correction d'un texte français traduit en anglais(thème) - Aide aux devoirs - Emploi & Etudes
Marsh Posté le 28-10-2005 à 16:43:45
Je n'ai pas vérifié la concordance entre l'original et la traduction, mais en ce qui concerne les fautes de français je n'en ai pas trouvé.
Simplement, j'enlèverais la virgule entre replanté et mercredi dans la phrase 'pour être replanté, mercredi, à Royan", au début du texte.
Marsh Posté le 28-10-2005 à 16:52:37
Merci d'avoir pris le temps de me lire, par contre le texte à corriger est celui qui est en anglais.
Marsh Posté le 26-10-2005 à 20:45:11
Bonjour, est-ce que quelqu'un pourrait corriger les fautes et la ponctuation, s'il vous plaît.
Merci d'avance.
Lantique olivier espagnol part en voyage et finira ses jours à Royan.
Cest un olivier de quelque 1800 ans, qui pèse 16 tonnes, mesure près de 4 mètres de haut et 7 mètres de circonférence. Il devait quitter Peñiscola, dans la province de Castellon en Espagne, lundi 25 avril en fin daprès-midi, pour être replanté, mercredi, à Royan (Charente-Maritime).
Né au temps des Romains, cet arbre finira donc sa vie dans « le paysage de Toscane », la partie dite « méditerranéenne » des Jardins du monde, un parc floral de 7.5 hectares, situé à lest de Royan, à lemplacement danciens marais où avaient été déversés les gravats de cette ville après sa destruction pendant la seconde guerre mondiale.
Linitiative de ce déménagement original revient à Jean-Philippe Marcadé, directeur de ce parc floral. « Au cours dun voyage en Espagne, à lautomne, je suis tombé, le long dune route, sur ce monstre qui nétait plus dans son champ dorigine », raconte-t-il. Les cultivateurs espagnols sont plus soucieux de la production des olives que de lavenir de ces arbres, admirés pour leurs troncs noueux et leur feuillage gris-vert. Lolivier nest productif quentre sa huitième et sa centième année. Au-delà, il se contente dêtre décoratif. Mais il occupe beaucoup de place dans loliveraie et les cultivateurs préfèrent larracher pour pouvoir planter de jeunes arbres. Les vieux végétaux sont alors « hébergés » chez des spécialistes. Ils en font un commerce qui semble lucratif.
Ce vénérable olivier vaut en effet 25 000 euros. Et il en coûtera 2000 pour le transporter. Cest en convoi exceptionnel quil parcourra les 800 kilomètres qui séparent son village dorigine et lestuaire de la Gironde. Au départ et à larrivée, une grue de 40 tonnes sera installée pour le hisser et le décharger du véhicule. Il aura été préalablement légèrement taillé afin de diminuer sa hauteur et sa largeur. Lascétisme naturel de cet arbre présente au moins un avantage : il vit sur sa motte de terre, ce qui réduit, si lon peut dire, son encombrement. De plus, il consommera peu deau pendant le voyage.
Dès son arrivée, lolivier, qui na pas encore été « baptisé », sera immédiatement replanté. Il sera alors lincontestable doyen de ce parc, créé en 2002, ravissant ainsi facilement la vedette à un bonsaï de 1885.
Si létat civil de ce dernier est incontestable puisquil est né dans ce pot qui garantit sa date de naissance, celui de lolivier est plus aléatoire. Impossible, en effet, de lui appliquer la dendrochronologie (calcul de lâge en fonction du nombre de cernes à lintérieur du tronc), car cela supposerait quil soit auparavant coupé. La seule solution est de partir de la circonférence en sachant quun olivier « prend » entre 40 cm et 50 cm tous les cent ans. Mais, au-delà de 400 ans, ce système destimation manque, paraît-il, de fiabilité.
>> The ancient Spanish olive tree goes off one trip and will end its days in Royan.
It is an olive tree which is about 1800 years old, which weighs 16 tons, is a 4 metres long and 7 metres wide. It had to leave Peñiscola, in the Castellon province in Spain, on Monday April 25rd, in the late afternoon, to be replanted on Wednesday in Royan (Charente-Maritime).
This tree, born in Roman Times, will end its life in the landscape of Tuscany, the part of the Gardens of the world which is said to be Mediterranean, a 7.5 hectares floral garden, situated to the east of Royan, on the site of ancient marshes where the rubble of the town had been tipped after it was destroyed during the second world war.
This eccentric removal is Jean-Philippe Marcadés initiative, the manager of this floral garden. During a travel in Spain, in autumn, along a road, I came on this monster which was no longer in its original field, he said. The Spanish farmers are more concerned with olive production than with the future of these trees, admired for their knotty trunks and their green-grey foliage. The olive tree is only productive between its eighth and hundredth year. Beyond that, it contents itself with being ornamental. But it takes up a lot of space in the olive grove and the farmers prefer to uproot it in order to be able to plant young trees. The old plants are then put up in specialists. They made a trade of them which seems lucrative.
This venerable olive tree is worth actually 25000 euros. And it will cost 2000 euros to transport it. It will make 800 kilometres from its original village and the Gironde estuary in wide-load. It will be hoisted and unloaded from the vehicle by a 10-ton crane at its departure and arrival. It would have been first slightly pruned in order to reduce its height and width. The natural asceticism of this tree shows at least one advantage: it lives on its lump of earth, which reduces its bulk, if we can say that. Moreover it will consume little water during the trip.
As soon as the olive tree arrive, not still named, it will be immediately replanted.
It will therefore be the incontestable oldest tree of this garden, created in 2002, stealing thus easily the show from a bonsai dating from 1885.
If the register of this latter is incontestable since it was born in a pot that guarantees its date of birth, that of the olive tree is more uncertain. In fact, it is impossible to apply the dendrochronology to it (the calculation of the age according to the number of the rings inside the trunk), for that would suppose that it should be cut down before. The only solution is to start from the circumference knowing that an olive tree takes between 40 cm and 50 cm every hundred years. But after 400 years old, this estimation system lacks apparently accuracy.