Comment créer son propre roman de Heroic Fantasy ou de SF ? - Arts & Lecture - Discussions
Marsh Posté le 20-08-2006 à 18:27:50
Prems a écrit : Tu es juste la 32653eme personne à faire un topic là-dessus. |
Je suis vraiment désollé ... mais pourais tu m'indiquer ou poser ma question alors ? merci
Marsh Posté le 20-08-2006 à 18:28:38
ReplyMarsh Posté le 20-08-2006 à 18:41:36
J'ai déja vu ce topic , mais je préférerais un topic ou il y a des conseil pour ECRIRE et non pour lire ...
Marsh Posté le 20-08-2006 à 20:08:20
je viens de lire un livre d'Orson Scott Card sur le sujet, traduit en francais il n'y a pas longtemps : http://www.amazon.fr/gp/product/29 [...] &s=gateway
la couverture ne paye pas de mine, mais le contenu est sympa.
Marsh Posté le 21-08-2006 à 05:08:15
Et un auteur de "heroic fantasy", un! Non mais on commence à en avoir trop Y a d'autres genres vous savez...
Marsh Posté le 21-08-2006 à 16:34:24
Alors comme ça, tu es un amateur de HF toi aussi? Eh bien...
Marsh Posté le 23-08-2006 à 19:48:01
Salut Zoubigoudi!
Ben moi je te dirais qu'il n'y a pas de recette pour écrire une histoire, pour moi il faut faire comme on le sent et puis ça change beaucoup selon la personnalité de l'auteur. Par exemple j'ai un ami qui écrit avec la personne "je" et moi je déteste ça, quand j'essais d'écrire moi je n'arrive pas à utiliser la personne "je". Tu vois tout dépend dans quel style tu te sent le mieux.
Pour l'élaboration du scénario j'éspére que tu as déjà une idée en tête. Et puis il vaux mieux que tu sache déjà la fin, comme ça tu sais toujours où tu vas. Mais j'ai entendu dire que certain auteur arrivaient à faire sans, donc ici aussi ça ne dépend que de toi.
Pour le suport ça dépend encore de toi. Si tu es assez rapide pour taper sur un clavier je te conseil l'ordinateur, c'est plus facile pour reprendre le texte, et puis tu n'auras pas à tout réécrire une fois ton histoire fini. Mais mon ami déjà sité lui n'écrit QUE sur papier, donc franchement fait comme tu le veux.
Voilà, j'espére avoir répondu à quelques unes de tes questions...
Marsh Posté le 23-08-2006 à 22:34:30
Sinon, je pourrais eventuellement te citer ceci:
Citation:
J'ai énormément de bonnes idées, au point que j'envisage d'écrire un cycle de fantasy. Que me conseillez-vous?
Je te conseillerais de ne pas planifier l'écriture de plusieurs romans: cela ne sert à rien. Ecris-en déjà un, tu verras que ce n'est pas de la tarte je ne parle pas seulement de l'écrire, car tout le monde peut raconter une histoire correcte en griffonnant sur des feuilles de cours, je parle d'en faire quelque chose de potentiellement publiable, et là c'est une autre paire de manches.
Une fois que ce roman sera terminé, il ne sera pas trop tard pour entamer une éventuelle suite ou, plus vraisemblablement, de le relire avec un peu de recul, te rendre compte que tu as maintenant d'autres envies, d'autres projets, et de passer à autre chose.
La plupart des jeunes auteurs planifiant sur plusieurs années l'écriture d'un cycle au lieu d'un one-shot plus modeste semblent ne pas comprendre qu'à vingt ans, à vingt-cinq ans, à trente ans, ils n'auront pas forcément envie de poursuivre dans la voie qu'ils avaient prise à quinze ans. Cela me semble pourtant être la sagesse la plus élémentaire.
Citation:
On m'a dit que, vu le nombre de manuscrits reçus par les éditeurs, il était très difficile d'être publié... Devrais-je arrêter d'écrire?
Oui, et je suis catégorique: tu devrais arrêter d'écrire, car tu écris pour de mauvaises raisons. Si tu écris pour être publié, tu perds ton temps, entendu que tu as à peu près autant de chance de parvenir à tes fins que de remporter la grande cagnotte du Loto.
La publication doit être vue comme un bonus, une récompense pour son travail, et non pas comme une finalité. Si tu es publié, tant mieux, ce sera le début d'une nouvelle aventure passionnante pour toi et tes écrits; mais si tu ne l'es pas, cela ne doit pas remettre en cause ta passion pour l'écriture.
Si tu n'écris pas par besoin, mais uniquement pour devenir riche et célèbre, je suis désolé de te l'apprendre: tu t'es trompé de métier.
Citation:
Je ne suis pas très bon en français, notamment pour tout ce qui est grammaire et orthographe... Cela peut-il me jouer des tours dans ma quête d'un éditeur?
Encore heureux que les manuscrits truffés de fautes d'orthographe soient mal vus! Il y a déjà suffisamment de bons textes parfaitement clean, retravaillés sans cesse par leur auteur, pour que les éditeurs n'aient pas à s'encombrer de torchons plus ou moins bâclés. D'ailleurs j'ai du mal à comprendre que l'on puisse écrire sans maîtriser la langue, qui est l'outil numéro un de l'écrivain au même titre que le rabot l'est pour le menuisier...
Autrement dit, au lieu de passer ton temps sur ta Playstation pour trouver de nouvelles idées de monstres à intégrer à tes histoires, tu ferais aussi bien de plancher sur l'excellent ouvrage de monsieur Bescherelle, voire d'ouvrir un dico de temps en temps, je t'assure, ça ne mord pas!
Au pire, si vraiment la langue française t'est trop hostile, tu peux toujours te mettre à la couture, le paysage littéraire ne s'en portera pas forcément plus mal.
Citation:
On m'a proposé de répondre à des Appels à Textes, mais je préfère me consacrer à mon cycle de fantasy en sept tomes. Ai-je tort?
Oui. Enfin, tu fais comme tu le sens, mais dans une optique de progression, mieux vaut essayer de varier les techniques d'écriture plutôt que de patiner pendant des années sur le même projet.
De plus, participer à des AT peut permettre à tes textes de paraître dans des fanzines ou des anthologies, ce qui n'est certes pas aussi valorisant que la publication d'une trilogie chez Bragelonne, mais qui présente un avantage certain: au moins, c'est à ta portée.
Et si certains auteurs ont su faire leur trou dans le monde de l'édition sans passer par les Appels à Textes et les concours, il serait absurde de nier que ceux-ci constituent d'une part un entraînement efficace, et d'autre part une bonne porte d'entrée dans le Milieu. C'est un fait: n'importe quel éditeur sera plus enclin à examiner avec attention le manuscrit d'une personne déjà un tant soit peu réputée dans le Milieu, que le manuscrit d'un parfait inconnu.
Citation:
Mes idées sont tellement géniales que j'ai peur d'être plagié. Comment m'en protéger?
Ah, le plagiat! Vaste sujet qui fait couler beaucoup d'encre, et notamment l'encre à bêtises. Chacun a son avis sur la question, mais personnellement j'ai tendance à penser que cette hantise du plagiat n'est qu'un fantasme de jeune écrivain, persuadé que ce qu'il a écrit est littéralement génial et totalement inédit au point d'attiser toutes les convoitises.
Si cela peut t'aider à trouver le sommeil, tu peux toujours protéger tes oeuvres auprès d'organismes spécialisés attention aux arnaques, tout de même mais je le répète: de mon point de vue, cela ne sert à rien.
Aucun particulier n'ira te piquer tes textes pour les proposer à un éditeur, puisque publier un texte est un véritable parcours du combattant et qu'il est donc plus simple, quitte à faire dans le grand banditisme, de trafiquer des armes ou de la drogue.
Quant au fantasme du méchant éditeur qui volerait les textes du gentil auteur, soyons sérieux: si ce que tu lui as envoyé l'intéresse, pourquoi se priverait-il d'une collaboration avec toi? Ou alors, seconde possibilité, ce que tu lui as envoyé ne l'intéresse pas, auquel cas il n'ira pas te voler une oeuvre dont il ne saura que faire.
Citation:
Un éditeur m'a renvoyé mon premier roman en me disant qu'il n'était pas publiable. J'avais pourtant passé six mois dessus. Ai-je perdu mon temps?
Non, malheureux! On ne perd jamais son temps en écrivant. Tu connais le dicton "C'est en forgeant qu'on devient forgeron"? Cela est particulièrement vrai dans le cas de l'écriture.
Tu espérais quoi, qu'il te suffirait de t'armer de deux ou trois idées prétendument révolutionnaires, de la lecture de l'intégrale de Gemmell et de quelques bonnes notes en rédaction au collège pour pondre le chef-d'oeuvre qui mettra tous les éditeurs à tes pieds?
Tu fais fausse route, l'ami. Mis à part quelques contre-exemples du genre "Eragon" presque intégralement réécrit par l'éditeur sous le nom du gamin qui avait commis la base du roman, afin de faire croire aux ados du monde entier qu'eux aussi peuvent écrire un roman publiable à leur âge, ce qui est faux un écrit de jeunesse n'aura jamais le niveau suffisant pour trouver grâce auprès d'un éditeur, pour des questions évidentes de maturité du style, des idées et, globalement, de technique littéraire.
En bref, deux solutions s'offrent alors à toi: ou bien tu te décourages à l'idée de ne pouvoir rien écrire de valable avant de fêter tes trente ans, ou bien tu te remets au boulot, en espérant qu'une pratique assidue de l'écriture pourra faire redescendre le seuil fatidique aux alentours de ton vingt-cinquième anniversaire.
Citation:
Je sais que le roman que j'ai écrit est loin d'être parfait, mais je souhaite l'envoyer à un éditeur pour savoir ce qu'il vaut, qu'en pensez-vous?
J'en pense que tu te trompes. Ce n'est absolument pas le boulot de l'éditeur. Certains, comme Cinquième Saison, prennent effectivement le temps de commenter en détail les manuscrits qu'ils refusent, mais c'est un service exceptionnel qu'ils rendent là, et non un dû.
L'éditeur est une structure pro, chargée de choisir entre plusieurs manuscrits de haut niveau, celui qui méritera d'entrer dans leur catalogue. Si tu as conscience de ne pas encore avoir le niveau pro, ne perds pas ton temps avec les éditeurs, et surtout ne leur fais pas perdre leur temps.
Pour avoir un avis sur tes écrits, essaie les forums, crée-toi un réseau de bêta-lecteurs compétents, et une fois que tu auras suffisamment progressé, une fois que tu te sentiras prêt à tenter l'aventure du professionnalisme, va frapper à la porte des éditeurs. Mais pas avant.
[MAJ du 07/08/06]
Citation:
Je n'ai pas pu me retenir: à peine terminé, mon premier roman vient d'être envoyé à mon éditeur préféré. J'en ai parlé a un ami et, au lieu de me féliciter, cet idiot m'a dit que j'aurais mieux fait de le proposer à un ou plusieurs bêta-lecteurs. Qu'est-ce que c'est que ce truc, encore?
Malheureux! Tu as osé envoyer ton chef-d'oeuvre à un éditeur sans le soumettre au regard acéré d'au moins un bêta-lecteur? J'espère que tu ne comptes pas bosser dans l'aéronautique: tu serais du genre à lancer une fusée dans l'espace sans aucun essai préalable.
Tu me demandes ce qu'est un bêta-lecteur? Il s'agit tout simplement d'une personne qui lira ton texte et qui, en plus de te donner son avis de lecteur car tu écris pour être lu, n'est-ce pas? te proposera des pistes d'amélioration, voire des corrections si cette personne est douée en orthographe, grammaire, syntaxe, etc.
Mais attention: en règle générale tu dois bannir de ton équipe de bêta-lecteurs tout ce qui est parents, meilleur pote, petit(e) ami(e) et autres proches, qui auront une tendance prononcée au "waouh, trop génial!", certes toujours agréable à entendre mais pas forcément constructif. Privilégie des lecteurs plus "neutres" qui, eux, sauront juger ton oeuvre en toute objectivité et n'hésiteront pas à recadrer ce qui ne va pas.
Citation:
Je n'avance pas: ces six derniers mois, je n'ai écrit qu'un chapitre de dix pages, ce qui est embêtant puisque je comptais avoir terminé ma trilogie en un an pour pouvoir l'envoyer à Bragelonne. Mais vous comprenez, en ce moment je suis très occupé, entre les sorties avec les copains, les révisions pour mes exams, mes clubs d'aïkido, de danse, d'équitation, de tir à l'arc, et mes vacances consacrées à l'apprentissage du japonais et du coréen... Comment faire pour trouver le temps d'écrire?
Tu veux un vrai bon conseil? Arrête immédiatement d'écrire, puisque tu n'as pas de temps à consacrer à l'écriture. Oui, c'est aussi simple que cela. De deux choses l'une:
Ou bien tu as réellement besoin de toutes ces activités, auquel cas tu ferais mieux de sacrifier celle qui demande le plus d'investissement pour arriver à un bon résultat. Exit l'écriture, donc. En plus, avouons-le, c'est tout de même la moins glamour de toutes, la plus mal considérée, et celle qui a le moins de chance de t'apporter gloire, reconnaissance, argent et filles faciles. Tu n'auras donc pas fait une mauvaise affaire en privilégiant le snowboard.
Ou alors, seconde hypothèse, tu pourrais trouver le temps d'écrire mais tu cherches, plus ou moins inconsciemment, à t'accabler de choses à faire afin de ne pas te retrouver devant cette maudite feuille blanche. Tous les moyens sont bons pour ne pas écrire. Au final, tu te retrouveras donc avec une "idée géniale de roman" en tête, et qui restera à l'état de rêve, voire à celui de projet vaguement ébauché sur quelques feuilles volantes. Ne t'en fais pas, tu ne seras pas le premier dans ce cas: ils sont des millions avant toi à avoir emprunté la voie commode du "si j'avais pu, j'aurais fait ceci". Les seuls qui auront réussi seront ceux qui s'en seront donné les moyens, des moyens qui correspondent notamment au temps que l'on aura bien voulu y consacrer.
Citation:
Je me suis rendu compte, en lisant le résumé d'un roman écrit par je ne sais quel auteur anglo-saxon, que certaines de mes idées que je croyais inédites avaient déjà été utilisées par cet auteur. Cela m'a un peu découragé. Comment faire pour écrire quelque chose de vraiment original?
Tes interrogations sont légitimes. Quand on débute dans l'écriture, ou tout simplement quand on ne s'est jamais penché sur le problème, on croit souvent qu'il reste de nombreuses pistes non-explorées, de nombreuses idées jamais développées, de nombreux thèmes jamais abordés. C'est évidemment une erreur. Je te renvoie pour cela au concept d'intertextualité, qui consiste grosso modo à dire que toute oeuvre se nourrit de celles qui l'ont précédée.
Autrement dit, oublie l'idée-géniale-jamais-vue qui te consacrera auteur le plus inventif de ta génération. Tout ce que tu écriras pourra être rapproché d'un autre texte ou d'un autre auteur. Mais est-ce une raison pour ne pas écrire ou, pire, chercher à "révolutionner l'écriture"? Certes non. Un musicien ne va pas refuser de composer une nouvelle partition sous prétexte que toutes les notes ont déjà servi un jour ou l'autre. À toi d'appliquer ceci à l'écriture.
En quoi peux-tu te démarquer des "concurrents", dans ce cas? Tout bonnement en traitant les mêmes idées, les mêmes thèmes, mais d'une manière qui te sera propre. Tu peux raconter une énième version du combat du Bien contre le Mal, tu peux même faire appel à un jeune Élu de la Prophétie affublé d'une épée magique, si tu arrives à entraîner ton lecteur dans ton univers, il ne devrait pas trop renâcler à l'idée de lire une histoire qu'il a déjà lue / vue / entendue cent fois auparavant.
Citation:
Je pense avoir de bonnes idées, mais au niveau du style, ce n'est pas encore tout à fait ça. Mais ce n'est pas très grave, le plus important dans un roman c'est l'histoire qu'on raconte, n'est-ce pas?
Tu t'enfonces le doigt dans l'oeil bien profond, mon petit. Oui, l'histoire que tu veux raconter est importante. Non, la manière dont tu la raconteras n'est pas un détail.
Retiens cela une bonne fois pour toutes: on ne peut pas dissocier forme et fond. Un texte mal écrit, quelles que soit ses autres qualités, restera un texte indigne d'être lu. Tu peux avoir de l'imagination et de la créativité à revendre, si tu ne maîtrises pas parfaitement le vocabulaire, si la construction de tes phrases est bancale et si tu racontes ton histoire comme si c'était un clip de M6 ou un reportage nocturne d'ARTE, arrête de croire que ton texte va intéresser d'autres personnes que ta mère qui, de toute façon, ne lit jamais rien d'autre que Télé 7 Jours.
Attention, quand je parle de l'importance de la forme, je ne milite pas nécessairement pour un style "littéraire" autrement dit, un style plus ou moins pompeux et chiant. Non! Je suis personnellement favorable aux styles simples, clairs, précis, directs... Mais "simple" ne veut pas dire "simpliste". Tu peux être efficace même en connaissant plus de cent mots de vocabulaire et en faisant des phrases dépassant la longueur d'une ligne. Il s'agit juste de savoir comment s'y prendre, et cela s'apprend: c'est ce que l'on appelle maîtriser son style.
Pour conclure, si tu continues à écrire des romans comme tu écrivais tes rédacs au collège, ne t'étonne pas que les lecteurs ne te suivent pas. Dans ce cas, je te conseille de lire, tu verras, le contact des grands auteurs ne peut pas faire de mal à ta propre manière d'appréhender l'écriture. (Écrit par Oliv)
Bon bon, inutile de me remercier
Marsh Posté le 12-07-2008 à 11:11:29
si tu ve ecrire une histoire et que tu a tout les element qu'il te faut alors fait comme tu le sens mais si tu ecrit un roman heroic fantesy n'utilise pas "je" parce que c'est de l'imaginaire . Si tu ne sais pas comment commencer et bien tu a qu'a lire le debut de plusieurs romans et tu auras une meilleur idée de comment commencer ! A oui et surtou n'oubli pas il faut toujour mettre beaucoups de d'ataille pour que le lecteurs puisse voir exactement se que tu ve qu'ils voit . Mais si tu sens que c trop long et que le lecteur se detache de la lecture essaye de mettre une pu d'action du genre : " En alent cher Ada il apersu il aperçu une montagne extraordinaire qu'il n'avait pas remarquer la derniere fois qu'il etait venu, elle avait du aparaitre lors de son absence, car elle n'etait que plaine. Les elfes avait du utiliser leur sorcellerie etrange mais efice pour qu'elle soit aussi lisse et belle, la montagne etait jeune et pointue, elle briller a la lumiere du coucher du soleil q'un jaune-orange eclatent, il y avait ces arbes etranges avec des piques crochus qui faiser penser a une rose geante et a tronc epais, il y avait un ruisseau, du moin c'est se que Roy aperçut, il etait bleu trensparent ou l'on voyer les poisson sauter et se faire atraper pour etre manger, il fut vite detourner du regard en voyent arriver Weal, il s'etait passer quel'que chose, mais quoi ? Roy n'en avait ocune idée. Il se pressa pour ratraper Weal, il y parvint, lorsque ils s'etait arreter devant la maison Ada.
-Qu y a t'il Weal ? demenda soupsoneu Roy,il c'est passer quel que chose? quel que chose de grave ?
-va voir, aquiessa Wael.
Roy entra laisent derrier lui Weal. Il aperçu Tara, la guericeuse, elle etait a coter d'un lit, le lit d'Ada. Il s'avença, et vit Ada, pale comme la roser du matin, meme ses pomette etait blanche, ses yeux fermer et bleuatre, elle etait morte! Mais comment ? Roy jura du plus profond de son etre, et promis de la venger, qui que fut son meurtrier."
Voila tu vois? il ne se passe pas grand chose en quelle ligne mais c'est comme ça que sa marche. Les chapitres doivent etre asser long pour que le lecteur ne sennui pas et qu'il se passe pas mal de chose.Plus les chapitres son long plus le lecteur va rentrer dedans, il y aura plus de d"etaille et plus d'histoire. Voila c'est a peu pres tout. Le reste tu devrer pas avoir de mal .
A+
Marsh Posté le 12-07-2008 à 11:16:25
staellane gerber a totalement raison ! suis ses conseille quoi que tu fasse !!!!!!!
Marsh Posté le 12-07-2008 à 11:25:21
ça date d'il y a 2 ans, stop !
Marsh Posté le 19-07-2008 à 17:28:54
bon ben meme si sa fait depuis 2 ans g une question
Je ve ecrire une histoire ety je voulais savoir si je peu utiliser le mot "dragonnier" (pas pour la plente) sens des droit d'auteur?
c tout
Marsh Posté le 19-07-2008 à 17:47:48
medievalfentesyIlove a écrit : bon ben meme si sa fait depuis 2 ans g une question |
Par pitié, apprends l'orthographe avant de commencer.
Marsh Posté le 24-08-2009 à 15:58:31
Bonjour,
Je te conseille de commencer par passer un bon mois sur ton monde, les personages et la quête principales. Fait toi des fiches, dessine ta carte, parle s'en à tes amis. A chaque fois que j'ai raconté mon histoire des nouvelles idées sont venus, je dis bien à chaque fois.
Bonne chance.
Marsh Posté le 14-09-2009 à 23:14:25
Citation : Et un auteur de "heroic fantasy", un! Non mais on commence à en avoir trop Y a d'autres genres vous savez... |
Moi je dis qu'il faudrait créé un topic pour débattre de la question, parce que sur tout les topics d'écriture, on distingue rapidement deux "clans", ceux qui veulent en écrire et ceux qui en ont marre de ceux qui veulent en écrire et qui, au passage, écrivent, parfois, d'autres genres. Personnellement, je trouve qu'il y a trop de torchons copiés-collés de Tolkien, S.C. Lewis et cie, les fondateurs du genre quoi. Je demanderais même que l'on renouvelle le genre, parce qu'à chaque nouvelle sortie, ou presque, on a l'impression que les dernières gouttes de la source s'échappe. Brefs, j'attends quelques réactions de votre part vis-à-vis de ce que je viens de dire, car la question mérite amplement l'intérêt de tout lecteur et écrivains, amateurs et professionnels, en tout genre.
Marsh Posté le 15-05-2011 à 14:33:26
Tu sais moi aussi je débarque et je viens de poser à peu près les mêmes questions que toi.
Moi perso, quand j'écris c'est sur ordi, car je tape vite, mais si tu écris mieux que tu ne tapes écris sur du papier.
J'ai déjà écris un roman, (47 pages.), qui reprenait les personnages de mon livre préféré (Tara duncan), et j'ai écris la suite, pour commencer c'est plutôt pas mal, car ca enléve déjà un poid de tes épaules, tu n'as plus qu'à inventer ta suite !
Bien sûr c'est pas comme ça, que tu seras reconnu, ou que tu pourras faire lire tes livres, mais ce serait juste un entrainement.
Après tu pourrais continuer, en prenant en considération ce qui s'est passer avec ton premier roman.
Choisir tes propres personnages, correspondant à ton histoire, car avant de commencer il faudrais que tu te fasses ton propre scénario.
Pour la personne, moi perso j'ai utiliser le "je" et je n'y suis pas arrivé, il faut dire que c'est assez compliqué, tu ne peux pas te trouver à plusieurs endroits, et tu es obligé de rester dans la peau d'un seul personnage.
Ensuite, il ne faut pas toujours s'attendre à se faire publier, se faire publier, c'est très compliqué, mais tu peux quand même essayer.
Moi j'écris pour le plaisir de laisser mon imagination courir, et il faut d'abord prendre plasir, après tu verras bien.
Pour établir ton scénario, il faut que tu y trouves de tout, de l'amour, mais aussi du suspense, des trahisons, et tu dois trouver des endroits différents à décrire dans ton livre, tes propres thermes et il faut que tu te mettes dans la peau de tes personnages.
Et pour finir, si j'étais toi, je commencerais, par me faire un scénario en tête, puis je choisirais un titre, ensuite les noms de mes personnages, et je me les décrirais dans ma tête, ensuite je commencerais à écrire le résumé, puis je commencerais l'histoire.
Un conseil, met des détails dans ton livre et du dialogue, ne laisse jamais trop de pages de description, sinon les lecteurs n'auront pas envie de continuer, et surtout ne fais pas trop de répétition.
Voilà, j'éspére que mon (très) long message t'aura servis !
Marsh Posté le 15-05-2011 à 15:14:19
Reply
Marsh Posté le 20-08-2006 à 18:17:41
Salut tout le monde !
Comme vous l'avez comprit , j'aimerais (beaucoup) écrire mon propre roman de Heroic Fantasy ou de SF ! J'aime beaucoup ce genre de roman , j'en ai lu déja un bon paquet ! Mes préféré sont : Eragon pour l'heroic fantasy et Bobby Pendragon pour la SF ! Peut etre que peu de personne connaissent le deuxième ...
Mais je n'ai pas posté ce topic pour parler de ça. Mon probleme se résout à peu de choses : "Je ne sais pas vraiment par ou commencer!" Il y a tellement de choses qui me viennent à l'esprit !
Quel est le meilleur support pour écrire (ordi, papier, ... ?)
Quelles sont les bonnes questions à se poser avant de commencer ?
Comment établire un scénario ?
Quelle est la personne à adopter (Je, Il ... ?)
...
Je devient fou ! lol !
Merci de me répondre !
PS : je débarque sur le forum , je ne suis donc peut etre pas au bon endroit pour poser ma question ...