Les abeilles s’éteignent par milliards depuis quelques mois

Les abeilles s’éteignent par milliards depuis quelques mois - Sciences - Discussions

Marsh Posté le 22-08-2007 à 14:01:41    

Le 24/10/2007
 
Pour celles et ceux qui ca interessent, une petition circule sur internet pour interdires ces pratiques et protéger nos abeilles:
 
# Le retrait définitif des pesticides neurotoxiques et systémiques et des produits à usage agricole contenant ces substances.
# La plus grande rigueur pour la mise sur le marché des pesticides et des OGM, dans le respect de l’environnement et de la santé publique.
# La création d’un comité européen d’experts apidologues indépendants, chargés de l’évaluation de la toxicité des pesticides et des OGM.
# Que l’abeille soit, dans la plus grande urgence, reconnue en tant qu’ingénieur écologique et indicateur biologique indispensable et irremplaçable
 
C est ici:
http://www.jardinbio.fr/?rubrique=58
 
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C’est une incroyable épidémie, d’une violence et d’une ampleur faramineuse, qui est en train de se propager de ruche en ruche sur la planète. Partie d’un élevage de Floride l’automne dernier, elle a d’abord gagné la plupart des Etats américains, puis le Canada et l’Europe jusqu’à contaminer Taiwan en avril dernier. Partout, le même scénario se répète : par milliards, les abeilles quittent les ruches pour ne plus y revenir. Aucun cadavre à proximité. Aucun prédateur visible, pas plus que de squatter pourtant prompt à occuper les habitats abandonnés.
 
En quelques mois, entre 60 % et 90 % des abeilles se sont ainsi volatilisées aux Etats-Unis où les dernières estimations chiffrent à 1,5 million (sur 2,4 millions de ruches au total) le nombre de colonies qui ont disparu dans 27 Etats. Au Québec, 40 % des ruches sont portées manquantes.
 
En Allemagne, selon l’association nationale des apiculteurs, le quart des colonies a été décimé avec des pertes jusqu’à 80 % dans certains élevages. Même chose en Suisse, en Italie, au Portugal, en Grèce, en Autriche, en Pologne, en Angleterre où le syndrome a été baptisé « phénomène « Marie-Céleste » », du nom du navire dont l’équipage s’est volatilisé en 1872. En France, où les apiculteurs ont connu de lourdes pertes depuis 1995 (entre 300.000 et 400.000 abeilles chaque année) jusqu’à l’interdiction du pesticide incriminé, le Gaucho, sur les champs de maïs et de tournesol, l’épidémie a également repris de plus belle, avec des pertes allant de 15 % à 95 % selon les cheptels.
 
« Syndrome d’effondrement »
 
Légitimement inquiets, les scientifiques ont trouvé un nom à la mesure de ces désertions massives : le « syndrome d’effondrement » - ou « colony collapse disorder ». Ils ont de quoi être préoccupés : 80 % des espèces végétales ont besoin des abeilles pour être fécondées. Sans elles, ni pollinisation, et pratiquement ni fruits, ni légumes. « Trois quart des cultures qui nourrissent l’humanité en dépendent », résume Bernard Vaissière, spécialiste des pollinisateurs à l’Inra (Institut national de recherche agronomique). Arrivée sur Terre 60 millions d’année avant l’homme, Apis mellifera (l’abeille à miel) est aussi indispensable à son économie qu’à sa survie. Aux Etats-Unis, où 90 plantes alimentaires sont pollinisées par les butineuses, les récoltes qui en dépendent sont évaluées à 14 milliards de dollars.
 
Faut-il incriminer les pesticides ? Un nouveau microbe ? La multiplication des émissions électromagnétiques perturbant les nanoparticules de magnétite présentes dans l’abdomen des abeilles ? « Plutôt une combinaison de tous ces agents », assure le professeur Joe Cummins de l’université d’Ontario. Dans un communiqué publié cet été par l’institut Isis (Institute of Science in Society), une ONG basée à Londres, connue pour ses positions critiques sur la course au progrès scientifique, il affirme que « des indices suggèrent que des champignons parasites utilisés pour la lutte biologique, et certains pesticides du groupe des néonicotinoïdes, interagissent entre eux et en synergie pour provoquer la destruction des abeilles ». Pour éviter les épandages incontrôlables, les nouvelles générations d’insecticides enrobent les semences pour pénétrer de façon systémique dans toute la plante, jusqu’au pollen que les abeilles rapportent à la ruche, qu’elles empoisonnent. Même à faible concentration, affirme le professeur, l’emploi de ce type de pesticides détruit les défenses immunitaires des abeilles. Par effet de cascade, intoxiquées par le principal principe actif utilisé - l’imidaclopride (dédouané par l’Europe, mais largement contesté outre-Atlantique et en France, il est distribué par Bayer sous différentes marques : Gaucho, Merit, Admire, Confidore, Hachikusan, Premise, Advantage...) -, les butineuses deviendraient vulnérables à l’activité insecticide d’agents pathogènes fongiques pulvérisés en complément sur les cultures.
 
Butineuses apathiques
 
Pour preuve, estime le chercheur, des champignons parasites de la famille des Nosema sont présents dans quantités d’essaims en cours d’effondrement où les butineuses, apathiques, ont été retrouvées infectées par une demi-douzaine de virus et de microbes.
 
La plupart du temps, ces champignons sont incorporés à des pesticides chimiques, pour combattre les criquets (Nosema locustae), certaines teignes (Nosema bombycis) ou la pyrale du maïs (Nosema pyrausta). Mais ils voyagent aussi le long des voies ouvertes par les échanges marchands, à l’image de Nosema ceranae, un parasite porté par les abeilles d’Asie qui a contaminé ses congénères occidentales tuées en quelques jours.
 
C’est ce que vient de démontrer dans une étude conduite sur l’ADN de plusieurs abeilles l’équipe de recherche de Mariano Higes installée à Guadalajara, une province à l’est de Madrid réputée pour être le berceau de l’industrie du miel espagnol. « Ce parasite est le plus dangereux de la famille, explique-t-il. Il peut résister aussi bien à la chaleur qu’au froid et infecte un essaim en deux mois. Nous pensons que 50 % de nos ruches sont contaminées. » Or l’Espagne, qui compte 2,3 millions de ruches, est le foyer du quart des abeilles domestiques de l’Union européenne.
 
L’effet de cascade ne s’arrête pas là : il jouerait également entre ces champignons parasites et les biopesticides produits par les plantes génétiquement modifiées, assure le professeur Joe Cummins. Il vient ainsi de démontrer que des larves de pyrale infectées par Nosema pyrausta présentent une sensibilité quarante-cinq fois plus élevée à certaines toxines que les larves saines. « Les autorités chargées de la réglementation ont traité le déclin des abeilles avec une approche étroite et bornée, en ignorant l’évidence selon laquelle les pesticides agissent en synergie avec d’autres éléments dévastateurs », accuse-t-il pour conclure. Il n’est pas seul à sonner le tocsin. Sans interdiction massive des pesticides systémiques, la planète risque d’assister à un autre syndrome d’effondrement, craignent les scientifiques : celui de l’espèce humaine. Il y a cinquante ans, Einstein avait déjà insisté sur la relation de dépendance qui lie les butineuses à l’homme : « Si l’abeille disparaissait du globe, avait-il prédit, l’homme n’aurait plus que quatre années à vivre. »
 
source:http://www.monde-solidaire.org/spi [...] ticle=4182
 
Y a pas grand chose à rajouter, mise à part que ca fait peur et qu'il est difficile de lutter contre ça.... :pfff:


Message édité par vincent16063 le 24-10-2007 à 21:20:56
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Marsh Posté le 22-08-2007 à 14:01:41   

Reply

Marsh Posté le 22-08-2007 à 14:03:20    

Bah, l'humanité a déjà été éliminée par le syndrome du copier-coller, alors...


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Ratures - Cuisine
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Marsh Posté le 22-08-2007 à 14:03:40    

Si les mouches pouvaient subir le même sort, ça m'arrangerait  :D  
 
Plus sérieusement, pauvres petites bêtes.

Reply

Marsh Posté le 22-08-2007 à 14:04:27    

http://dvdbcko.dvdcritiques.com/upload/941/Capt_Image.jpg

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Marsh Posté le 22-08-2007 à 14:05:16    

ils s'etaient donc trompés dans "HitchHikers Guide to the galaxy", ce sont les abeilles qui se barrent et pas les dauphins :o

Reply

Marsh Posté le 22-08-2007 à 14:06:05    

Mercius a écrit :

Si les mouches pouvaient subir le même sort, ça m'arrangerait  :D  
 
Plus sérieusement, pauvres petites bêtes.


 

Citation :

80 % des espèces végétales ont besoin des abeilles pour être fécondées. Sans elles, ni pollinisation, et pratiquement ni fruits, ni légumes. « Trois quart des cultures qui nourrissent l’humanité en dépendent »,


 
 

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Marsh Posté le 22-08-2007 à 14:08:18    

On va tous mourir !!!

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Marsh Posté le 22-08-2007 à 14:12:28    

c koi la source au fait ?

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Marsh Posté le 22-08-2007 à 14:13:40    

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Marsh Posté le 22-08-2007 à 14:30:54    

Bah comme d'hab, c'est les pays pauvres qui vont morfler, nous on aura nos super OGM ermaphrodites de la mort qui tue  :sol:

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Marsh Posté le 22-08-2007 à 14:30:54   

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Marsh Posté le 22-08-2007 à 14:31:22    

Autres sources permettant de relativiser, car le type de source que tu site est par définition orienté et a tendance à éxagérer certaines variables :
 
http://www.stuff.co.nz/stuff/4171478a1861.html
 
Where have all the bees gone?  
WORLD OF SCIENCE - BOB BROCKIE - The Dominion Post | Monday, 20 August 2007
 
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AdvertisementLast February, we were alarmed to hear that vast numbers of American bees had disappeared – some beekeepers losing their entire stock. It was a mysterious situation with bees vanishing and no bodies to be found anywhere. Last spring, European beekeepers complained of similar losses. Farmers and horticulturists were also worried as they depend on bees to pollinate their crops.  
 
 
When news of disappearing bees broke, greenie alarmists raised the spectre of insecticides, of genetically engineered crops, newly mutated diseases, and radiation from cellphones. In a recent review, Australia's Professor Benjamin Oldroyd, a world guru on misbehaving bees, helps put things into perspective.  
 
He says that after cold winters beekeepers lose bees everywhere, sometimes in large numbers. Big losses are not a new thing. He reports that in Ireland, there was a "great mortality of bees" in the years 950, 992 and again in 1443. In 1906, most beekeepers on the Isle of Wight lost all of their colonies. In 1903, in Utah, and in 1995, in Pennsylvania, beekeepers had serious losses.  
 
The doctor suggests that last spring's big American losses might be just the exaggerated effect of a normal event. On the other hand, he warns that something new might be afoot. He argues that if insecticides were killing the bees we'd see poisoned bees all over the place, but no poisoned bees has been found.  
 
The genetically engineered crop theory doesn't get much support either. He points out that bees disappeared equally from states with plenty of GE crops and those with few or no such crops. And, he says, despite intense searches and surveys, no unusual viral, bacterial, fungal diseases or parasites have been found.  
 
He does not mention cellphones in his report, probably because German experiments showed no connection. "Anybody who says otherwise is lying," says the German researcher.  
 
Professor Oldroyd has other suggestions. He says that bees need to feed on high-quality pollen in autumn to survive the winter. In many parts of the US, the weed goldenrod is vital for their winter survival but the plant flowered very poorly in 2006 and this may have contributed to empty hives the following spring.  
 
The professor says bees must keep their nests at a very precise temperature if the bees are to grow successfully. If they're bred in the cold, the workers grow up to get lost while foraging and can't perform their communication dances effectively. Professor Oldroyd suggests this is how the cooler winter may have affected the US bees – they flew off to work and got lost on the job.  
 
Another possibility is that American honey bee stocks have become so inbred that they may have reduced their immunity to a variety of pathogenic and other stressful challenges. Luckily, no New Zealand or Australia bees have disappeared so far but, with the spring upon us, our beekeepers are opening their hives with some apprehension and hoping none have gone Awol.  
 
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http://www.brisbanetimes.com.au/ne [...] tml?page=2
 
 
"There are no cases of [colony collapse disorder] in Australia at all," Dave Britton, an entomologist at the Australian Museum, told me. "It is a northern hemisphere phenomenon." He added that there has been some "very creative" speculation about the causes of the colony collapses. Scientists are divided over whether colony collapse disorder is a grave threat or a transitory one. What is not in dispute is that the genetic analysis of adult bees taken from collapsing hives in America has produced alarming results. The bees tend to be infected with every known bee virus, plus new pathogens never seen before.
 
"What has been chucked at the American honey bee is a collection of things which, taken on their own, bees can stand up to, but collectively sends them into stress and they just give up," Doug Somerville told me. "The difference between North America and Australia is that we rely very heavily on native flora, especially eucalyptus, for our honey production, whereas they rely extremely heavily on agricultural crops. That means their bees' interface with chemicals is much heavier."
 
It will be no surprise, then, if the underlying cause of colony collapse disorder proves to be the same environmental evil that has already caused so much damage to the American food chain - the systemic use of chemicals - which compounds the loss of biodiversity caused by factory farming.
 
Although colony collapse disorder is absent from Australia, local scientists and honey-growers are worried. What they fear is something else, the varroa mite, a parasite that has caused havoc to bee populations overseas, including the US, and is now spreading south from Asia. "It's not here, but we're pretty convinced it's coming," Mark Greco, of the University of Western Sydney, told me.
 
Greco believes this threat, plus the experience in the US, where the wild honey bee population has been replaced by the mass introduction of a single species, should be a wake-up call to Australia. "It's high time we looked to Australian native honey bees to pollinate our crops." The other experts I spoke to agree with him.
 
At least we have native bees, and honey bees feeding on native flora. In the US, where wild honey bees were once common and diverse, there is now only a single, dominant introduced species. If this population of western honey bees were to dramatically decline, there is no obvious replacement to cross-pollinate the landscape.


Message édité par sposalizio le 22-08-2007 à 14:43:45
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Marsh Posté le 22-08-2007 à 14:42:56    


Bah on mangera du bois, et à la fin on se bouffera entre nous.
 
L'humanité va s'auto-détruire (pas le journal hein - ça c'est déjà pratiquement fait), épisode suivant svp  :D

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Marsh Posté le 22-08-2007 à 14:46:04    

En gros, l'abeille coule !

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Marsh Posté le 22-08-2007 à 16:40:38    

Nigga stolen my bee [:kzimir]


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Vos boulots | Vos voisins | Vos clients | Because rules are for pussies.|
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Marsh Posté le 22-08-2007 à 16:42:22    

Cai à cause du réchauffement climatique, ils l'ont dit sur TF1.

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Marsh Posté le 22-08-2007 à 16:46:18    


sur TF1 ?
cool alors ca veut dire que sarko va toutes les sauver les abeilles :)

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Marsh Posté le 22-08-2007 à 16:47:19    

Le problème c'est que s'il il y a plus d'abeille nous aurons un serieux problème car elles contribuent grandement dans la production des fleure et plante. Donc fruit et légume. Les animaux qui mangent les fruits vont s'éteindre aussi. Nous en tant qu'humain nous voyons pas le problème au dela que le miel dans son thé.


Message édité par Berceker United le 22-08-2007 à 16:47:39
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Marsh Posté le 22-08-2007 à 16:47:21    

heureusement qu'il reste le sexe :o
 
 
( le sexe, les abeilles  toussa)

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Marsh Posté le 22-08-2007 à 16:54:12    

Citation :

Arrivée sur Terre 60 millions d’année avant l’homme, Apis mellifera (l’abeille à miel)


 

Citation :

80 % des espèces végétales ont besoin des abeilles pour être fécondées. Sans elles, ni pollinisation, et pratiquement ni fruits, ni légumes. « Trois quart des cultures qui nourrissent l’humanité en dépendent »,


 
et comment ça marchait quant les abeilles n'étaient pas encore apparue ?
 
(je ne tente pas de minimiser le problème, c'est juste pour savoir comment on pourrait se démerder si elles disparaissent)

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 22-08-2007 à 16:55:34
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Marsh Posté le 22-08-2007 à 18:51:14    

Ici en Belgique la récolte de cette année a été exceptionnelle tant niveau quantité que qualité. :)

Reply

Marsh Posté le 22-08-2007 à 19:02:34    


.. prouve-le ! je connais des apiculteurs qui ont perdu jusqu'à 40% de leur population d'abeilles  :heink:  

Reply

Marsh Posté le 22-08-2007 à 19:03:38    

Elles partent aux Havres Gris :jap:

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Marsh Posté le 22-08-2007 à 19:05:22    

Dam468 a écrit :


.. prouve-le ! je connais des apiculteurs qui ont perdu jusqu'à 40% de leur population d'abeilles  :heink:  


Voila je prouve:
 
Bonne récolte de miel wallon avec 15 jours d'avance (Vers l'Avenir)
Samedi 4 août 2007  il y a 13 j.  
 
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(Belga) Dans leurs 55.000 ruches, les 3.150 apiculteurs wallons ont récolté leur miel plus tôt et en plus grande quantité que d'habitude, ont affirmé samedi les journaux du groupe Vers l'Avenir. C'est une conséquence des changements climatiques: la chaleur conjuguée à l'humidité du sol a donné plus de sève et donc plus de nectar. La récolte de printemps avait déjà été exceptionnelle, avec un miel d'acacia qu'on n'obtient pas chaque année.


Message édité par Profil supprimé le 22-08-2007 à 19:06:10
Reply

Marsh Posté le 22-08-2007 à 20:01:26    


Ben y'avait que 20% des espèces végétales [:spamafote]


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Ratures - Cuisine
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Marsh Posté le 22-08-2007 à 20:17:34    

ese-aSH a écrit :

ils s'etaient donc trompés dans "HitchHikers Guide to the galaxy", ce sont les abeilles qui se barrent et pas les dauphins :o


Salut! Et merci pour les fleurs!  [:dawa]


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Espace et exploration spatiale --- Power metal
Reply

Marsh Posté le 30-08-2007 à 17:55:23    

Le Monde propose aussi un article sur le sujet : http://www.lemonde.fr/web/article/ [...] 933,0.html
 
Moins alarmiste et plus réfléchi.  
 ;)


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Tuez vos dieux à tout jamais. Sous aucune croix l'amour ne se plaît.
Reply

Marsh Posté le 30-08-2007 à 18:50:36    

"Alarmiste" et tout aussi réfléchi : Futura-Sciences : les abeilles nous abandonnent (30/08/2007)
 
 :whistle:


Message édité par Profil supprimé le 30-08-2007 à 18:51:55
Reply

Marsh Posté le 30-08-2007 à 20:42:46    

Faites vos stocks de miel !

Reply

Marsh Posté le 30-08-2007 à 20:56:00    

El Silencio a écrit :

Le Monde propose aussi un article sur le sujet : http://www.lemonde.fr/web/article/ [...] 933,0.html
 
Moins alarmiste et plus réfléchi.  
 ;)


C'est quand même inquiétant je trouve. :o


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Que vois-tu quand tu fermes les yeux ?
Reply

Marsh Posté le 30-08-2007 à 21:06:56    

Si a la place des abeilles ca avait pu etre les moustiques :/

Reply

Marsh Posté le 30-08-2007 à 21:19:52    

Va falloir polleniser nous-même les fleurs. Planter son penis dans une fleur, puis dans une autre, puis encore une autre. T'imagines des rangées de mecs qui font ça, pendant des jours, sur des champs entiers. Fini le chômage !
 
C'est une aubaine qu'il faut saisir !! Polleniser plus pour gagner plus !!

Reply

Marsh Posté le 31-08-2007 à 13:55:57    

Reply

Marsh Posté le 31-08-2007 à 14:03:03    


 

Citation :


L'importance des abeilles dans l'écosystème est telle qu'il y a un demi-siècle déjà, Albert Einstein avait estimé que si cet insecte venait à disparaître du globe, l'espèce humaine disparaîtrait au bout de quatre années. La sirène d'alarme pourrait se transformer en tocsin.


 
Comme ça ce sera réglé ! Et j'aurais p'tèt même pas besoin de finir de payer les traites de ma baraque :sol:

Reply

Marsh Posté le 31-08-2007 à 14:03:35    

Et si les lucioles s'éteignent ?


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Ratures - Cuisine
Reply

Marsh Posté le 31-08-2007 à 14:04:46    

Mona Soyoc a écrit :

Va falloir polleniser nous-même les fleurs. Planter son penis dans une fleur, puis dans une autre, puis encore une autre.


 
Attention aux plantes carnivores  :cry:


Message édité par teepodavignon le 31-08-2007 à 14:05:00

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Laurent est mon fils.
Reply

Marsh Posté le 31-08-2007 à 14:08:57    

Cette extinction de race potentielle peut-elle conduire à la perte d'un maillon dans la chaîne alimentaire ?

Reply

Marsh Posté le 31-08-2007 à 14:13:01    

Mona Soyoc a écrit :


 

Citation :


L'importance des abeilles dans l'écosystème est telle qu'il y a un demi-siècle déjà, Albert Einstein avait estimé que si cet insecte venait à disparaître du globe, l'espèce humaine disparaîtrait au bout de quatre années. La sirène d'alarme pourrait se transformer en tocsin.


 
Comme ça ce sera réglé ! Et j'aurais p'tèt même pas besoin de finir de payer les traites de ma baraque :sol:


Albert Einstein etait biologioste ?


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putain dante tu fais chier :fou:
Reply

Marsh Posté le 31-08-2007 à 14:16:39    

douleur postnuptiale a écrit :


Albert Einstein etait biologioste ?


 
Juste logique, ça suffit [:spamafote]


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Prévenir HdV en cas d'SQFP ! - Quidquid latine dictum sit, altum sonatur.
Reply

Marsh Posté le 31-08-2007 à 14:25:35    

A mon avis une vache ou une connerie comme ça qui ne fait que brouter l'herbe ne sera pas directement affecté.
 
Par contre, un animal qui se nourrit de produit créé par une plante dépendante de l'abeille risque par contre d'y passer si il ne s'adapte pas.
 
Aussi il ne faut pas oublier que ce n'est pas parce qu'on ne mange l'animal en question qu'il ne nous arrivera rien. Il y a des conséquences clés comme la régulation des espèces entre elles ou une espèce qui se déplace pour changer son mode alimentaire. Rien que ces deux solutions peuvent apporter des troubles graves si on est pessimistes, avec l'apparition de maladie pour l'homme ou son bétail.
Ce n'est pas evident de prévoir ce qui peut se passer vu que l'écosysteme est en équilibre très complexe et qu'il y a des tas de rouages pour boucler la boucle.
Je pense que autant la modification d'un rouage peu faire péter l'équilibre à notre désaventage (nourriture, maladie) que autant il peut être modifer sans nous atteindre particulièrement (compensation technologique ou remplacement de l'espèce par une autre) mais personnellement je ne suis pas du tout compétent pour savoir de quel coté ira la balance si ça se confirme.

Message cité 1 fois
Message édité par teepodavignon le 31-08-2007 à 14:27:20

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Laurent est mon fils.
Reply

Marsh Posté le 31-08-2007 à 14:28:56    

teepodavignon a écrit :

A mon avis une vache ou une connerie comme ça qui ne fait que brouter l'herbe ne sera pas directement affecté.

 

Bah si toutes les plantes à fleur et donc à fruit et à légume disparaissent, pas la peine de s'appeler Einstein pour se douter que ça risque de puer du cul sévère à peu près pour tout le monde en pas longtemps...

Message cité 3 fois
Message édité par Herbert de Vaucanson le 31-08-2007 à 14:29:46

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Prévenir HdV en cas d'SQFP ! - Quidquid latine dictum sit, altum sonatur.
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Marsh Posté le    

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