> Post publié dans la rubrique : Portables & PDA
 
Pour ceux que ça interresse :
 
Voici la trad d'un article récemment publié sur www.economist.com
Si vous voulez en savoir plus sur la convergeance des téléphones mobiles avec le monde de l'informatique, alors ça peut être instructif. D'autant que c'est vraiment une analyse de fond faite par des économistes.
 
Lien de l'article original en anglais :
http://www.economist.com/displayst [...] id=1454300
 

 
 
Nokia contre Microsoft: la lutte pour la domination numérique
 
La convergence de téléphones mobiles et ordinateurs met les géants des deux industries en conflit direct. Il resemble à un téléphone mobile, mais le SPV Orange, lancé le mois dernier, est beaucoup plus que cela. Avec son écran couleur, icônes voyantes et sonneries musicales, il ressemble aux autres téléphones sur le marché. Mais il a une caractéristique différente : le logiciel à l'intérieur comme le montre le logo en quatre couleurs sur son écran. Le SPV est le premier Smartphone sous Windows, plus simplement, il exécute le logiciel de Microsoft. C'est la tentative du géant du logiciel pour s'introduire dans le nouveau marché créée par la convergence de téléphones mobiles et des ordinateurs. C'est n'est rien de moins qu'une déclaration de guerre.  
 
En mettant de nouvelles technologies dans les mains des consommateurs sous une forme facile, les nouveaux téléphones peuvent réussir où le PC a échoué Le marché pour smartphones est encore petit. Mais c'est un marché en pleine expansion au fur et à mesure que les nouvelles fonctionnalités sont ajoutés aux combinés, en les rendant de plus en plus intelligent. Des 400 millions de téléphones mobiles qui seront vendus cette année, les téléphones avec appareils-photo representeront environ 16millions. Nokia, le premier fabricant de téléphone, pense vendre de 50 à 100 millions de combinés avec écran couleurs l'année prochaine. Un nouveau rapport d'Analysys, un cabinet-conseil de l'industrie, prédit que d'ici 2007 presque 300m Européens porteront des combinés avec écrans couleur, appareils-photo, musicaux, support pour les jeux téléchargeables, et autres traits qui sont maintenant seulement disponible sur les modèles les plus avancés. De telles fonctionnalités sont déjà communes au Japon et Corée du Sud, et ils commencent à paraître en Europe et en Amérique. Ces combinés avancés sont en effet, des ordinateurs de poche mais ils sont plutôt sortis de l'industrie electronique grand public que du monde de l'informatique.
 
En mettant de nouvelles technologies, tel que la photographie numérique et la messagerie électronique, dans les mains des consommateurs dans un appareil facile à utiliser, les nouveaux combinés peuvent réussir là où le PC a échoué. Les téléphones mobiles ont une part de marché plus importante que les PCs (cf tableau 1). L'exception est en Amérique du Nord où les PCs sont plus nombreux que les téléphones mobiles mais ceux ci rattrapent leur retard rapidement.
 
En Europe, plus de gens envoient maintenant et reçoivent des SMS sur leurs téléphones qu'ils n'utilisent Internet, d'après les chiffres de Gartner, un autre cabinet-conseil. Cette année, les utilisateurs de téléphones mobiles ont dépassés le 1 milliard. Le nombre de téléphones mobiles est maintenant plus grand que les postes fixes.
 
Le talkie-walkie PC
 
Les ventes PC, pendant ce temps, ont stagné, et l'innovation a ralenti: les PCs d'aujourd'hui sont vraiment comme ceux d'il y a une année ou deux mais seulement plus rapides. Les ventes d'assistants numériques personnels (PDAs), autour de 10 millions par an, sont une valeur qui stagne à cause du volume des ventes de téléphones mobiles. L'?ordinateur individuel? est vu comme un terme trompeur ; l'appareil numérique vraiment personnel et universel est aujourd'hui le mobile.
 
Cela ne veut pas dire que les PCs disparaîtront. De même que les mainframes continuent à « tourner » dans les sociétés depuis 20 ans meme après l'apparition du PC, aussi les PCs continueront à avoir un rôle important. Peu importe leur prix, il y a des limites au nombre de gens qui veulent acheter un PC. Le postulat de Microsoft : «  1 PC sur chaque bureau et dans toute maison » paraît bien démodé. La compagnie parle maintenant de ?autoriser les gens à communiquer n'importe ou et n'importe quand en tout lieu et place avec n'importe quel appareil?. C'est une reconnaissance, concède Ed Suwanjindar de la division de la mobilité de Microsoft, que le PC n'est plus roi, et que ?les appareils mobiles sont totalement dans la nouvelle vision étendue pour la compagnie.?  
 
Il peut paraître bizarre un temps d'entrer dans ce marché, etant donné l'incertitude et les difficultés techniques qui entourent le changement à ?troisième génération? (3G) de réseaux mobiles. Mais la possibilité que les téléphones mobiles puissent prendre la relève de PCs comme le centre de communcation en lieu et place de ceux ci entraine l'acceptation de Microsoft à cette technologie; d'où le lancement du SPV. Le SPV est le premier d'une nouvelle gamme d'appareils pour étendre la domination de Microsoft dans le nouveau royaume mobile.
 
Avec son logiciel basé sur Windows, le SPV est, en effet, un PC entassé dans la boîte d'un téléphone mobile, complétez avec versions « light » du navigateur web de Microsoft, d'e-mail et lecteur de médias. Microsoft espère ainsi refaire ce qui s'est passé dans le marché des PC où Microsoft a établi un monopole énormément avantageux avec son logiciel Windows. (Les chiffres qui ont émergé pour la première fois cette semaine montrent que les marges bénéficiaires de Microsoft sur son logiciel Windows sont de 85%, alors que beaucoup de ses autres divisions font des pertes.)
 
Comme Microsoft essaye d'arriver à ce nouveau marché, les constructeurs de téléphone mobiles établis, comme Nokia leur chef, sont déterminés à l'arrêter. Ils ont vu comme le monopole Windows de Microsoft a changé les constructeurs de PC en « vendeurs de boites » , ils sont déterminés à ne pas subir le même destin.
 
Les Symbianistes
 
La première embuche pour Microsoft a été le refus par les constructeurs du combiné d'acheter le software?ce qui représente l'inverse de ce qui s'est passé dans l'industrie de l'ordinateur. Là, les constructeurs PC ont fait la queue pour acheter la licence Windows. Les plus grands constructeurs de téléphones mobiles, en revanche, ont établi un consortium du logiciel appelé Symbian pour produire leur propre logiciel de smartphone. Leur but était d'offrir les avantages de Windows (un logiciel seul commun et standard) sans l'inconvénient principal : que Microsoft le possède. ?Nous voulons nous détourner de Microsoft?nous ne voulons pas refaire la meme erreur que pour les PCs? dit un porte-parole d'un constructeur de téléphone.
 
Plusieurs combinés basés sur Symbian sont déjà vendus. Le dernier né est le Nokia 7650, avec un appareil-photo encastré et écran couleur. Il a été lancé en été et les ventes sont supposées en dépasser 2 millions d'ici la fin de l'année. Plus de combinés Symbian apparaîtront les prochains mois. En plus de Nokia, les partisans de Symbian incluent Motorola, le deuxième-grand constructeur du combiné du monde, Siemens, le numéro deux en Europe, SonyEricsson, Panasonic et Samsung. Entre eux, les détenteurs d'une licence Symbian représentent presque 80% de tous les combinés vendus (voyez le tableau 2).
 
Mais de même que les constructeurs de voiture peuvent faire plusieurs modèles entièrement différents sur le même ?plate-forme?, ou châssis, le logiciel Symbian est assez flexible pour permettre aux constructeurs du combiné d'essayer beaucoup de designs différents sans devoir recommencer à partir de zéro à chaque fois. Quelques téléphones se concentreront sur la photographie et les messages avec des images; les autres sur la musique ou les jeux; d'autres encore sur l'accès à l'email d'entreprise. Quand Henry Ford a lancé le Modèle T, note M. Levin, il n'avait aucune idée que le SUV suivrait. Le marché du combiné, il suggère, évoluera aussi dans les directions inattendus.
 
Une intéressante modification sur le modèle Symbian a déjà émergé. Le logiciel Symbian fournit les fonctionnalités qui sont essentielles à un système d'exploitation du smartphone, tel que support pour la téléphonie, la gestion des graphiques, la sécurité et l'accès Internet. Mais les détenteurs d'une licence Symbian et promoteurs du logiciel sont capables d'examiner et de modifier ses entrailles, à l'inverse des constructeurs qui utilisent le logiciel de Microsoft. Les détenteurs d'une licence peuvent changer aussi les menus ou l'?interface de l'utilisateur?. Nokia, par exemple, a développé une interface utilisateur a appelé Série 60, et l'a autorisé pour utilisation à autres constructeurs du téléphone, y compris les Samsung, les Siemens et les Panasonic.
 
L'interface « Serie 60 » pourrait devenir comme l'interface de l'utilisateur standard pour smartphones?un peu comme Windows sur les PCs. Microsoft est sceptique, bien sûr. ?Chaque détenteur d'une licence Serie 60 est un concurrent dans la partie du matériel,? observe M. Suwanjindar. ?Si vous vous appelez Siemens, est-ce que Nokia à intérêt à vous aidez ? ? Cependant le seul grand constructeur à avoir utiliser Microsoft pour le logiciel du smartphone est : Samsung. Mais Samsung est célèbre pour tout avoir en terme de licences : il a Symbian et Microsoft, et il a aussi lancé des téléphones qui utilisent le système 'exploitation de Palm, le logiciel dominant dans marché des PDA. Donc le support de Samsung pour le logiciel de Microsoft n'a pas le poids qu'il devrai.. Pire, Microsoft a souffert d'un contretemps ce mois ci quand un des peu nombreux détenteurs d'une licence de son logiciel de smartphone, le constructeur britannique du combiné appelé Sendo, s'enfuit dans le camp Symbian/Nokia, en annonçant que ses prochains téléphones utiliseraient « Série 60 ». Sendo a cité son incapacité pour avoir accès au source code du logiciel de Microsoft comme une raison pour changer.
 
Microsoft
 
Ayant manqué les contrats avec les grands constructeurs du combiné, Microsoft a décidé de les encercler en allant directement chez leurs clients: les opérateurs de réseau mobile qui achètent des combinés en gros et les vendent à leurs souscripteurs. Microsoft est capable de faire ceci parce qu'une proportion considérable de téléphones mobiles (26% cette année, d'après chiffres de Stratégie Analytics, un cabinet-conseil) est fait par fabricants sous contrats auquel les constructeurs de combiné sous-traitent quelque partie ou toute leur fabrication. Quelques-uns des fabricants, tel que HTC de Taiwan, design aussi des produits. Le téléphone SPV est issu d'une joint-venture entre Microsoft, HTC et Orange, un opérateur de réseau mobile européen. HTC a conçu et a construit le matériel, Microsoft a fourni le logiciel, et Orange a consenti à acheter les téléphones.
 
Pour les opérateurs tels qu'Orange, le but de cette approche est qu'ils peuvent personnaliser le téléphone et le marquer avec leur propre logo, en les différenciant des opérateurs rivaux. Pour Microsoft, le but est qu'il peut se positionner sur le marché des téléphones sans le support des grands constructeurs de combiné. À long terme, il espère que l'industrie se développera comme l'industrie de l'ordinateur l'a fait: loin d'un modèle verticalement intégré dans lequel les mêmes compagnies font matériel et logiciel, et vers un modèle horizontalement posé en couches dans lequel le logiciel est fourni par Microsoft et le matériel est fait par les entreprises tel que HTC.
 
Mais il y a plusieurs problèmes avec cette vision. Le principal est que l'économie est plus en faveur des grands constructeurs du combiné qui produisent de plus grands volumes. Nokia, Motorola et Samsung produisent des combinés dans quantités mesurées en millions. Un opérateur qui passe une commande avec un ODM, par contraste, rangera le mieux quelques centaines de mille de combinés. Avec moins d'économies d'échelle, cela rend les combinés plus cher.
 
Matti Alahuhta, président de la division du combiné de Nokia, insiste que sa compagnie n'ait rien pour craindre de fabricants sous-contrats. Approximativement 20% de la production de Nokia sont sous-traités, et cela fournit une référence, en permettant à Nokia d'assurer que ses propres installations industrielles restent compétitives.
 
L'intégration verticale continuera à avoir de sens dans une telle industrie qui bouge rapidement. Il concède que les combinés deviennent seulement une marchandise mais seulement pour le materiel d'entrée de gamme ou la force logistique de Nokia permet de meilleures marges que ses plus petits concurrents. Sur le marché haut de gamme, pourtant, où Microsoft essaie de rivaliser, M. Alahuhta insiste il n'y a aucun signe de « marché de masse ».
 
C'est trop tôt pour conclure que la tentative de Microsoft de bypasser les constructeurs de combiné marchera ou pas. Mais les présages de sa joint-venture antérieure avec HTC, un PDA-Phone hybride de Microsoft n'est pas bon. Les ventes de l'appareil, connu comme le XDA en Grande-Bretagne, le MDA en Allemagne, et le ?T-Mobile? en Amérique, a été lent. Un opérateur britannique, O2, a vendu seulement 12,000 XDAs depuis son lancement cet été, en dépit d'une campagne de la publicité massive. Cela peut refléter un manque d'enthousiasme pour les PDA-phones, mais il met en valeur aussi un autre problème avec l'approche ODM : le manque d'une marque forte.
 
Les téléphones mobiles sont des articles à la mode, et la marque importe aux utilisateurs. Encore une fois les grands constructeurs du combiné, et Nokia en particulier, sont positionnés sur le haut de gamme. Les études montrent que les consommateurs estiment Nokia au-dessus de tout autre marque de téléphone mobile meme si leur téléphone actuel est un Nokia ou pas. Les clients sont aussi plus loyaux à Nokia qu'à leur opérateur mobile, bien que les opérateurs tels que Vodafone fassent maintenant leur mieux pour encourager leurs marques au-dessus de ceux des constructeurs de combiné.
 
La traction puissante du monopole
 
Alors, le plan de Microsoft d'envahir le marché de téléphone mobile ne va pas si loin. Le meilleur espoir de la compagnie, il suggère, est utiliser son arme traditionnelle pour attaquer de nouveaux marchés: son monopole Windows. En intégrant hermétiquement son logiciel du smartphone avec son logiciel de bureau et logiciel de serveur, Microsoft peut être capable de courtiser les utilisateurs d'entreprise. Par exemple, le SPV peut, avec l'aide du logiciel de Microsoft, permettrent l'accès aux mail, calendriers et bases de données sur les PCs et les serveurs.
 
Mais il pourrait y avoir des problèmes légaux avec cette stratégie. Les concurrents de Microsoft se sont déjà plaints à l'Ordre européen qui enquête sur la compagnie que son prochain génération e-mail serveur, nommé Titanium est conçu pour servir ces appareils mobiles sous Windows.
 
C'est beaucoup trop tôt pour compter sur Microsoft. Sa franchise Windows lucrative lui permettra de consolider ses pertes sur les incursions dans la fabrication pour les nouveaux marchés pour les années à venir car Microsoft possede 40 milliards de dollars en argent. L'industrie de telecoms mobile est en agitation suite aux changements pour passer vers la 3G, et Microsoft peut être capable de capitaliser sur la confusion. Si toutes les autres stratégies manquent, il pourrait toujours avoir recours toujours au rachat d'un opérateur ou constructeur de téléphones portables.
 
Microsoft continue à négocier avec les constructeurs de combiné pour qu'il utilisent son logiciel. Comme pour Nokia qui il consent est le plus grand concurrent de Microsoft dans cette catégorie; M. Suwanjindar admet que ?nous avons un terrible respect pour eux comme un constructeur? en d'autres mots, seulement comme une compagnie fabricant du matériel.  
 
Mr. Suwanjindar dit que les Smartphones constituent une nouvelle classe d'appareils à part entière. Bien qu'ils ressemblent à des téléphones , ce qui ne donne pas à Nokia et d'autres constructeurs de combinés la prime au premier arrivé sur le marché.
 
Avec Nokia, cependant, Microsoft a pu rencontrer un concurrent à sa mesure. Les comparaisons entre les deux entreprises sont difficiles à éviter. Les opérateurs du mobile-réseau grognent que Nokia a trop de part de marché, beaucoup comme les constructeurs PC grognent au sujet de Microsoft. Ils s'inquiètent aussi qu'avec Club Nokia, son programme de la loyauté, que Nokia empiète sur le propre gazon des opérateurs, de même que Microsoft était accoutumé à le faire. Club Nokia offre aux posseseurs de Nokia des nouvelles fonctionnalités, tel que des sonneries, jeux et logos que les clients peuvent télécharger et utiliser sur n'importe quel réseau.
 
De plus, la Série 60 de Nokia pourrait émerger encore comme l'équivalent mobile de Windows. ?Nokia est le Microsoft de téléphones mobiles, le gorille de l'industrie,? dit Mr Wood de Gartner. (C'est aussi, il a pu ajouter, l'équivalent de Dell dont la logistique supérieure l'a fait devenir le premier constructeur de PC.)
 
Encore, Microsoft et Nokia diffèrent dans un respect crucial pour toutes leurs ressemblances. La domination de Microsoft provient de sa propriété attentivement protégée de Windows. Mais l'industrie de téléphone mobile dans laquelle Nokia est le chef de file, est basé sur des protocoles ouverts. L'usage de niveaux communs qui ne sont pas possédés par tout vendeur particulier a des avantages. Par exemple, il permet des combinés basés sur le GSM standard d'être utilisé dans la plupart des parties du monde. Mais il a aussi des inconvénients: Le niveau Européen proposé pour la 3G ne marche pas encore. Nokia a accompli pas sa domination non à travers la propriété de technologies propriétaires, mais par sa capacité d'innover des protocoles ouverts, par la force de sa marque et de sa logistique impressionnante. En d'autres termes, ce n'est pas du tout comme Microsoft.
 
L'attitude de Nokia vis à vis de Microsoft révèle. ?Nous ne sommes pas dans la compétition, mais dans la convergence de visions différentes? dit Alahuhta , en choisissant ses mots avec soin. Il a raison: Microsoft est si insignifiant dans le marché de téléphone mobile que ce n'est pas un competiteur, pas encore . Mais comme leurs industries se telescopent, les entreprises seront des adversaires ce qui promet d'être une longue et amère bagarre.
 
Fin de la traduction.
Publié sur http://www.smartphony.org/stories. [...] 28/9237795

 
putain c'que c'est long

stro long pour moi  

-JiM- a écrit a écrit : stro long pour moi

 
En gros cet article dit : "A partir de 1950, des écrivains visionaires comme Bardbury, K.Dick, Van Vogt, Simons et j'en passe surement un grand nombre, nous ont predit un futur dominé par la technologie micro-informatique, une dependance qui finira par nous rendre esclave, et bien, nous voyons que petit à petit, ils avaient raison".
 
Sur ce, je vais dormir
 
 

ZeTortue a écrit a écrit :     En gros cet article dit : "A partir de 1950, des écrivains visionaires comme Bardbury, K.Dick, Van Vogt, Simons et j'en passe surement un grand nombre, nous ont predit un futur dominé par la technologie micro-informatique, une dependance qui finira par nous rendre esclave, et bien, nous voyons que petit à petit, ils avaient raison".   Sur ce, je vais dormir

 
Et ce PC tjs en vie     ? Et tjs silencieux ?