Quelle est l'origine de l'expression " rouler une pelle" ?

Quelle est l'origine de l'expression " rouler une pelle" ? - Société - Discussions

Marsh Posté le 25-10-2005 à 01:02:49    

Bonjour les gens.
Le titre est assez explicatif...
J'ai cherché sur google mais rien de convainquant.
 
Note ironique : qd on chercher juste "rouler une pelle" le 1er lien est un site qui explique comment faire hehe
 
Voila,
Merci,
Dreamer

Reply

Marsh Posté le 25-10-2005 à 01:02:49   

Reply

Marsh Posté le 25-10-2005 à 01:08:07    

:heink:

Reply

Marsh Posté le 25-10-2005 à 01:10:31    

C'est dans le cas où t'as pas pris un rateau [:ddr555]

Reply

Marsh Posté le 26-10-2005 à 01:15:40    

Pas forcement :P
Ca peut juste etre un chiche  hehe
Mais sinon ? personne?
Dreamer

Reply

Marsh Posté le 28-10-2005 à 01:35:05    

Rouler une pelle veut dire emballer une meuf (l'embrasser quoi...)

Reply

Marsh Posté le 28-10-2005 à 01:37:07    

stuntpower a écrit :

Rouler une pelle veut dire emballer une meuf (l'embrasser quoi...)


 :sweat: merci de ton aide on était pas au courant

Reply

Marsh Posté le 28-10-2005 à 01:41:06    

stuntpower a écrit :

Rouler une pelle veut dire emballer une meuf (l'embrasser quoi...)


 

Zangalou a écrit :

:sweat: merci de ton aide on était pas au courant


 
 [:rofl]


Message édité par Roland de Gilead le 28-10-2005 à 01:41:32

---------------
Un site tjs utile-autre site utile-- Me contacter ? envoyez un mp, j'ai une alerte mail !
Reply

Marsh Posté le 28-10-2005 à 01:41:23    

stuntpower a écrit :

Rouler une pelle veut dire emballer une meuf (l'embrasser quoi...)


 
[:draculax_tt]

Reply

Marsh Posté le 28-10-2005 à 02:08:45    

stuntpower a écrit :

Rouler une pelle veut dire emballer une meuf (l'embrasser quoi...)


 
topic et posts nocturnes sont toujours synonymes de qualitaÿ :love:

Reply

Marsh Posté le 28-10-2005 à 02:16:08    

RiderCrazy a écrit :

C'est dans le cas où t'as pas pris un rateau [:ddr555]


 
 
moi c pas un rateau que je me suis pris c une pelteuse!  :sweat:  

Reply

Marsh Posté le 28-10-2005 à 02:16:08   

Reply

Marsh Posté le 28-10-2005 à 02:22:29    

paladin3333 a écrit :

moi c pas un rateau que je me suis pris c une pelteuse!  :sweat:


[:haha]

Reply

Marsh Posté le 29-10-2005 à 22:42:33    

Trouvé sur internet :
 
Rouler une pelle -  
Le verbe "peloter", qui remplaça au XIXème siècle celui de "patiner" (qui avait le sens érotique de "caresser avec insistance comme avec une grosse patte" ) a donné lieu à un calembour : "rouler un pélot, un palot, une pelle", tout comme "patiner", qui refit surface dans les années 30, en pleine vogue du patin à roulettes, inspira "rouler un patin" et "rouler une galoche" (pour la chaussure de patinage).
Doc le pirate
- (23/03/2002)

Reply

Marsh Posté le 29-10-2005 à 22:44:37    

de l'argot quoi.


---------------
Le dernier à s'être permis de faire ce genre de réflexions, ça lui a coûté un inlay pour une de ses incisives. © Briseparpaing, Scarface 2005.
Reply

Marsh Posté le 30-10-2005 à 00:13:36    

sucrette a écrit :

de l'argot quoi.


 
Un calembour c'est de l'argot chez toi ?

Reply

Marsh Posté le 30-10-2005 à 22:31:42    

didi365 a écrit :

Trouvé sur internet :
 
Rouler une pelle -  
Le verbe "peloter", qui remplaça au XIXème siècle celui de "patiner" (qui avait le sens érotique de "caresser avec insistance comme avec une grosse patte" ) a donné lieu à un calembour : "rouler un pélot, un palot, une pelle", tout comme "patiner", qui refit surface dans les années 30, en pleine vogue du patin à roulettes, inspira "rouler un patin" et "rouler une galoche" (pour la chaussure de patinage).
Doc le pirate
- (23/03/2002)


 
 
Hey
Un tout grand merci:)
Mais puis je savoir ou tu as trouvé cela ?
Meurci  
Sinon, un big LOL pour les reactions au dessus :D (sauf celle sur la qualité du topic ) :P
 
Dreamer

Reply

Marsh Posté le 31-10-2005 à 01:21:57    

là: (mais y'a pas plus de source)
 
http://www.momes.net/mekefer/archi [...] 03&choix=1
 
ce fut une recherche très..........sympathique!


Message édité par didi365 le 31-10-2005 à 01:22:43
Reply

Marsh Posté le 31-10-2005 à 01:32:37    

ça devait venir de là:  
http://www.forum-scpo.com/forum.php3?lecture=2037
extrait:
 
Desole mais ca s'impose:
 
 
 
http://www.leximot.net/expression.php3?id_expr=460
 
 
 
Rouler un patin
 
 
 
 
 
 
 
"Patin" que les linguistes appellent dÈverbal du verbe ancien "patiner" qui avait le sens Èrotique de "caresser avec insistance comme avec une grosse patte".  
 
RemplacÈ par "peloter" au XIXËme siËcle, "patiner" reprendra vie sous la forme "rouler un patin" dans les annÈes 30 en pleine vogue du patin ? roulettes !  
 
 
 
A noter que le verbe "peloter" a donnÈ lui aussi naissance ? un calembour du mÍme acabit : "rouler un pÈlot, un palot, une pelle", tandis que la chaussure de patinage inspirera "rouler une galoche".
 
 

Reply

Marsh Posté le 31-10-2005 à 02:37:42    

drapal pour la definition :o


---------------
[YouTube] Le Cerveau Lent : vulgarisation sciences cognitives ◦ [url=https://forum.hardware.fr/hfr/AchatsVentes/Photo-Audio-Video/vds-pentax-samyang-sujet_644991_1.htm]Vente Penta
Reply

Marsh Posté le 31-10-2005 à 07:20:07    

et poser un lapin ?

Reply

Marsh Posté le 31-10-2005 à 11:50:00    

gregoirtchik a écrit :

et poser un lapin ?


 
Poser un lapin
Poser un lapin, c'est ne pas venir à un rendez-vous et laisser attendre l'autre au lieu fixé. Certes le lapin est un animal instable, qui bondit dès qu'on veut l'approcher, mais cela n'explique guère la création de cette tournure qui date environ de la fin du siècle dernier, et dont le mystère demeure incomplètement sondé.
 
Le « lapin » a eu, depuis le XVIIe au moins, le sens d'histoire fausse, de hâblerie : « Celui-là est de garenne », fut selon Furetière une tournure qui se moquait d'un récit incroyable. De la vantardise on a pu passer à la déconvenue; c'est apparemment au sens de mauvaise blague que le mot est parfois employé dans la population ouvrière de Paris, dans le premier tiers du xixe siècle - au cours des journées de juillet 1830 un menuisier commente ainsi les nouvelles d'un journal royaliste : « Il y avait hier un article qui m'a fait bien rire; il finissait à peu près comme ça : que les coups de fusils viennent, et l'on verra de quel côté est la majorité. Eh bien qu'il juge maintenant. » (En effet, l'insurrection vient de chasser le roi Charles X.) Son compère, un ébéniste, lui répond en riant : « Il est bon là, le lapin. » (E. Debraux, Les Barricades, 1830.)
 
On pourrait voir dans cette acception, qui exprime le retournement imprévu d'une situation, la racine du lapin connu quelque trente ans plus tard dans le monde de la prostitution comme un « paiement éludé » : « Guerre aux lapins », relève Esnault vers 1868. Coller un lapin (ou poser) était dès avant 1880 « ne pas rétribuer les faveurs d'une fille ».
 
Poser un lapin, ne pas venir à un rendez-vous, apparaît chez les étudiants vers 1890 selon Esnault. A mon avis cette déconvenue particulière à celui qui attend pour rien, a dû subir dans une certaine mesure l'influence d'une autre locution de l'époque - « faire poser » ou « laisser poser » quelqu'un, pour le faire attendre. « Depuis trois mois elle le faisait poser, jouant à la femme comme il faut, afin de l'allumer davantage », écrit Zola dans Nana. En 1897 un personnage du Voleur, de G. Darien, qui n'a pu se rendre à un rendez-vous, dit : « je t'ai laissé poser hier soir; excuse-moi car je n'ai pas pu faire autrement. »
La même année Jehan Rictus écrivait de son côté: Pis... mal fringué... fauché.. sans treffe, J'os'rais seul'ment pas y causer: Donc un béguin, c'est comm' des nèfes, Quant au lapin... c'est tout posé!
 
 :lol:  :hello:  

Reply

Sujets relatifs:

Leave a Replay

Make sure you enter the(*)required information where indicate.HTML code is not allowed