urgent pour demain - Aide aux devoirs - Emploi & Etudes
Marsh Posté le 15-05-2005 à 13:57:18
nan mais franchement, ici c'est un forum de discussions, ce n'est pas la charité non plus
on va pas faire les devoirs des autres et puis quoi encore ?
si tu avais un petit peu planché dessus, à la rigueur oui
mais là tu nous file le sujet comme ça...
Marsh Posté le 15-05-2005 à 14:07:17
enfaite deja pour la question 1 je n'y arrive pas car je ne comprend pas quad il dise le thème de plus c'est pas le sujet integral car il ya plus de question au quelle j'au deja repondu
Marsh Posté le 15-05-2005 à 16:03:55
Pour moi -j'ai lu très rapidement ton poème- ce qui me parait le plus 'flagrant' et intéressant c'est la métaphore filée tout au long du texte entre la nature et sa vie, c'est une correspondance entre la nature et la vie et c'est là que tu retrouves le thème romantique. A celà s'ajoute la nostalgie avec le thème de la fuite du temps, surtout évoqué avec le rivière. Les champs lexicaux 'importants', c'est difficile de n'en relever qu'un... Si je continue dans mon idée, je relèverai celui de la nature face à celui de 'l'homme' (âme, coeur, yeux ..) et c'est donc intéressant d'en faire un parallèle ... C'est très rapide ce que je viens de te dire, j'espère que ça t'aidera.
Marsh Posté le 15-05-2005 à 13:54:20
bonjours voila le sujet :
1)Quel est le théme de ce poéme?
2)Quelles caracteristiques de l'écriture romantique reconnaissez vous dans ce poéme, vous donnerez des exemples précis
3)Relever et aalyser deux champs lexicaux interessants
Le vallon
Mon coeur lassé de tout, même de l'espérance,
N'ira plus de ses voeux, importuner le sort ;
Prêtez-moi seulement le vallon de mon enfance
Un asile d'un jour pour attendre la mort.
Voici l'étroit sentier de l'obscure vallée,
Du flanc de ces coteaux pendant des bois épais
Qui courbant sur mon front leur ombre entremêlée
Me couvrent tout entier de silence et de paix.
Là, deux ruisseaux cachés sous des ponts de verdure
Tracent en serpentant les contours du vallon ;
Ils mêlent un moment leur onde et leur murmure,
Et non loin de leur source ils se perdent sans nom.
La source de mes jours comme eux s'est écoulée
Elle a passé sans bruit, sans nom et sans retour.
Mais leur onde est limpide et mon âme est troublée
N'aura pas réfléchi les clartés d'un beau jour.
La fraîcheur de leurs lits, l'ombre qui les couronne,
M'enchaînent tout le jour sur les bords des ruisseaux ;
Comme un enfant bercé par un chant monotone,
Mon âme s'assoupit au murmure des eaux.
Ah! c'est là qu'entouré d'un rempart de verdure,
D'un horizon borné qui suffit à mes yeux,
J'aime à fixer mes pas et seul dans la nature,
A n'entendre que l'onde, à ne voir que les cieux.
Repose-toi, mon âme en ce dernier asile,
Ainsi qu'un voyageur, qui le coeur plein d'espoir
S'assied avant d'entrer aux portes de la ville
Et respire un moment l'air embaumé du soir.
Comme lui, de nos pieds secouons la poussière ;
L'homme par ce chemin ne repasse jamais :
Comme lui, respirons au bout de la carrière
Ce calme avant-coureur de l'éternelle paix.
Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime ;
Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours ;
Quand tout change pour toi, la nature est la même,
Et même le soleil se lève sur tes jours.
Suis le jour dans le ciel, suis l'ombre sur la terre,
Dans les plaines de l'air, vole avec l'Aquilon,
Avec les doux rayons de l'astre du mystère
Glisse à travers les bois, dans l'ombre du vallon.
Dieu pour le concevoir, a fait l'intelligence ;
Sous la nature enfin découvre son auteur !
Une voix à l'esprit parle dans son silence,
Qui n'a pas entendu cette voix dans son coeur ?
merci d'avance