fixed]
 
    * On ne vote pas pour soi-même (ce n'est pas une règle, simplement une question de courtoisie )  
    * Pour éviter de donner l'impression de voter au hasard (ce qui ne serait pas respectueux des efforts produits, vous en conviendrez), pensez à laisser une appréciation, même succinte : c'est toujours agréable de savoir "comment" on a été lu.
 
A chaque vote, le premier reçoit 3 points, le deuxième 2 points et le troisième 1 point.




 
Participations :
ganesha06
talbazar
Le Textorien
Mario_
show
meroee


Message édité par meroee le 12-04-2005 à 00:54:10
Reply

Marsh Posté le 27-03-2005 à 23:30:47   

Reply

Marsh Posté le 28-03-2005 à 22:51:20    

Si on place l'action dans un bar à strip-tease on en déduira quoi sur les préoccupations de l'auteur?  :whistle:  
 
Sinon l'idée de l'index est très bonne!


---------------
Quiconque sacrifie sa liberté pour plus de sécurité ne mérite ni l'un ni l'autre, et n'aura aucun des deux. - Sur internet si le service semble gratuit, c'est que le produit, c'est vous.
Reply

Marsh Posté le 28-03-2005 à 23:55:01    

bonjour!! je me lance a mon tour
ça fait un moment que je vs lis, alors je m'essaye aussi
soyez critiques (mais pas trop  :pt1cable:  )
merci
 
Sujet <17> - <ganesha06>
 
l'antre
 
<Quelques semaines déjà que nous projetions une excursion dans son antre,
le problème était que cette idee nous faisait un peu frémir, et nous passions notre temps à repousser le moment, nous savions bien que c'était risqué et que la pèriode d'accalmie que nous connaissions pouvait fort bien se terminer.
Après maintes hésitations et longs calculs de probalite pr choisir la date, nous nous sommes décidés.
 
Et le meilleur moment c'est ce matin, maintenant.
 
Plus de tergiversation ni d'hésitation.
 
Au moment d'entrer, un doute nous envahit : " et s'Il revenait ?"
" Et bien on l'affrontera, ça ne peux plus durer c tout"
 
A peine à l'intèrieur, une atmosphère nauséabonde nous chatouilla désagréablement les narines.
 
Sommes nous certains d'avoir identifié le maître des lieux ?
 
Sur les parois étaient dessinés des monstres hurlants et colorés, sans distinction d'appartenance au genre féminin ou masculin.
Le sol etait jonchés de peaux sales, ça et là trainaient des restes de repas, quelques uns proche de la putréfaction.
 
L'autochtone semblait carnivore.
 
A notre avis dans des temps reculés, il avait du essayer de se rapprocher de la civilisation ; en effet apparaissait, entassés, et enterrés sous divers butins, quelques livres éparts, qu'il avait du se procurer, croyant ... à de la nourriture peut etre ?  
 
Quand a savoir si on pouvait parler de nourriture spirituelle...
Nous en doutions fort vu son évolution qui semblait s'être arrétée à un stade primitif.
 
Alors que nous étions sur le point d'observer des cercles de métal,( attirance pour tout ce qui brille?), dissémines un peu partout, et certainement là pr le bruit qu'ils pouvaient produire, un violent fracas nous fit sursauter.
 
Dans un hurlement trés peu civilisé, après avoir claqué la porte et dans une rage noire, notre fils nous demandait qui nous avait permis de rentrer dans sa chambre>
 


---------------
les choses n'ont d'importances que celles qu'on veut bien leurs accorder
Reply

Marsh Posté le 29-03-2005 à 00:22:13    

ganesha06 a écrit :

bonjour!! je me lance a mon tour
ça fait un moment que je vs lis, alors je m'essaye aussi
soyez critiques (mais pas trop  :pt1cable:  )
merci
 
Sujet <17> - <ganesha06>
 
l'antre
 
<Quelques semaines déjà que nous projetions une excursion dans son antre,
le problème était que cette idee nous faisait un peu frémir, et nous passions notre temps à repousser le moment, nous savions bien que c'était risqué et que la pèriode d'accalmie que nous connaissions pouvait fort bien se terminer.
Après maintes hésitations et longs calculs de probalite pr choisir la date, nous nous sommes décidés.
 
Et le meilleur moment c'est ce matin, maintenant.
 
Plus de tergiversation ni d'hésitation.
 
Au moment d'entrer, un doute nous envahit : " et s'Il revenait ?"
" Et bien on l'affrontera, ça ne peux plus durer c tout"
 
A peine à l'intèrieur, une atmosphère nauséabonde nous chatouilla désagréablement les narines.
 
Sommes nous certains d'avoir identifié le maître des lieux ?
 
Sur les parois étaient dessinés des monstres hurlants et colorés, sans distinction d'appartenance au genre féminin ou masculin.
Le sol etait jonchés de peaux sales, ça et là trainaient des restes de repas, quelques uns proche de la putréfaction.
 
L'autochtone semblait carnivore.
 
A notre avis dans des temps reculés, il avait du essayer de se rapprocher de la civilisation ; en effet apparaissait, entassés, et enterrés sous divers butins, quelques livres éparts, qu'il avait du se procurer, croyant ... à de la nourriture peut etre ?  
 
Quand a savoir si on pouvait parler de nourriture spirituelle...
Nous en doutions fort vu son évolution qui semblait s'être arrétée à un stade primitif.
 
Alors que nous étions sur le point d'observer des cercles de métal,( attirance pour tout ce qui brille?), dissémines un peu partout, et certainement là pr le bruit qu'ils pouvaient produire, un violent fracas nous fit sursauter.
 
Dans un hurlement trés peu civilisé, après avoir claqué la porte et dans une rage noire, notre fils nous demandait qui nous avait permis de rentrer dans sa chambre>


 
 
 
 :heink:   :whistle:
 
Edit:
Aaaah: "Métier / Occupations :  infirmiere " tout s'explique tu es une femme :)  :kaola:


Message édité par lamite le 29-03-2005 à 00:23:12
Reply

Marsh Posté le 29-03-2005 à 12:00:19    

bouhhhhhhhh
je relis vos anciens textes.... et bon y a bq plus de recherche et de jeu d'ecriture que ds ce que je viens de faire. on dirait une compo de 6eme... enfin bon j'aurais essayé, et pis la prochaine sera pê mieux...
et pis oui je suis une femme, et non je n'ai pas d'enfant et oui ma chambre n'était pas svt rangée... NA  


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les choses n'ont d'importances que celles qu'on veut bien leurs accorder
Reply

Marsh Posté le 30-03-2005 à 09:41:41    

ganesha06 a écrit :

bonjour!! je me lance a mon tour
ça fait un moment que je vs lis, alors je m'essaye aussi
soyez critiques (mais pas trop  :pt1cable:  )
merci
 
[...]
 


 
Bienvenue :hello:
C'est un peu dommage les abbréviations style SMS, ça gache un peu le confort de lecture. Par contre, j'aime bien la fin du texte et toute l'histoire de manière générale.

Reply

Marsh Posté le 31-03-2005 à 11:12:37    

merci!
pardon pour le style sms... je n'aime pas non plus et malgré la relecture c'est passé quand même. il faudra que je me corrige et ne plus utiliser les abrévitaions même quand je n'en suis qu'au brouillon!!
sinon...
je suis presée de vous lire!!!


---------------
les choses n'ont d'importances que celles qu'on veut bien leurs accorder
Reply

Marsh Posté le 31-03-2005 à 12:44:46    

Dans ta description t'as oublié la techno sa mère à fond les boulons des enceintes.  
ça déchire grave le son. :sol:

Reply

Marsh Posté le 01-04-2005 à 11:13:34    

Bon, ptèt que je vais fâcher tout le monde, tant pis. J'ai pas le temps ni l'idée ce coup-ci. Je met un extrait de mon book, après tout c'est moi qui l'ai écrit !
(je recommencerai plus)
 
Il s'agit de conduire un bébé ensorcelé vers le pays des Elfes, pour le guérir...
 
(...) Roxellane portait son fils dans le dos à la manière Naok et cette charge redoutable  lui semblait contenir tout le poids du monde. La nuit, ils dormaient dans des bivouacs taillés avec art dans la neige, engoncés dans de nombreuses peaux d’ours. Un jour, après une longue chute vertigineuse un cheval malchanceux tomba bruyamment dans l’eau glacé d’un torrent capricieux. On abandonna une Amazone qui se plaignait de ses doigts gelés et plusieurs autres dont les montures atteintes de gonfle ne pouvaient aller plus loin. Le froid mordait sans répit tout ce qui n’était pas fourrure, alors que les pierres crevant la neige broyaient les sabots des vaillants chevaux. De grands oiseaux de proie passaient parfois en planant, caressant les falaises effritées de leurs ailes immenses. Ailleurs, l’expédition entamait de longues descentes, plus éprouvantes encore que les montées. Les nuits étaient courtes, pour chacun peuplées de mauvais rêves. En mince colonne, arpentant des pistes aux lacets tortueux, ils atteignirent une crête rocailleuse qui marquait la limite du territoire Amazone. Il fallut se séparer.  
 Les premières heures solitaires enlacèrent le trio d’un silence oppressant. Une grande rivière roulait des eaux noires et boueuses, alimentée par des glaciers inaccessibles. Repérée sur la carte elle fournissait  aux voyageurs un puissant repère, dans cet univers hostile et glacé.  Glissant tour à tour d’une mer de nuage opaque au ciel le plus bleu ils traversaient, plus épuisés que leurs chevaux, un pays vierge d’homme où l’altitude leur coupait le souffle en les obligeant à ralentir l’allure. Dans cette nature muette, les rayons du soleil ne réchauffaient jamais et toute flore et toute faune avaient depuis longtemps disparu. Un matin, les chevaux arrivés au bout de leur force s’enfuirent pour ne plus revenir, crinières et queues gelées. Le groupe continua à pied malgré tout. Roxellane s’accordait les haltes nécessaires pour allaiter son fils, une peur sourde lui broyant les entrailles, transformant ce qui aurait du être communion plaisante et fusionnelle en angoisse abominable. La montagne pourtant ne les arrêta pas. Malgré les difficultés inouïes de la progression dans la neige omniprésente, masquant ses pièges sous une épaisse couche blanche, ils possédaient toujours intact au fond d’eux-mêmes la détermination obstinée du départ. Les rations, lourdes à porter, diminuaient dangereusement, même si la soif s’étanchait rapidement au détour des nombreux torrents sonores et froids. Seul le grand loup paraissait à son aise, insensible aux conditions extrêmes du voyage. Frakan  se portait constamment en avant, secouant sa crinière des flocons de neige qui l’auréolaient, nullement atteint de fatigue, pointant sur les humains son regard flamboyant. Quand une tempête de neige s’annonça en violentes bourrasques, il devint évident que le froid les tuerait. Rapidement, ils creusèrent un abri comme leur avaient appris à le faire les Amazones et chacun d’eux, sans le dire, pensait creuser sa tombe. La montagne formidable et ses sommets géants restaient les plus forts, constat amer qui les privait de paroles, entassés l’un contre l’autre pour se tenir chaud. La température chutait toujours, figeant le sang dans les veines et provoquant un dangereux engourdissement des sens. Cette catastrophe amena un orage terrible qui déchira les cimes en lueurs apocalyptiques, tonnant et grondant sur les hautes vallées. l’enfant dormait d’un sommeil de mort, alors que les trois amis somnolents voyaient leur fin venue. Incapable de bouger, vautré contre eux, Frakan ne fermait pas les yeux.

Reply

Marsh Posté le 01-04-2005 à 17:35:10    

Nicky_rr a écrit :

Si on place l'action dans un bar à strip-tease on en déduira quoi sur les préoccupations de l'auteur?  :whistle:


Ben je crois que ça veux dire qu'il trouve ça risqué  :lol:  
 

Nicky_rr a écrit :

Sinon l'idée de l'index est très bonne!


 :jap:

Reply

Marsh Posté le 01-04-2005 à 17:35:10   

Reply

Marsh Posté le 01-04-2005 à 17:41:42    

ganesha06 a écrit :

merci!
pardon pour le style sms... je n'aime pas non plus et malgré la relecture c'est passé quand même. il faudra que je me corrige et ne plus utiliser les abrévitaions même quand je n'en suis qu'au brouillon!!
sinon...
je suis presée de vous lire!!!


 
Bienvenue à toi  :hello:

Reply

Marsh Posté le 07-04-2005 à 22:55:19    

bon et bien personne n'est inspire par le sujet....
 
bah  j'aurais toujours l'espoir de finir 2eme...  :lol:


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les choses n'ont d'importances que celles qu'on veut bien leurs accorder
Reply

Marsh Posté le 07-04-2005 à 23:07:56    

ganesha06 a écrit :

bon et bien personne n'est inspire par le sujet....
 
bah  j'aurais toujours l'espoir de finir 2eme...  :lol:


J'arrive. Je vais essayer de faire ça ce soir mais c'est pas gagné. Peut-être demain soir.


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Soyons ouverts d'esprit, mais pas au point de laisser notre cerveau s'enfuir.
Reply

Marsh Posté le 08-04-2005 à 10:16:49    

ganesha06 a écrit :

bon et bien personne n'est inspire par le sujet....
 
bah  j'aurais toujours l'espoir de finir 2eme...  :lol:


Ben pour le moment en fait je n'ai pas le moindre début d'idée de situation.... à croire que je n'ai pas de préoccupation en ce moment! :sweat:  
 
Bon on sait jamais ça peut venir d'un coup comme ça! C'est pas la première fois que ça arriverait :ange:


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Quiconque sacrifie sa liberté pour plus de sécurité ne mérite ni l'un ni l'autre, et n'aura aucun des deux. - Sur internet si le service semble gratuit, c'est que le produit, c'est vous.
Reply

Marsh Posté le 08-04-2005 à 12:17:57    

courage mon garçon. D'un point de vue mécanique, essaye l'écriture automatique ? ;)

Reply

Marsh Posté le 08-04-2005 à 12:20:19    

Même pas drôle d'abord! :whistle:


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Quiconque sacrifie sa liberté pour plus de sécurité ne mérite ni l'un ni l'autre, et n'aura aucun des deux. - Sur internet si le service semble gratuit, c'est que le produit, c'est vous.
Reply

Marsh Posté le 08-04-2005 à 17:57:37    

Bon ça fait un bail quee je n'ai rien écris sur un topic éécriture alors me voilà de retour!!!

Sujet <n°18> - <Le Textorien> a écrit :

   
« Je ne sais pas si j’ai bien fait de venir »
Assis à l’arrière de la Clio, Stéphane ne se sentait pas au meilleur de sa forme. De grosse goûtes de sueur perlaient sur sa pâle figure. Il battait une mesure que lui seul connaissait du bout de ses doigts. Son cœur battait follement et il arborait un sourire gêné depuis le début du voyage.
« Tu nous fait chier Stef, maintenant que tu as accepté tu ne peux plus reculer, si tu crois qu’on va rentrer à la maison, tu te fourre le doigt dans l’œil jusqu’au font de la gorge. »
Assis à la place du mort, Damien était ivre mort. De temps à autre, il apportait à ses lèvres une bouteille de mauvais muscat acheté dans une épicerie de nuit. Ses cheveux partaient dans tout les sens d’une manière totalement chaotique. En fait tout dans son allure indiquait une grande part de chaos.
« Mon grand frère l’a fait, mon père l’a fait, mon grand père l’a fait et tout mes sacrés aïeux l’on fait. Je ne veux pas être le débile qui brisera la tradition, tu comprends ? »
Le conducteur, Jérémie, avait le ton décidé du prêtre fanatique. C’était sur son idée que les trois jeunes hommes avaient décidée de cette excursion. Il menait tant bien que mal, la voiture vers la frontière espagnole.
La nuit était bien avancée, quelques étoiles brillaient follement dans le ciel de juillet. Il faisait tellement chaud que par moment Stéphane avait l’impression de se consumer. Il ne se rappelait plus depuis combien de temps ils avaient traversé Perpignan.
« Je connais des tas de types qui rêverait d’être à ta putain de place Stef, lança Jérémie, tu me comprends, n’est-ce pas ?
-Et moi je rêverais d’être à leur place.
-C’est encore ta foutu morale de cul de bénitier, la voix de Damien partait dans les aigus de temps à autre, ses propos en devenaient étrange et décousu, mes couilles sur ton front, t’a pas traversé trois département pour te dégonfler comme la dernière des tafioles.
-Non, c’est pas ça… les droits de l’homme vous y avez pensé ?
-Les droits de quoi ? s’écria Damien, t’es pédé ou quoi ?
-Les droits de l’homme de mon cul oui ! reprit vaillamment Jérémie, je connais quelque loi de la nature et pour le reste il y a mon portefeuille et mes sacrés euro.
-Je ne sais pas les gars mais pour une première fois j’espérais quelque chose de plus…
-Romantique ! Putain Jérémie, on a une tarlouse dans la voiture, fait quelque chose avant que je lui pète la bouteille à la gueule.
-Vous êtes vraiment deux barbares !
-Non, non, tu ne comprend pas Stef, Jérémie parlait calmement comme s’il expliquait à un enfant une vérité ultime sur la vie, nous sommes des mecs, on est fait comme ça, on ne peut rien changer à notre nature profonde. »
La voiture s’arrêta soudainement. A l’extérieur, une galaxie de lumière agressive illuminait cette nuit. Il y avait des centaines de néons sur toute la route, des rouges, des roses, des verts, des bleues clair, des bleues foncé, des oranges… A coté de chaque néon, un bâtiment se dressait.
« On est arrivé à Figueras ?
-On est arrivé où on devait aller ! s’exclama Jérémie. »
La figure de Stéphane se décomposa, il ne pouvait plus faire marche arrière, il devait y aller franchement à présent.
« Bordel de merde.
-Tu l’as dit Stef, que de bordel.
-A nous les putes ! »
Déjà Damien était dehors en s’élançant vers le bâtiment le plus proche.




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les ombres sont les enfants de la lumière
Reply

Marsh Posté le 08-04-2005 à 17:58:36    

Putain de clavier :fou:  :fou:


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les ombres sont les enfants de la lumière
Reply

Marsh Posté le 09-04-2005 à 19:31:46    

Finalement j'ai pas eu le temps d'écrire mon texte... Et ce sera pas pour ce soir :'(
On verra si le topic reste ouvert jusqu'à demain soir...


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Soyons ouverts d'esprit, mais pas au point de laisser notre cerveau s'enfuir.
Reply

Marsh Posté le 09-04-2005 à 20:38:10    

Bon vu qu'il y a eu peu de participations je prolonge jusqu'à lundi soir mais c'est le dernier délai!
De toutes façons je lance le nouveau sujet dès ce soir.

Reply

Marsh Posté le 09-04-2005 à 22:15:16    

Le nouveau sujet est disponible ici:
http://forum.hardware.fr/hardwaref [...] m#t5262151

Reply

Marsh Posté le 09-04-2005 à 23:07:39    

moi je peux tenter un truc vite fait pour le 18 mais 20-40 lignes c'est vraiment peu :/
on peut faire plus ?

Reply

Marsh Posté le 10-04-2005 à 11:46:35    

show a écrit :

moi je peux tenter un truc vite fait pour le 18 mais 20-40 lignes c'est vraiment peu :/
on peut faire plus ?


Ca pose rarement problème tant que c'est pas un roman!  :)


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Soyons ouverts d'esprit, mais pas au point de laisser notre cerveau s'enfuir.
Reply

Marsh Posté le 10-04-2005 à 14:26:36    

Mario_ a écrit :

Ca pose rarement problème tant que c'est pas un roman!  :)


bon alors je vais tenter un tit truc dès que j'ai 5sec;-)

Reply

Marsh Posté le 10-04-2005 à 15:56:10    

Citation :

tu te fourre le doigt dans l’œil jusqu’au font de la gorge


juste une question :
vu que normalement on dit jusqu'au coude, dois-je comprendre que :
- il va moins loin parce que le doigt s'arrête à la gorge
- il va beaucoup plus loin puisqu'après avoir fait passer le coude par l'orifice, il prolonge jusqu'à l'épaule et, dans un excès de frénésie, ne peut s'arrêter qu'une fois arrivé à la gorge, même si ça a l'air difficile !
- dans la version du coude, le doigt dépassait la gorge, bifurquait vers l'épaule en allant jusqu'au coude ...
c'est juste pour savoir jusqu'à quel point on peut se fourrer l'œil avec un doigt quand on refuse ce genre de proposition  :??:


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The Rom's, à votre service
Reply

Marsh Posté le 10-04-2005 à 21:24:53    

Citation :

Mario_ - sujet 18
 
Ce vendredi 13 novembre, quelques jours seulement après Halloween, la lune était pleine, contrairement au porte-monnaie de Carrie, Chucky, Damien, May et Freddy, cinq copains de faculté. Malgré cela, ils avaient pu trouver le moyen de réserver pour le week-end une grande bicoque sur une colline à l'écart du village.
 
Ils avaient pourtant été prévenus par l'agence. La maison tombe en ruine et a été la scène d'événements tragiques il y a 10, 20, 30 et 40 ans précisément. De quoi décourager de nombreux locataires potentiels, mais pas eux. Ils étaient jeunes, bien portants et avaient ramené tout un stock de bière pour passer un week-end d'anthologie.
 
Arrivés devant la grille, ils descendirent de leur van et firent quelques pas. Ils furent mis mal à l'aise par l'impression pesante de regards.
 
"Etrange, dit Freddy, on dirait que la colline a des yeux..."
 
En glissant la clé de l'agence dans le cadenas qui retenait les deux pans de grille ensemble, May se rendit compte que celle-ci était déjà ouverte, ce qui n'était pas normal. Mais le week-end ne faisait que commencer, ils n'étaient pas là pour constater ce qui n'allait pas.
 
"C'est donc vous qui prenez la maison ce week-end?"
 
Ils se retournèrent vers la voix. Une vieille dame ridée se trouvait là. Personne ne l'avait vue ni entendue arriver.
 
"- Oui, exact, c'est bien nous. Pourquoi donc?
- Je ne saurais trop vous conseiller de plier bagage et de repartir sans vous retourner.
- Pourquoi cela? Qu'y a-t-il donc de si étrange ici?
- Tous les 10 ans, au moins depuis ma naissance, il se passe quelquechose d'horrible ici, souvent des jeunes qui meurent dans un bain de sang. A chaque fois, on entend des hurlements toutes les nuits pendant une quinzaine de jours avant les événements. Et ça fait depuis deux semaines que je ne ferme plus l'oeil de la nuit en les écoutant. Vous ne devriez pas y entrer.
- Personne parmi nous ne croit à toutes ces conneries, madame, ne vous en faites pas. Tout se passera bien!"
 
Ils la laissèrent là et entrèrent dans le jardin, plein de hautes herbes. Alors qu'il contournait une pierre tombale, Chucky s'écria en rigolant:
 
"Oh, des os! Ils devaient avoir un chien ici avant. Et il devait pas être petit!"
 
Ils ouvrirent la lourde porte qui grinça sur ses gonds. Quelques chauve-souris en profitèrent pour sortir, paniquées. Carrie poussa l'interrupteur.
 
"Ah, au moins, y a du courant!"
 
Ils s'installèrent dans le grand salon et les hommes repartirent chercher la nourriture et la boisson. La pluie se mit à tomber peu de temps après leur retour. Malgré le temps orageux, la soirée s'annonçait bien. Alors qu'ils étaient assis en cercle autour d'un bon feu de cheminée à se raconter des histoires à faire peur.  
 
Soudain, ils entendirent un grand bruit. Blam! La porte d'entrée venait de s'ouvrir toute seule. Un grand courant d'air balaya la pièce et mit fin au feu qui crépitait dans la cheminée et rendait l'ambiance si agréable.
 
"Laissez, j'y vais !", s'écria Damien.
 
Il partit fermer la porte d'entrée et revint s'asseoir parmi le groupe.
 
Tout à coup, la lumière s'éteignit et l'obscurité s'empara de la pièce, malgré les éclairs qui l'éclairaient par intermittence de l'extérieur. Ils entendirent alors un grand bruit qui venait du dessus, comme si un lourd objet venait de tomber sur le sol.
 
"- Qu'est-ce qui a bien pu tomber là-haut ? demanda May.
- A moins que la vraie question ne soit Qui, intervint Damien avec un clin d'oeil que personne ne pouvait voir dans l'obscurité.
- C'est ridicule, nous sommes là tous les... six, compta Freddy à la lueur d'un éclair.
- Six ? Nous sommes arrivés à 5, je te rappelle.
- Ah ? Attends, je recompte... Ah oui, 5, j'avais dû mal compter.
- Bon, donc ça c'est bon. Il faudrait que quelqu'un aille voir là-haut ce qui est tombé pendant que je vais remettre le courant au sous-sol", dit Damien.
 
Chucky se dévoua pour aller à l'étage. Ils prirent chacun une petite bougie et partirent chacun de leur côté. Pendant ce temps, les trois amis qui restaient dans le salon continuèrent de se raconter des histoires.
 
La lumière revint et Damien aussi. Mais Chucky était encore à l'étage. Ils lui crièrent de revenir et qu'il pouvait allumer la lumière mais ils n'eurent aucune réponse.
 
"Il a peut-être été tué par un tueur en série qui se promène dans la maison", plaisanta May.
 
Ils rirent tous de bon coeur à cette allusion à leur type de films favori et attendirent encore un peu le retour de leur ami.
 
Finalement il redescendit les escaliers quatre à quatre et entra précipitamment dans la salle.
 
"Venez là-haut, vite, il y a quelquechose d'incroyable!"
 
En effet, c'était incroyable. Mais il se faisait tard et j'en avais assez de regarder ce navet. J'éteignis donc la télévision et partis me coucher.


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Soyons ouverts d'esprit, mais pas au point de laisser notre cerveau s'enfuir.
Reply

Marsh Posté le 11-04-2005 à 04:11:45    

Sujet <n°18> - <show> a écrit :

 
cinq heures et quatre cents kilomètres venaient de passer; Marie marquait chaque minute par un mouvement vers la droite ou vers la gauche selon le sens des nombreux virages qui composent la route en lacets du col d'Oderoz. Ses deux amis d'enfance avec lesquels elle allait passer le week end s'étaient assoupis depuis quelques dizaines de kilomètres. Assommés par leur journée de travail, ils profitaient du calme pour se reposer en vue d'être aptes à  créer une tempête festive. Thierry avait tout prévu; il s'était chargé de louer un chalet à l'ubac du col d'Oderoz - lieu tranquille et loin de tout - afin de pouvoir revivre où se rappeller des instants vécus dans sa jeunesse avec Marie et Antoine. Une fois le sommet franchi, Marie rompit le silence:
-"hola! debout les hommes"
-"mais que se passe-t-il?" dit Antoine avec un accent japonais qui avait pour but de rappeller un sketche que les trois complices avaient l'habitude de voir lorsqu'il étaient plus jeunes.
-"oh mais qu'est ce qu'il se passe?" répliqua Thierry, fidèle au dialogue du sketche auquel faisait allusion Antoine. Mais cet échange théatral tenait plus du tragique que du comique qui les étouffait  lorsqu'ils avaient quelques années de moins. Marie le comprit et précisa le motif du réveil:
-"on vient de passer le col et je vais avoir besoin de vous pour trouver le chalet!"
-"on ne le loupera pas; il devrait y avoir une espèce d'aire avec des troncs à la droite desquels se trouve un chemin qui mène au chalet" dit thierry.
Quelques dizaines de secondes plus tard, la voiture s'engageait sur le passage évoqué par Thierry. Cerné par la forêt et assez étroit pour inquiéter la conduite de Marie, il ne faisait que quelques dizaines de mètres - distance suffisante pour cacher la maison derrière les arbres. La conductrice coupa le contact mais laissa les phares allumés afin de pouvoir trouver la serrure de la porte d'entrée - la voiture était immobilisée en pleine pente, face à un portail en bois dont Thierry ne trouvait pas les clés. Marie consulta sa montre pour vérifier le temps mis pour faire le trajet, il était dix heures moins cinq. Ils sortirent de la voiture puis, pressés par le froid, enjambèrent la barrière et se précipitèrent vers la maison afin de pénétrer au plus vite dans l'habitation. Une fraction de secondes avant de pousser la porte, Antoine fit remarquer:
-"les derniers occupants ont oublié d'éteindre la lumière"
Ses camarades firent deux pas en arrière puis regardèrent la fenêtre concernée de l'étage supérieur afin de vérifier ses dires. Il n'avait pas menti - "pourquoi l'aurait il fait?" se demanda Marie.
-"effectivement! le propriétaire va avoir une sacrée note si personne n'est venue depuis les vacances d'été!" s'exclama Thierry qui, après avoir débité cette banalité, ouvrit le passage à ses copains. Marie se chargea d'allumer la lumière et tous decouvrirent un intérieur exceptionnellement banal det dépouillé. Après quelques secondes d'observation et d'échanges de "c'est sympa!" soulignant l'hypocrisie naissante chez les récents adultes qui jadis se faisaient toute sorte de confidences en toute franchise, Thierry se déplaça dans la pièce puis se mit en face d'une commode sur laquelle il posa sa main:
-"bon Marie tu vas faire la poussière et nous allons commencer les bières entre hommes!" proposa t il. Marie souria puis alla se placer à côté de lui pour vérifier la netteté du dessus du meuble et ainsi jouer la maniaque.
-"c'est vraiment dégueulasse mais on est pas venu faire le nettoyage de printemps!" s'exclama-t-elle pour enfin donner à la soirée le cours que tous espèraient. Mais elle compléta:
-"ah tiens c'est bizarre il y a de la poussière partout sauf à cet endroit auquel on a pourtant pas touché" fit t elle remarquer
-"et puis t'as vu, la zone nette fait penser à un manche de couteau de boucher" dit Thierry, commençant à sentir que le chalet pouvait donner l'occasion de redonner vie à leurs jeux d'enfants qui consistaient à installer la peur.
-"c'est ça! en fait je me demande si on va avoir besoin de piccoler pour être bourrés; j'ai l'impression qu'on est déjà bien cuits - mais où est passé Antoine?"
Thierry appella Antoine sans obtenir de réponse. Résigné à le retrouver pour enfin commencer la soirée, il monta au premier étage avec Marie qui, faisant mine de chercher Antoine, évitait de rester seule dans une maison qui ne la rassurait pas. Une fois sur le palier, Thierry appella une nouvelle fois Antoine sans entendre de réponse. Il décida donc d'ouvrir toutes les portes en face de lui, comme pour jouer à cache-cache. Les wc, la salle de bain, une chambre, deux chambres, trois chambres, un debarras; Antoine n'était pas là.
-"il a du aller chercher les affaires dans la voiture" dit Marie
-"on va aller voir ça car il va bien falloir les prendre ces affaires" proposa Thierry. Puis les deux amis sortirent de la maison sans trop savoir s'ils allaient chercher leur ami ou leurs affaires. Dès le pas de porte, ils tentaient d'apercevoir leur pote autour de la voiture, aveuglés par les phares toujours allumés, sans succès. Ils se préparaient à le voir débouler en poussant un cri mettant un terme à la blague mais le temps passait et l'humour n'était plus la seule raison qu'ils imaginaient; il était dix heures et demi. Ils se dirigèrent vers la voiture et ne savaient plus quoi faire, quoi penser. Marie prit son sac dans le coffre, Thierry se chargea des bouteilles et autres packs puis les deux retournèrent au chalet. De nouveau à l'interieur, ils posèrent leurs bagages puis s'assirent en laissant le silence s'installer. La peur d'être piègés par le ridicule  se mêlait à la crainte de laisser passer le temps sans chercher Antoine.
-"quand on a vérifié s'il était là haut, on a allumé toutes les lumières?" demanda Marie
-"c'est plus pratique pour y voir" dit Thierry, agacé par la tournure des évènements.
-"c'est sur; mais en arrivant il y avait une lumière allumée à l'étage" dit Marie sur un ton laissant entendre qu'elle n'était pas l'idiote que la réflexion de Thierry avait pour but de mépriser. Dubitatifs, Thierry et Marie  ouvrirent le pack de bières et restèrent inactifs le temps de vider 4  canettes chacun et d'en entamer une cinquième en faisant le tour de la maison, éclairés par un briquet ridicule. Il était minuit moins cinq.




Message édité par show le 11-04-2005 à 04:50:08
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Marsh Posté le 11-04-2005 à 20:41:31    

Plus que quelques heures avant la fin...

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Marsh Posté le 12-04-2005 à 00:24:22    

Bon c'est écrit vite fait mais voilà mon texte.

Sujet 18 - meroee a écrit :

   
Lorsque nous avons décidé de nous aventurer dans les marais rouges et puant qui bordent le fleuve, je crois qu'aucun d'entre nous ne s'attendait à y finir sa vie. Nous voulions juste échapper un peu à l'emprise tyrannique de nos parents et prouver à tout le monde que nous avions grandit. Je pensais pour ma part que les fables que l'on racontait sur les marais n'étaient destinées qu'à nous faire peur. Je sais aujourd'hui qu'il n'en est rien.
Voici quelques extraits du journal que je tenais alors:
 
186ème jour d' errance.
Je suis malade depuis trois jours; sans doute l'odeur de ces marais sulfureux. Les autres m'attendent mais je sens que ma présence leur pèse et qu'ils veulent se hâter de sortir de là. Je suis devenu un poids pour mes amis, qui ne pensent désormais qu'à s'éloigner au plus vite de la puanteur et de la maladie. Durant nos derniers mois d'exil le ciel est brusquement devenu rouge. La nuit n'existe plus et je compte les jours grâce à un oiseau gris qui ne chante qu'à l'aube.  
Où que nous allions il n'y a que cette couleur chaude et brulante. Fréa se demande même si le monde existe encore au delà.
Je suis fatigué, cette lumière est épuisante, tout comme le ronronnement continu de ce marais qui bouillonne d'une vie étrange.  
Aujourd'hui nous avons encore mangé de cette grenouille bleuté que l'on trouve partout. Je pense que sa chair serait tendre et délicate s'il n'y avait pas sans cesse ce goût de soufre.
 
213ème jour d'errance.
J'ose à peine écrire dans ce journal ce qui m'arrive depuis un mois. Je pensais être malade et je m'étais secrètement fait à l'idée que j'allais bientôt mourir. En réalité mon corps se transforme. Loin de déperir, il s'adapte comme le prouve la peau doucement argentée qui palme mes pieds et mes mains. Je crois que ce n'est pas encore fini.  
Ce matin, les autres ont compris et ils se sont enfuis. Seule Fréa est restée avec moi. Elle n'a rien dit mais je crois qu'elle aussi se transforme.
 
268ème jour: fin de l'errance
Fréa et moi venons de faire la connaissance du peuple des roseaux. Ils nous acceptent parmi eux et semblent heureux de voir des visages nouveaux. Leur communauté semble fermée pourtant ils parlent beaucoup de "l'autre" qui serait arrivé bien avant nous.
 
270ème jour
Lorsque nous avons été autorisés à communiquer avec "l'autre", j'ai reconnu Sara. Tous les autres sont mort. Sara est fortement brûlé et sa mutation à commencé. Il ne se supporte pas tel qu'il devient. J'aimerais l'aider.
 
359ème jour
Le peuple des roseaux connaît le chemin de notre village mais ne s'en approche jamais. Pour ma part je ne pense pas y retourner un jour. Qui me reconnaitrait tel que je suis maintenant? Quelquefois j'ai un petit pincement au cœur quand je pense à mes parents et à ma petite sœur Cléo. Mais j'ai trouvé le bonheur auprès de Fréa dans ces marais fumants. La vie est paisible et depuis quelques temps je construis une maison en roseaux rouges. C'est là que j'espère élever mon fils.  



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Marsh Posté le 12-04-2005 à 00:25:14    

Bon les votes sont ouverts !!!

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Marsh Posté le 12-04-2005 à 08:20:57    

Ou elles sont les filles ? :whistle:

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Marsh Posté le 12-04-2005 à 20:37:38    

talbazar a écrit :

Ou elles sont les filles ? :whistle:


Et moi je sens le poisson? :cry:
 
Sûrement qu'elles ont plus de boulot que d'habitude en ce moment, où alors elles ont visité une petite maison perdue dans la forêt où il y avait de la lumière... :heink:

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Marsh Posté le 13-04-2005 à 16:05:08    

avec moi ça fait 2.. filles  :kaola:  
 
voter... c'est dur ça
 
bon
 
1 meroe; (et ce n'est pas parceque c'est une fille...)
 j'aime bien la façon d'ecrire et l'idee me plait
 
2 talbazar  
bel extrait  :)   on a envie de tout lire
 
3 Mario
ça se lit facilement pis la chute est bonne, j'avoue que quand j'ai commence je me suis dis: "mais on refait scream ou quoi"  :pt1cable: alors la derniere phrase disant tout au haut ce qu'on commence a penser tout bas fait partir le sentiment de mauvaise impression et donne au texte une autre valeur
 
4 Show  
 j'ai bien aime le cote psycho ( amis d'enfance, nouvelle relation en tant qu'adulte) mais c'est un peu lourd a mon gout et y a pas la fin!! ou alors je n'ai rien compris ou alors ç'est à episode
 
5 Le textorien  
j'ai pas vraiment accroche, peut être trop de dialogues
 
 
et maintenant je vais voir le prochain sujet


---------------
les choses n'ont d'importances que celles qu'on veut bien leurs accorder
Reply

Marsh Posté le 13-04-2005 à 16:34:15    

Personne n'a encore écrit une expédition en montagne pour atteindre un bar à stripteaseuse abandonné ? :D

Reply

Marsh Posté le 13-04-2005 à 16:38:14    

ganesha06 a écrit :

3 Mario
ça se lit facilement pis la chute est bonne, j'avoue que quand j'ai commence je me suis dis: "mais on refait scream ou quoi"  :pt1cable: alors la derniere phrase disant tout au haut ce qu'on commence a penser tout bas fait partir le sentiment de mauvaise impression et donne au texte une autre valeur


En même temps j'avais pas d'idée précise alors je me suis dit : "Je vais reprendre quelques grands classiques des films d'angoisse".
Je voulais reprendre un maximum de clichés mais j'en avais pas sous la main. C'est de là d'ailleurs que viennent tous les prénoms et les dates de mon texte.
J'aurais eu plus de données sous la main, j'aurais fait un texte plus fourni :D  
 
Mais sinon,  :jap:


---------------
Soyons ouverts d'esprit, mais pas au point de laisser notre cerveau s'enfuir.
Reply

Marsh Posté le 13-04-2005 à 23:09:20    

ganesha06 a écrit :

1 meroe; (et ce n'est pas parceque c'est une fille...)
 j'aime bien la façon d'ecrire et l'idee me plait


Merci  :jap:  

Reply

Marsh Posté le 13-04-2005 à 23:59:49    

Bon voilà mes impressions:
 
ganesha06:
Une remarque au niveau des temps. Tu passes du passé au présent puis tu reviens au passé, c'est un peu maladroit. Sinon l'idée est originale et le style agréable. J'attends avec plaisir ton texte pour le prochain sujet. :)  
 
talbazar:
L'histoire est sympathique même si l'on se sent un peu étranger. On sent que cet extrait fait parti d'un tout dont on ne connaît pas les fondements ce qui est un peu dommage. Sinon je chipotte mais ça me gêne un peu que les Amazones aient pu leur apprendre à creuser des abris dans la neige. Si l'on en croit la légende, les amazones n'ont pas du en voir souvent de la neige.
J'espère malgré tout que tu nous donneras l'occasion d'en lire un peu plus un de ces jours.
 
Le Textorien:  
L'histoire est bien menée, on comprend assez vite où tu nous emmènes. Petit regret cependant sur la fin, étant une fille j'espérais secrètement que Stéphane attendrait dehors. Quel dommage, un petit gars si plein de valeur.
J'ai voté pour, en grande partie pour le style qui me semble très bon.  
 
Mario_:
Et si on faisait trois groupes de un ? j'ai trouvé l'histoire amusante, encore que comme dans tout bon navet qui se respecte, la maison devrait être en ruine depuis un moment, sans électricité... En fait oui c'est l'électricité qui me choque.  :heink:  
 
show:
J'ai été bien prise par l'histoire et du coup je suis un peu déçue, j'ai l'impression qu'il me manque  la fin. Autrement je ne trouve pas ça très plausible que les deux amis aient passé deux heures sans chercher Antoine, d'autant qu'ils reconnaissent eux-même qu'une blague n'aurait pas duré aussi longtemps. :pfff:  
 

 
Auteur n°1 : show    
Auteur n°2 : Mario_  
Auteur n°3 : Le Textorien  

Reply

Marsh Posté le 14-04-2005 à 09:05:37    

meroee a écrit :


Mario_:
Et si on faisait trois groupes de un ? j'ai trouvé l'histoire amusante, encore que comme dans tout bon navet qui se respecte, la maison devrait être en ruine depuis un moment, sans électricité... En fait oui c'est l'électricité qui me choque.  :heink:  


Ouais mais sans électricité, il n'aurait pu y avoir de coupure de courant... ;)  
Non et puis j'ai dû faire ça en 1h30 alors les erreurs scénaristiques ne sont que le fruit de mon envie de coller le plus possible aux navets de ce genre [:itm]
Mais ça aurait mérité plus de temps, c'est clair.
Merci quand même pour le classement.
 
PS : soit dit en passant, je trouve cela regrettable que les topics écriture aient moins de succès qu'ils n'en ont eu. Il faudrait voir pourquoi. Les sujets sont pourtant très bons, je trouve...


---------------
Soyons ouverts d'esprit, mais pas au point de laisser notre cerveau s'enfuir.
Reply

Marsh Posté le 14-04-2005 à 10:03:52    

Mario_ a écrit :


PS : soit dit en passant, je trouve cela regrettable que les topics écriture aient moins de succès qu'ils n'en ont eu. Il faudrait voir pourquoi. Les sujets sont pourtant très bons, je trouve...


Oui je me suis demandée aussi si c'était à cause des sujets.
J'ai l'impression qu'en fait il y a des périodes "creuses", c'est déjà arrivé avant.  
Peut être une question de boulot.
Quoiqu'il en soit si ce sont les sujets qui ne plaisent pas, il suffit de le dire, je verrai ce que je peux faire.

Reply

Marsh Posté le 14-04-2005 à 10:10:56    

meroee a écrit :

Oui je me suis demandée aussi si c'était à cause des sujets.
J'ai l'impression qu'en fait il y a des périodes "creuses", c'est déjà arrivé avant.  
Peut être une question de boulot.
Quoiqu'il en soit si ce sont les sujets qui ne plaisent pas, il suffit de le dire, je verrai ce que je peux faire.


Oui, peut-être le boulot (rien que moi, je tâche de prendre le temps d'écrire, j'ai toujours le temps d'intervenir épisodiquement, mais je n'ai plus vraiment le temps de lire les autres textes pour votre :/).
Peut-être ausi les beaux jours qui reviennent, les gens ne veulent plus trop rester enfermés par ce beau temps lors de leur temps libre. Peut-être aussi l'effet de surprise qu'il y avait au début du topic qui s'estompe.
Enfin, bref, tant qu'on nous autorise à continuer l'atelier, autant continuer tant qu'il y a des gens motivés.
 [:spamafote]


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Soyons ouverts d'esprit, mais pas au point de laisser notre cerveau s'enfuir.
Reply

Marsh Posté le    

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