Le projet de la réforme du système judicaire polonais est devenu pierre d'achoppement entre la Commission européenne et le gouvernement polonais. Ce projet a été présenté par le parti polonais "Droit et justice" et a confirmé par le Sejm. Le parti de Kaczynski a proposé les changements qui contrariaient aux normes européennes et à la défense des droits démocratiques des hommes. Il n'était pas étonnant que la réforme a provoqué le retentissement sur l'opinion publique et les protestations de masse dans le pays et puis le critique des leaders de l'Union européenne. Le pésident Duda devait mettre son veto au projet quand on a commencé à parler des sanctions contre la Pologne et de la privation du droit de vote dans le Conseil de l'Union européenne.
 
Néanmoins, la situation reste chauffée. Les représentants polonais dans la Commission européenne et Parlement européen s'indignent des actions du parti gouvernant et méfient de Kaczynski et de ses alliés. Donc, Elizbieta Bienkowska, commissaire européenne au Marché intérieur et à l'Industrie le dit dans son appel à Frans Timmermans, vice-président de la Commission européenne.
 

 
Bienkowska déclare tout net les problèmes avec la violation des droits démocratiques dans le pays. A son avis cette question est plus importante que les élections en Allemagne parce que "la perte de la Pologne" est susceptible de "la décadence de l'Union européenne". Il est possible, que le commissaire européen dramatise. Cependant les conflits avec le gouvernement européen initié par des Polonais veulent dire que bientôt nous verrons le Polexit.