pouvez vous m'aider avec mon livre? - Arts & Lecture - Discussions
Marsh Posté le 28-03-2008 à 22:14:30
ouais je sais ... j'ai jamais été bon en orthographe... =P
Marsh Posté le 28-03-2008 à 22:32:24
Impossible pour ma part de réussir à rester concentrer devant tant de fautes.
Je pense que tu devrais faire un effort et corriger ce que tu peux. Ca me semble un minimum si tu veux te lancer dans la conception d'un écrit, vu que de toute façon, tu devras le corriger à un moment où l'autre
Marsh Posté le 28-03-2008 à 22:37:47
"on va finir par croire que l'heroic fantasy c'est tout ce que reste pour ceux qui n'ont aucune imagination " Cornelius Thowarldsen, prof de littérature anglaise de Tolkien après sa rédaction "les aventures des amis de la bague magique" en 1904.
Bosse.
Marsh Posté le 28-03-2008 à 22:55:42
Prologue
Un éclair zébra le ciel et déchira un jeune saule, le privant de toute beauté future. Les arbres voisins, heureux de cet assassinat naturel, ne perdirent pas leur temps et profitèrent de la lumière nouvelle qui leur était accordée.
Sous l'arbre calciné gisait le corps svelte d'un elfe, les entrailles eparpillées sur le sol. Deux assasinats se côtoyaient et n'avaient pourtant rien en commun.
Elfina et son mari le roi Elrador, suivit de près par le sorcier Lingen, passèrent à côté des cadavres sans même leur accorder un regard. Ils se dirigeaient vers un cercle de pierres plus hauts qu'eux-mêmes, pour y transporter un bébé. Elfina trébucha sur une racine qui dépassait du sol mais parvint a s'agripper à une branche de l'arbre déchu dont une écharde lui transperça le doigt. Sans même montrer signe de douleur, elle continua sa route comme si de rien n'était.
Arrivé sans autre encombre à destination, le roi déposa le fardeau au milieu du cercle et s'éloigna de quelques pas, le visage cireux à force de nuits blanches passées à se préoccuper du futur de son peuple. Il observa Lingen s'approcher de l'enfant, se demandant comment il en était arrivé là. Son visage était l'image parfaite que se font les gens d'un roi : les traits durs. Il avait pourtant une beauté immortelle que l'âge ne parvenait pas a lui enlever, des yeux toujours aux aguets, d'un bleu douloureux à force d'être beaux. Il avait une cicatrice en forme de croissant de lune sur le bas de la joue, souvenir d'un coup de couteau qui faillit l'égorger. Sa femme était quant à elle tout bonnement magnifique, avec son corps fin mais fort et des courbes qui feraient fantasmer n'importe quel homme. Elle avait des yeux en forme d'amandes, couleur miel, et des cheveux qui lui arrivaient au bas du dos, d'un brun clair éblouissant.
Le sorcier se plaça à côté du bébé et se mit a psalmodier et à gigoter ses bras rachitiques. Ses longs cheveux blancs se soulevaient au rythme des mouvements de sa tête puis soudain il s'immobilisa. Elrador ne le quitta pas des yeux pendant les dix minutes où il resta immobile ainsi, puis le sorcier se leva et revint au côté de son souverain. Elfina leva les yeux vers son mari et lui demanda:
- Etait-ce vraiment nécessaire?
- Oui et tu le sais, lui répondit-il
- C'est juste que je ne peux pas m'y faire. Quand je pense que l'on a été poussés à faire cela! dit-elle avec tristesse
- Je sais que c'est difficile pour toi, et ça l'est pour moi aussi, avoua-t-il.
- Lingen, expliquez-moi à nouveau, dit-elle au sorcier.
- Madame, le bébé a été envoyé dans une autre terre, loin d'ici, dont mes maîtres m'avaient parlé. C'est une terre encore inconquise de l'empire Zarrin et ce pour au moins une vingtaine d'années, je suppose. Je l'ai ensorcelé pour que la première famille qui le croise l'adopte immédiatement et aussi pour que nul animal ne s'approche de lui jusqu'à ce terme. C'est risqué mais c'est la seule chose à faire.
- Oui et j'en suis consciente, soupira-t-elle. Mais croyez-vous qu'il aura une chance? Croyez-vous qu'il y arrivera, là où tant d'autres ont échoué ?
- Je ne le sais pas ma Reine, mais c'est le seul espoir qu'il nous reste, il porte un lourd fardeau mais il faut que nous ayons foi en lui, ayez dans l'esprit qu'il aura au moins une opportunité de grandir en paix.
- Oui et cela réjouit mon coeur, dit-elle en souriant.
Le roi, qui avait observé la conversation, prit une bouffée d'air et dit :
- Il nous faut partir à présent.
Les deux autres acquiescèrent et ils prirent la route du retour quand soudain un long cri se fit entendre, un cri qui glace le sang, un cri qui pénètre au plus profond des os et qui les font grincer.
- Des kâhlren! s'écria-t-il.
Marsh Posté le 28-03-2008 à 22:58:24
J'ai corrigé, tout est dans un français correct à présent.
Je trouve que ce n'est pas mal mais je ne rentrerai pas dans un jugement littéraire. Mais quel âge as-tu ? Je te demande ça car il y a beaucoup de fautes de conjugaison, de syntaxe et d'orthographe.
Marsh Posté le 28-03-2008 à 22:59:38
Il y a déjà un topic pour ça : http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 5273_1.htm
Marsh Posté le 29-03-2008 à 00:49:38
lamanaiklion, je vais quand même donner quelques jugements littéraires et conseils personnels.
Le prologue doit être à mon avis plus travaillé, il me paraît bien court et ne parvient pas à transmettre ce que, je pense, tu voudrais exprimer.
Je comprends que tu veuilles faire du nouveau-né le héros mais cela est très mal amené. La scène de "téléportation" de l'enfant (car il s'agit bien de ça?) est incompréhensible. Il n'y a aucune description de cette scène, mise à part celle bien trop brève des incantations du sorcier. Or, ce moment est le départ du récit, le point crucial. Tu dois faire comprendre toute la gravité de ce moment et la grande tension qui l'accompagne : l'importance de l'enfant est immense, il porte en lui une lourde charge qui peut changer le court du monde. Sa précarité face à la nature, induite par sa condition de nouveau-né, doit par exemple être fortement décrite car sa vie est symbole de l'équilibre du monde.
Aussi, dans ce sens, la marche des trois personnages qui accompagnent l'enfant-héros fragile doit être pensée comme un mouvement dont la tension croît vers la cercle de pierre, cercle qui est le point culminant de cette tension.
Pendant ce mouvement, l'environnement doit être décrit et converger vers l'enfant. L'enfant est le "souffle" du récit et ce souffle doit peser sur toute la nature : les arbres décrits au début, l'elfe mort doivent par exemple s'y rattacher. Je ne comprends sinon pas ces descriptions qui ne participent à rien.
D'autre part, tu devrais quand même raconter l'histoire du monde que tu décris, il ne s'agit pas d'écrire "c'est une terre encore inconquise de l'empire Zarrin" : cela ne nous raconte rien sur le monde que tu imagines, ce nom d'empire et ce renseignement géographique sortent de nulle part.
Les personnages méritent d'être aussi mieux renseignés, nous ne savons rien d'eux. Les descriptions courtes que tu leur donnes s'arrêtent sur des détails, ce n'est pas une bonne manière d'introduire des personnages à mon avis centraux, et cela nous fait penser qu'ils sont des personnages secondaires.
Tu dois donc vraiment développer ta pensée : sois lyrique. D'autre part, les descriptions doivent fuser. Pour l'instant, c'est extrêmement brutal et synthétique.
Quand j'ai dit que ce n'était pas mal dans mon deuxième post, je le pensais cependant vraiment. Mais ce serait pas mal si c'était au milieu d'un chapitre et que la scène décrite était sans importance et totalement secondaire.
En fait, c'est exactement ça que l'on ressent à la lecture de ton prologue : c'est totalement insignifiant. Je ne ressens rien. Pour une entrée en matière et un passage qui doit être pilier du récit, ça ne va pas du tout.
A bientôt.
Marsh Posté le 29-03-2008 à 14:06:40
merci beaucoup pour vos commentaires je vais faire comme tu mas dis kuranes et je vais mettre plus l'accent sur le héros et essayerais d'émettre plus de tension au lecteur. J'ai corriger le texte jusqu'où il en est car j'ai honte d'avoir posé un torchon pareil.
Je suis content en tout cas d'avoir poser mon texte car je n'aurais pas pus donner une analyse de mon texte de cette façon.
Je crois que vais continuer à poster mon texte ici jusqu'à que j'arrive à
vous faire apprécier le texte et poster des comments positifs .Je crois que si j'arrive à le faire je serrais sur la bonne voie.
Marsh Posté le 29-03-2008 à 14:11:26
au fait j'ai 15 ans... et je trouve que je suis trop grand pour faire de telles erreurs... je comprend pas pourtant je parle courrament 5 langues et je lis
beaucoup ... mais bon je vais pas baisser les bras . je vais m'appliquer
Marsh Posté le 29-03-2008 à 16:10:36
D'abord, je voulais t'encourager, parce que moi-même tentant d'écrire, je me rends de plus en plus compte que c'est beaucoup plus dur que cela me paraissait... Cinq langues !!! ouch...
Ensuite, bien que je sois d'accord sur le fait qu'on ne ressent pas assez l'importance de la scène, je dois avouer que l'histoire m'a accroché... (Je suis une lectrice acharnée de Fantastique). J'apprécie surtout les cinq premières lignes, ta façon d'aborder l'assassinat.
Par contre j'ai trouvé le "expliquez-moi à nouveau" d'Elfina un peu lourd : les explications viennent peut être un peu brutalement...
(C'est un avis personnel ! Si tu le trouves déplacé, n'en tiens surtout pas compte car je n'y connais pas grand chose... Je me contente de dire ce que je ressens ! )
Marsh Posté le 29-03-2008 à 18:24:18
je suis de l'avis de Meriadeck , pourquoi toujours de l'Heroïc Fantasy ? qu'est ce qu'on peut apporter de nouveau à un genre pressé comme un citron depuis tant d'années ? une mode Tolkien ou Harry Potter déjà bien rabâchée ?
Marsh Posté le 29-03-2008 à 19:56:18
merci blandine13 . je tien compte de ton avis car mon but est que mon livre plaise aux éventuelles lecteurs et pour répondre à ton post gargamail
j'écris ce qui me tient à cœur. si j'aime le fantastique j'écris du fantastique
Marsh Posté le 30-03-2008 à 18:42:51
je vais bientôt poster la version améliorée de la prologue... j'espère qu'elle vous plaira
Marsh Posté le 30-03-2008 à 19:08:18
lamanaiklion a écrit : je vais bientôt poster la version améliorée de la prologue... j'espère qu'elle vous plaira |
Il y a déjà un topic pour ça : http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 5273_1.htm.
Marsh Posté le 30-03-2008 à 21:25:43
lamanaiklion a écrit : je vais bientôt poster la version améliorée de la prologue... j'espère qu'elle vous plaira |
Je l'attend avec impatience !
Marsh Posté le 12-04-2008 à 08:31:11
Salut Blandine13. Je suis désolé d'avoir mis si longtemps mais j'étais très occupé. Je te post enfin, et à tous ceux qui pourrais m'aider à le corriger et à me faire des remarques, mon prologue. J'espère qu'il te plaira. Je le trouve infiniment mieux que le premier. . J'espère que tu le lira ici, au sinon je le posterais dans un nouveaux sujet.
à bientôt
Marsh Posté le 12-04-2008 à 08:33:24
voilà donc le prologue...
Prologue:
Un éclair zébra le ciel et déchira un jeune saule, le privant de toute beauté future. Les arbres voisins, heureux de cet assassinat naturel, ne perdirent pas leur temps et profitèrent de la lumière nouvelle qui leur était accordée.
Sous l'arbre calciné gisait le corps svelte d'un elfe, les entrailles éparpillées sur le sol. Deux assassinats qui se côtoyaient et qui n'avaient pourtant rien en commun.
Lingen fut le premier à passer sous l’arbre déchus, suivi de près par ses deux compagnons, le roi Elrador et sa femme, la reine Elfina, qui n‘accorda par un regard aux cadavres. Lingen sentait son cœur battre à tout rompre dans sa poitrine. Son sang pulsait dans ses veine comme s’il essayait de sortir de son corps lui donnant une atroce sensation de pression dans l’artère de son cou. Il sonda les bois autour de lui craignant à tout instant qu’un monstre atroce, sortit tout droit de l’imagination de leur ennemi, puisse les trouver et les abattre avant qu’ils aient achevé leur mission, cette mission, la plus importante de toute, qui les avait mené au cœur même du royaume de l’Empereur, dans une foret maudit ou Il gardait ses plus atroces créatures.
Leur périple durait depuis plusieurs mois déjà. Ils avaient, depuis la terre de Nûrendor, terre de son seigneur Elrador, traversé de nombreux territoires en passant tout d’abords par la vallée de Sangenrit, puis par le col de Rhôten pour contourner les terres où les soldats de l’Empereur étaient trop nombreux. Ils avaient longé le fleuve Daratrin et passé par la terre des Olvoros, tous soumis au maître obscure, pour finalement arriver à Dolbarg, la capital de Son Empire, le siège de la cruauté et de la perversité. Lingen se retourna et observa dans les bras de sa Reine leur espoir, un bébé, le bébé de ses suzerains, niché dans un panier en bois d’olivier, et qui pour le moment, dormait à poing fermés. Il était la raison de leur voyage et la raison de leurs nombreux détours.
Il se maudit intérieurement, se maudit de ne pouvoir rien faire de plus que ce qu’il allait faire aujourd’hui. Lui, Lingen le grand sorcier, le Prime sorcier, était réduit à l’état de seul pion dans cette guerre. Il n’avait rien pus faire bien qu’il ait essayé de toute ses forces. La puissance de leur ennemis était effroyable. Le sorcier fit signe à ses compagnons de s’arrêter, il tenta de se repérer dans cet univers touffus et obscur ou la lumière ne pénétrait presque jamais. Il repérât le roc en forme chaise qu’il avait déjà vus lorsqu’il était venus ici avec son maître, dans sa jeunesse, pour apprendre à déceler les mystères qu’enfermait cet endroit lugubre. Il leur fit signe qu’ils pouvait avancer et ils se remirent tous en marche.
Son Roi et sa Reine n’avait pas encore dit un seul mot depuis qu’ils était rentrer dans cette foret et il savait pourquoi. Mais il ne voulais pas de leur pitié. Il ne voulait pas leurs montrer qu’il était mort de peur. Car un sorcier de son rang ne pouvait pas montrer signe de faiblesse. Il ne pouvait même pas trembler car on attendait de lui qu’il soit froid envers toutes les situations, qu’il n’hésite pas à mourir pour la cause car la cause était plus importante que la personne. Et c’était vrais, il ne pouvait pas baisser les bras après avoir vus les dizaines de milliers de victimes que cette cause avait déjà faite.
Tout en marchant il tourna discrètement la tête vers sa gauche et du coin de l’œil observa le visage pâle de sa Reine. Elle était tout bonnement magnifique, descendante des elfe du côté de sa mère, l’elfe Nireaë, Reine des elfes de la foret de Silnarëalin, elle avait des yeux en forme d’amandes couleurs miel toujours vifs et attentifs et des pommettes hautes. Son teint était pâle mais pas pâle comme l’est celui des mort. Non. Il était d’un pâle insalissable comme si aucune ombre ni aucune poussière ne pourrait jamais se poser sur ce doux visage. Même si après leur voyage ce teint c’était encore décoloré, elle ne perdait pourtant rien de sa beauté intouchable. Il se souvint de son sourire qui apparaissait comme un rayon de soleil sous ses lèvres parfaites, se souvint car cela faisait quelques mois déjà qu’il n’avait pas vus le sourire de sa Reine. Il n’y avait pas de raison pour sourire… Et pour enrober ce visage parfait, elle avait une chevelure qui lui cascadait dans le dos jusqu’aux reins, d’un brun clair éblouissant. Et quant à son corps? Ah, son corps, une merveille parmi les merveilles, avec des membres fin mais fort, une peaux douce comme une brise de printemps, et des courbes qui faisait fantasmer touts les hommes qui avait l’honneur de la rencontrer.
Lingen rapporta son attention sur le chemin et se repéra pour être sur d’être sur la bonne voie. Il regarda son Roi qui l’avait rattrapé sur sa droite. Ce serait une des dernières fois qu’il le verrais, il le savait. Il ne verrai bientôt plus cet homme pour lequel il avait tant fait, cet homme qu’il avait tant de fois suivit aveuglement, l’homme sur lequel il avait porter ses espérances de paix pour les peuples. C’était un homme bon. Son visage était l’image parfaite qu’on les gents d’un Roi. Les trait durs, mais qui gardait cependant une beauté immortel que l’âge ne parvenait pas à lui enlever. Des yeux perçants, toujours aux aguets, d’un bleu douloureux à force d’être beaux, qui semblais vous transpercer et tout savoir sur vous aux premier regard. Il semblait impossible de cacher quelque chose à cet homme là. Il arborait de long cheveux blonds qui lui arrivait jusqu’au bas du cou. Ses épaules était larges et il avait des muscles saillants. Par sa beauté on aurait pus le confondre avec un elfe, si ce n’était par ses membres bien trop épais pour appartenir au beaux peuple. Car de la fragilité apparente des elfes il n’avait rien. Cet homme était fort, et on le remarquait aux premier regard. Son teint était normalement bronzé, mais avec les problèmes en cours il avait perdus des couleurs. Il gardait les yeux baissés, sûrement absorbé par des réflexions à propos de l’avenir de son peuple, et de tout les peuples en particulier. Il devait être également tenaillé par son impuissance, lui qui avait tant fait pour les hommes, et qui aujourd’hui se retrouvait en fuite, comme un criminel. Son Roi releva les yeux et croisa son regard. Lingen ne supporta pas longtemps l’intensité de ce regard et détourna les yeux pour chercher son prochain point de repère. L’arbre, il devait chercher l’arbre, à partir de ce point il mettrait encore environs vingt minutes pour arriver a destination. Le fait de penser à leur destination le ramena à la réalité. Il ne serait bientôt plus là! L’arbre, où était donc ce maudit arbre. Il commençait à perdre le control apparent qu’il avait affiché jusqu’à présent. Il était sur le point d’exploser, de crier au ciel pour lui demander ce qu’il voulait donc de lui. Mais il ne fit rien bien sûr. Il reprit son contrôle, car sa formation ne le laissait pas faire autrement. Il avait été entraîner pour contrôler ses émotions et il le faisait bien.
Il identifia finalement le gros chêne dont deux branches qui partait du même coté du tronc, et faisait le tour chacune de son côté, formait un cœur presque parfait et horizontal. La direction à prendre était la pointe du cœur. Plus que quelques minutes et ils serait arriver à destination.
Ils recommencèrent à marcher, tous en silence, se silence qui devenait pesant. Lingen se rendit soudains compte qu’il n’avait pas encore entendu ne serai-ce un seul bruit hormis leurs propre pas. Il sonda les alentours, cherchant un indice qui lui indiquerait que des animaux était présents dans cette foret, mais il ne vit rien. Pas de bruit de vent non plus. Rien. Le vide omniprésent dans cette foret amplifiait celui de son cœur. Il se sentait démunis, sentant que chaque pas vers leur destination le rapprochait toujours plus de son fatal destin.
Le stress augmentait à chaque pas qu’il faisait, lui donnant toujours plus de mal à respirer. Tout en marchant il ferma les yeux à moitié et tenta de se calmer en inspirant profondément.
Petit à petit il sombra dans cet état de transe auquel il était habitué et des souvenir commencèrent à défiler dans sa tête. Il se souvint de la première fois qu’il était rentré dans cette foret:
Il était avec son maître sorcier. Alboras. Alboras le grand, qui devait être connu comme le plus grand sorcier de son époque. Et lui, il avait eu l’honneur d’être son unique disciple.
Il se souvint du moment où il pénétra dans la foret. Elle était alors pleine de vie et de mystère. Lugubre certes mais fascinante. Il se rappela le fait qu’il était mort de peur lorsqu’il y était rentrer, mais son maître l’avait regarder avec ses yeux si particulier, avait sourit, et lui avait dit que tant qu’il serait avec lui il n’avait rien à craindre. Les yeux du grand maître était d’ailleurs presque la seul chose dont il se souvenait à son propos. Il tenta de se remémorer le regard du vieil homme et les yeux d’Alboras semblèrent se matérialiser devant lui. Alboras avait des yeux presque toujours plissés, mais d’une manière amical. D’un gris de nuages qui commencent à se gorgé de pluie, il semblait impossible de se sentir malheureux ou incapable lorsque ces yeux se posait sur vous. Grâce à la magie? Il n’en savait rien, les capacités du sorcier resterait pour lui à jamais un mystère. Mais il se souvint que lorsque son maître lui dit qu’il n’avait rien à craindre, il s’élança dans la foret qui depuis ce moment ne lui avait plus jamais fait peur. Jusqu’aujourd’hui. Il sortit de sa transe et vu qu’ils leur manquait encore une dizaine de minutes pour arriver. Ces transes durait décidément trop longtemps. Il tourna la tête pour voir si ses compagnons s’était rendu compte de quelque chose, mais ils était tellement perdus eux même dans leurs pensée qu’ils ne se rendrait pas compte s’il s’endormait. Se sentant revigoré, il décida de faire encore une séance, juste une. La transe était décidément comme une drogue. Il se replongea rapidement dans ses pensée, mais soudainement des images et des phrases confuses explosèrent dans sa tête. Il tenta de mettre de l’ordre dans cette confusion et réussit à comprendre les mots. L’enfant, ça concernait l’enfant, comme si son cerveau ou son esprit lui reprochait d’être si peu vigilant dans une mission de cet importance. Les buts de la mission s’imprégnèrent comme au fer rouge dans son cerveau.
Quelques mois plus tôt, lorsqu’il avait lu la prophétie qui concernait le fils de son Roi il avait compris ce qu’il devait faire. Il devait d’abord amener l’enfant ici, dans la foret de Dûnbarlag, puis dans l’ancien cercle de pierre, ensuite il devait l'envoyer dans un endroit sans magie car l’enfant devait grandir dans l’innocence et ne devait avoir aucune connaissance de l’ennemi, de la magie, et de ce monde en guerre en général. Car l’enfant était la clef, la clef de la victoire. Ainsi disait la prophétie.En tout cas c’est le sens qu’elle prenait car il ne parvenait pas à se souvenir des mots exactes, pourtant il aurait dû se souvenir du texte car il était de la plus haute importance. En tout cas il avait décidé de la direction que prendrait le bébé mais faire cette prouesse demandait beaucoup d’énergie. Beaucoup trop.
Il rouvrit les yeux et constata qu’il était à genoux sur le sol, des larmes coulaient le long de ses joues et avait déjà formés une petite flaque sur le sol. Honteusement il releva la tête et dévisagea les deux visages qui l’observait en silence. Il se releva et sans dire un mot et reprit sa marche. Pendant quelques secondes il n’entendit rien, puis, enfin, des pas recommencèrent à le suivre.
Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent.
Il observa le grand cercle de pierre qui se tenait là à ciel ouvert, inébranlable, après des siècles, voire des millénaires qu’il fut construit. Et il dégageai toujours la même puissance.
Ce cercle était composé de douze pierres mesurant environ trois mètres cinquante de haut et deux mètres en long et en large chacune. Elles étaient plantées régulièrement sur le sol pour formé ce cercle parfait. Chaque pierre avait en son centre un grand signe, surement des hiéroglyphes d’une langue perdue dont il n’avait pas connaissance. Il aurait du demander à son maître avant qu’il ne meure quelles était ces inscriptions. Le vieux aurait surement connu la réponse. De toute manière ça n’avait plus d’importance à présent.
Arrivé au bord du cercle, il se retourna. Son roi le regardait fixement et Lingen se dirigea tout de suite vers l’enfant. Il ne voulait pas d’adieu larmoyant ni rien qui puisse le mettre dans un état psychologique plus alarmant que celui qu’il avait déjà. Il avait besoin de toutes ses capacités intellectuels pour finir sa mission.
Il se posta devant sa Reine, et tout en la fixant des yeux, il posa une main sur le panier ou le bébé continuait à dormir. Elle acquiesça et lui tendit son fils sans un mot, une larme perlant tout de même au coin de son œil. C’était tout de même son seul enfant.
Il se tourna ensuite vers Elrador. Comment devrait-il dire au revoir à un Roi? Son Roi. Qu’il considérait par la même occasion comme son meilleur ami! Il opta finalement pour le choix de lui serrer la main. Tenant le panier au creux de son bras il s’approcha, main tendue vers son Roi. C’est là que Elrador fit une chose à la quel il ne s’attendait pas. Elrador, ne tenant pas compte de sa main tendue, le serra contre lui. Lingen se pétrifia, ne sachant pas quoi faire, puis il se relâcha et accepta la tendresse de son Roi. Elrador lui souffla deux mots à l’oreille:
-Bonne chance!
Lingen ne répondit pas. Il n’y avait rien à dire. De la chance? Il n’en aurait sûrement plus besoin. Il se sépara de l’étreinte de son ami et croisa son regard. Des larme! Son Roi pleurait. Pleurait-il pour lui ? Pour son fils? Aucun moyens de le savoir. Lui-même émus, il se détourna de son compagnon et fit quelques pas vers le cercle. Puis il s’arrêta, se retourna, et posa un genoux à terre en direction d’Elfina. Tête baissée il dit:
-Ne vous inquiéter pas ma Reine. Votre fils sera sain et sauf. Voulez-vous lui donner son nom?
Elfina les larmes aux yeux sortit de sa poche trois petits papier, les regarda tour à tour, en choisit un et le déposa dans le panier. Elle déposa ensuite un baisé sur le front de son fils, hésita, et baisa également le front du sorcier.
Lingen se releva et parcourut les quelques pas qui le séparait du cercle. Il s’arrêta quelques secondes à la frontière de celui-ci, et finalement y pénétra.
Ses genoux fléchirent lorsqu’il rentra dans le cercle, la pression était terrible à cet endroit. Son maître l’avait pourtant avertit, mais il n’aurais jamais pensé que la pression serait d’une tel ampleur. Il se releva pourtant, et se rapprocha du centre pour finalement s’agenoullier sur une inscription en forme d’étoile dont les rayon se dirigeait vers tout les pilier. Il entendit de petits gémissements. Le garçon venait de se réveiller. Il le regarda, et sourit. Si petit et déjà on pouvait voir en lui une grande force et en prime une beauté futur prometteuse. Ses yeux bleus-gris montrait malgré son jeune âge une intelligence instinctive. Exactement ce dont il aurait besoin. Le bébé le regardait fixement et Lingen reconnut en ce regard celui de son père. Le sorcier détourna la tête et observa le cercle depuis l’intérieure. Celons son maître, ce cercle énergétique fut crée par une ancienne secte il y à des millénaires appelée la secte des Bardacs. Les sorcier d’antan était décidément des génies. Il reporta son regard sur le bébé et commença à se concentrer. Il aurait besoins de toute sa force spirituelle pour les prochaine dix minutes. Il se focalisa, et lorsqu’il se sentit prêt il commença à libérer son énergie tout en prononçant des paroles intelligible (pour un spectateur extérieur) destinée à le concentrer. Il resta ensuite plusieurs minutes immobile, ses long cheveux se balançant paresseusement dans le vent. Puis le vent changea soudainement de direction et souffla avec une force renouvelée. Autour du berceau de la fumée commença à sortir du sol, formant une sorte de dôme autour du bébé. La terre se secoua violemment en un tremblement sourd. Lingen releva la tête et regarda pour la dernière fois le garçon. Il fut surpris de constater que l’enfant n’était absolument pas effrayé, il observait la scène semblant tout au plus intéressé. Le sorcier sourit! Et le berceau se volatilisa!
Lingen vit au loin une silhouette s’approcher, elle semblait lui dire quelque chose mais il ne l’entendit pas. Il la vit s’agenoullier à son coté, mais ne la distingua pas. Serai-ce son roi? C’était bien possible.
Il était tout de même un peut perplexe. Il aurait crus que mourir faisait plus mal que cela. Mais il ne ressentait en fait qu’une grande mélancolie. Il tourna son visage vers le ciel, et tenta de compter les nuages. Il entendit au loin une voix qui semblait portée par le vent, mais elle ne venait pas de son Roi, elle avait plutôt l’air de faire partie de l’air. Que disait elle?… Une requête?! En avait-il une?… Oui! Liberté!
Elrador se releva. Son chère ami venait de mourir. Encore une autre victime de ce combat qu’il se devait de mener pour les homme libre. Il espérait que le sacrifice du sorcier servirait à quelque chose. Il recommanda rapidement l’âme du sorcier aux Esprits, et les pria de prendre soin de lui. Puis il se releva et essuya une larme qui coulait le long de sa joue. Il s’approcha d’Elfina:
-Il est temps de partir, dit-il. Nous devons rejoindre la plaine de Carag avant la nuit. Dépêchons nous!
Elfina acquiesça et ils repartir, tournant le dos au cercle et au Sorcier déchu. Il n’y avait pas de temps pour des funérailles. La magie du cercle le protégera des ravages du temps, et lorsque le moment sera propice ils viendront alors lui rendre hommage comme il se doit.
Ils n’était partit que depuis dix minutes, qu’un long cri se fit entendre. Un cri qui glasse le sang, et qui à l’air de pénétrer dans les os et les faire vibrer de l’intérieur. Le Roi scruta le ciel, et là, il les vit, ils était là! La peur déforma son visage. Il s‘écria:
-Les Kâhlren!
Marsh Posté le 12-04-2008 à 11:21:43
Je pense que l'utilisation d'un correcteur d'orthographe du genre Antidote serait très utile.
Sinon, ca manque de développement : tu passes trop vite de l'événement à sa conclusion. Soit il y a trop de faits pour un dégagement aussi court, soit c'est trop court pour autant d'actions. Pour l'heroïc fantasy, ou toute forme de récit historique, mieux vaut accentuer l'effet de détail, pour colorer l'ambiance, permettre au lecteur de partager le récit.
Sinon, le mot "bébé" vient un peu à contre courant du genre : l'épique tolère mal un vocabulaire trop familier. Descendance, enfant, dauphin. Bébé, là, ça fait un peu Biba.
Toujours des critiques ! Les noms sont VRAIMENT trop proches de
Tolkien. Il y a pire modèle, mais là, c'est franchement très connoté.
Sinon, c'est excellent : il faut écrire beaucoup pour faire qq chose de valable, et il faut toujours.... commencer, non ? Continue !
Marsh Posté le 12-04-2008 à 12:00:34
Heu bon je suis pas critique littéraire mais je trouve ça très médiocre pour les raisons suivantes :
1./ Le style : Vraiment très juste ( au sens de moyen ) , des tournures que je trouve pompeuses et inadaptées avec des phrases qui n'ont absolument aucune valeur ( Elles ne servent ni l'histoire et ne sont même pas belle d'un point de vu artistique ).
Ex :
Citation : Deux assassinats qui se côtoyaient et qui n'avaient pourtant rien en commun. |
De plus il suffit pas d'aller piocher au pif qq adjectifs et les régurgiter de façon sporadique au gré de tes envies pédantes ex :
Citation : Lingen fut le premier à passer sous l’arbre déchus |
ça n'a pas de sens !
Enfin, je t'en prie, je te supplie, arrête les phrases toutes faites, c'est d'un ennui ...
2./ Histoire : Qu'est ce que c'est conforme et déjà vu ! Chez les écrivains amateur de fantastique ( ou certains de métier ) j'ai vraiment l'impression d'une même histoire, les nom idiots exclu : Là ils font preuve d'une imagination sans borne pour nous servir leurs noms débiles : La seule règle est qu'ils soient imprononçables et n'aient aucune signification. Si tu veux taper dans l'original donne un sens à ces noms.
Pour finir, l'histoire telle qu'elle est n'a aucun potentiel et aucune chance d'être autre chose qu'un énième roman de SF d'un banalisme affligeant et d'un intérêt artistique null. De plus, je le répète l'écriture ce n'est pas ça ! Il ne suffit pas de placer qq mots de vocabulaire relativement savant et employer des tournures complexes ( injustifiées et inadaptées dans ton cas ). Il faut qu'il y ai un sens, qq chose à découvrir, une histoire entre les lignes, une énigme. Vraiment je ne saisis pas l'extase de certain(es)s pour ton écriture : C'est linéaire, incohérent et emmerdant, donc ce que pourrais faire tout ado de 13 - 14 ans.
N'oublie pas qu'un vrai auteur c'est quelqu'un qui sait s'inspirer de ses lectures mais qui sait aussi rester libre de ces dernières dans son écriture.
Marsh Posté le 13-04-2008 à 16:20:35
Pour mon cas, "certaines". En effet, j'aime beaucoup cette histoire. Je suis peut être la seule au monde a adorer les histoires fantastiques, mais pour moi, tant qu'il y en restera une, je continuerais de lire. Je pense que toute les histoires méritent d'être écrites et, si elle ne sont pas intéressantes, que c'est l'auteur qui a la responsabilité de l'améliorer. J'ai bien dit la responsabilité au sens de "on lui confit", car tout à un début et celui ci n'est pas forcément facile. Il faut donc améliorer l'histoire. Pour améliorer l'histoire, il faut améliorer le style, l'orthographe et tout ce qui est indispensable a un bon texte. Et pour améliorer tout ça, je ne vois pas de meilleur moyen que d'écrire, lire, et obtenir des conseils. En plus, il faut un certain courage pour publier une histoire en sachant que l'on risque de se faire casser. Personnellement c'est ce qui m'est arrivé. Je reconnais sans honte que mon texte était un torchon, mais je continue de progresser (même lentement) et je ne compte pas m'arrêter.
Blandine
Marsh Posté le 13-04-2008 à 18:35:44
Blandine13 a écrit : Je reconnais sans honte que mon texte était un torchon, mais je continue de progresser (même lentement) et je ne compte pas m'arrêter. |
Et tu as bien raison .
La critique est aisée, l'art est difficile. C'est un lieu commun, mais il ne faut pas l'oublier, je crois. Proposer à la lecture un texte, c'est encourir un jugement.
Casser un texte écrit par un débutant, c'est façile. Aider un débutant à s'améliorer, c'est déjà autrement moins façile. Bien sûr que le style est pauvre, que l'originalité ne nous éblouit pas et que c'est très perfectible. Et encore heureux !
Maintenant, il faut lire (beaucoup), écrire (beaucoup) et se relire. Et se FAIRE relire. Mais vouloir continuer à écrire, ca ne fait de mal à personne. Stendhal, que j'adore, n'a publié qu'un roman de son vivant qui a remporté un certain succès. Heureusement qu'il a écrit pour lui ! Il y en a d'autres : Lovecraft, Howard, etc. Très peu publiés, adulés aujourd'hui. Ca n'enlève rien à la nécessité de travailler le fond et la forme.
Marsh Posté le 13-04-2008 à 18:42:18
le_fouineux a écrit : |
+1
peu de personnes ont balancées des oeuvres d'arts du premier jet
Marsh Posté le 13-04-2008 à 18:53:39
Stendhal : la chartreuse de Parme a été écrite à la dictée, en direct. Soit dit, ca ferait le plus grand bien aux auteurs en herbe de le lire. Et pas pour les cours ! C'est vif, drôle, et le style est éblouissant.
Marsh Posté le 13-04-2008 à 18:55:36
le_fouineux a écrit : |
Tout à fait d'accord, voilà pourquoi je ne l'ai pas " casser ", qu'il n'y avait pas de méchanceté dans mon propos, et mes arguments sont là pour aider, pas seulement pour appuyer mon propos. La seul chose qui me tape sur le système c'est ce manque d'originalité, critique aisée ou pas je trouve ça à la limite de l'art littéraire de proposer du déjà vu 100 foix dans le premier livre de SF ou brouillon du premier peknos venu .
Ecrire et se corriger oui, mais y penser 3 minutes avant de balancer n'importe quelle banalité c'est bien aussi.
Marsh Posté le 13-04-2008 à 18:59:21
Bien d'accord, rien d'original. Je me souviens de mes premiers jets, c'est catastrophique. A l'époque, j'étais ado, y avait pas internet, mais j'aurai sûrement fait pareil !
Tant "c'est le propre de la jeunesse que de penser que ce qui la passionne intéresse tout le monde et d'être toujours pardonnée pour cela".
encore une fois, lire, lire, lire, lire et lire plus encore. On ne fait pas pousser un arbre sur un sol pauvre. L'imaginaire se nourrit aussi.
Marsh Posté le 13-04-2008 à 20:10:34
Bon, ben ... merci. . La vérité c'est que j'ai toujours aimé ce style. Mais je vois que les gens en ont un peu marre. Mais personnellement je vais essayer avec ma première histoire de le faire dans style qui me plait. Mais bien sur en y mettant une touche d'originalité.
mais bon ... vous pouvez pas me dire que le deuxième texte n'est pas meilleur que le premier!
Marsh Posté le 13-04-2008 à 20:14:26
Pour les noms... pour moi c'est ainsi que se présente les personnages. Je ne me sentirais pas bien si ils serait différent. Peut être que c'est parsque la manière de tolkien est devenue une réalité... j'en sais rien. Mais je me sentirais mal en leur donnant des noms très différent. P
Marsh Posté le 13-04-2008 à 20:16:40
PS... Pourrais quelqu'un m'aider à transformer ceci en français correcte???
SVP
merci beaucoup
(chui une merde en français)
Marsh Posté le 13-04-2008 à 20:22:18
lamanaiklion a écrit : Pour les noms... pour moi c'est ainsi que se présente les personnages. Je ne me sentirais pas bien si ils serait différent. Peut être que c'est parsque la manière de tolkien est devenue une réalité... j'en sais rien. Mais je me sentirais mal en leur donnant des noms très différent. P |
Au secours, achevé moi
lamanaiklion a écrit : PS... Pourrais quelqu'un m'aider à transformer ceci en français correcte??? |
Alors faut arrêter d'écrire ... En français en tout cas.
Marsh Posté le 13-04-2008 à 20:30:20
A oui, aussi, pour lamanaiklion, il y avait quand même des répétitions et quelques trucs bizarres. Tu pourra les trouver sans problèmes en relisant, je pense, mais comme je n'ai rien à faire et que ca m'aidera sûrement, je me permet de te les souligner...
C'est principalement à partir du milieu, il me semble. (Encore une fois, désolé de me répéter, ce ne sont que de simples suggestions et étant très très très amateur, je ne peux te donner aucun conseils digne de ce nom) Ah aussi, fait attention parce que je risque de te rajouter des fautes ! (pour ce qui est en gras, je ferais attention, mais le reste... )
Le Roi redressa son visage et croisa les yeux de Lingen, qui, ne réussissant pas à soutenir un regard aussi profond et intense préfera se détourner pour chercher le prochain point de repère : l'arbre, il devait chercher l'arbre ! Et une fois qu'il l'aurait trouver, il n'aurait plus alors qu'à peu près vingt minutes de marche. Le fait de penser à leur destination le ramena à la réalité. Il ne serait bientôt plus là ![...]
(La C tp chd j'ai eut du mal et je trouve que ca ft tjr bizarre... )
Il était sur le point d’exploser, de crier au ciel pour lui demander ce qu’il voulait donc de lui. Mais il n'en fit rien bien sûr. Il reprit le contrôle de lui même car son éducation de sorcier l'y avait former en l'entraînant à ne pas laisser paraître ses émotions, les contenir et les maîtriser. D' ordinaire, il y excellait. Enfin, il identifia le gros chêne dont deux branches partant du même coté du tronc pour en faire le tourchacune de son côté, formaient un cœur presque parfait et horizontal. La direction à prendre était indiqué par sa pointe.
(sssss'ccc'sss'=>trop ça fait bizarre[moi, j'essaie de lire à voix haute, on s'en rend mieux compte, je trouve]) (répétition de "mission" et "cerveau". si tu les change, ça ira mieux pour les ssss, je suppose)
euhhh : vieux ? Je le voyait plutôt comme un sage, pas un comme un vieux croûton... Un vieux sage, peut être ?lol
houhou ! bienvenue cz les psy ! mdr ca fait un peu... Je sais pas, mais ca m'a fait bizarre quand je l'ait lu. Un peu deplacé, peut être, bien que très scientifique...
Il se tourna ensuite vers Elrador. Comment dire au revoir à un roi ? Son Roi et pourtant son meilleur ami ? Ne pouvant se résigner à le saluer simplement, il se décida de lui serrer la main. Calant le panier au creux de son bras il s’approcha et commençait son geste quand la réaction d'Elrador le pétrifia : ignorant son mouvement, il serra Lingen contre lui, alors que, surpris et ne sachant que faire, celui ci finit par se relacher et accepter l'adieu de son Roi en lui rendant son étreinte.
Il n'en avait plus besoin non ?
focaliser, il me semble qu'il faut l'accompagner d'un COD. on ne dit pas "se focaliser sur..." ?
Petite proposition comme ça pour m'éclater :
Il resta ensuite plusieurs minutes immobile, laissant l'air secouer ses cheveux aux grès des petites bourrasques. Puis soudainement, le vent souffla d'une force nouvelle et changea de direction.
OH et j'allais oublier !!!! Bonne Vacances !!!!! !!! (euh...dsl pour ceux qui n'en ont pas... je compatis ! )
Et pour finir, si tu trouves le livre "Star Wars" de Timothy Zahn, essaie de le lire, parce que les intrigues sont tellement tordues, ingénieuses et multiples que ca ne peut que t'inspirer... En fait, les plans sont tordus parce qu'il y a un nouveau grand amiral de l'empire qui est super intelligent et qui sait tout, ce qui rend le livre très très complexe...
Marsh Posté le 14-04-2008 à 11:31:39
Ouille. Pour écrire, il faut quand même lire avant. Et ne pas viser trop haut tout de suite. Ecris un texte court, une histoire brève, relis la, reformule la. On ne sait pas tout faire du premier coup, mais l'écriture, c'est pareil : ca demande de l'entraînement et du travail.
Et utilise Antidote très bon correcteur orthographique. Ou au moins passe un correcteur style Word. Là, c'est pénible à lire...
Marsh Posté le 16-04-2008 à 22:10:53
merci Blandine13
désolé d'avoir mis du temps pour répondre. J'était pas rentrer sur internet
à plus
Marsh Posté le 24-04-2008 à 09:53:48
Bonjour le monde
Lamanaiklion, est ce que tu vas mettre la suite ??
Il y en a une ? tu l'a déjà faites ?
Aussi, j'aurais bien aimé savoir la façon dont tu procèdes, car j'ai cru comprendre que la plupart avait une sorte de "plan de l'histoire" qu'ils suivent chapitre par chapitre... Moi j'improvise, en fait. J'ai juste les grands traits du récit et les idées me viennent quand j'écris... Libre ^^
Savez vous s'il y a une meilleur méthode ? (que faire un plan) Parce que j'ai peur avec cette façon de casser l'histoire et qu'elle ne soit pas aussi original qu'il le faudrait...
Blandine
Marsh Posté le 24-04-2008 à 10:04:38
Blandine13 a écrit : Savez vous s'il y a une meilleur méthode ? (que faire un plan) Parce que j'ai peur avec cette façon de casser l'histoire et qu'elle ne soit pas aussi original qu'il le faudrait... |
BoraBora a écrit : Il y a déjà un topic pour ça : http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 5273_1.htm |
Marsh Posté le 24-04-2008 à 10:17:30
Aussi, je crois que j'ai mis un énorme ânerie (pour rester polie )
Il aurait besoins de toute sa force spirituelle pour les prochaine dix minutes. Il se focalisa, et lorsqu’il se sentit prêt[...]
Ânerie : focaliser, il me semble qu'il faut l'accompagner d'un COD. on ne dit pas "se focaliser sur..." ?
En fait je crois que ca va être dur de mettre un COD après... (sur quoi ??) Un COI ou un complèment mais...
(AHHHHHH Je suis nul ! niveau => 6° les COI/COD) au secours....
le brevet blanc : aïe, aïe, aïe...
Marsh Posté le 24-04-2008 à 10:19:08
ok BoraBora, merci... (je le suit aussi ce sujet, je vais reposer la question ^^)
Marsh Posté le 26-04-2008 à 22:08:22
Blandine13 a écrit : Bonjour le monde |
Salut
En fait pour mon cas j'ai commencé comme toi... mais à un moment j'ai lus dans un topic que c'était bien de faire un plan, alors j'en ais juste fait un petit
... rien de grand. Par exemple j'ai fait un résumé et plus au moins j'ai écrit pour moi même le déroulement psycho de Lingen... ah, et aussi j'ai fait un petit résumé pour chaque personnage et chaque lieu...
C'est pas grand chose et des gens vont lire mon post et dire que je donne l'impression d'être un gamin de 10 ans... .
Mais bon pour le moment ou j'ai commencé à écrire j'avais au moins l'impression de savoir un peut plus de quoi je parlait
... Donc je pense que c'est intéressent de faire ce plan (même si il faut le faire beaucoup mieux que moi)
à plus
Marsh Posté le 26-04-2008 à 22:17:26
bof ca reste du style plagié Tolkien ou 'livre dont vous êtes le héros...
trop stéréotypé... en plus mettre une base-temps de 10 minutes dans de l'heroic fantaisie...
Désolé mais va falloir t'améliorer si tu veux sortir du forum avec ton début d'histoire.
Marsh Posté le 28-03-2008 à 21:33:33
Bonjour, je suis un écrivain débutant et (même si je doit être le 3429874 à le faire) j'aimerais vous demander votre aide pour opiner sur la prologue
Merci beaucoup (fète ghaffe chui pô sûre de l'hortoggrafe)
prologue:
Prologue
Un éclair zébra le ciel et déchira un jeune saule, le privant de toute beauté future. Les arbres voisins, heureux de cet assassinat naturel, ne perdirent pas leur temps et profitèrent de la lumière nouvelle qui leur était accordée.
Sous l'arbre calciné gisait le corps svelte d'un elfe, les entrailles éparpillées sur le sol. Deux assassinats se côtoyaient et n'avaient pourtant rien en commun.
Elfina et son mari le roi Elrador, suivit de près par le sorcier Lingen, passèrent à côté des cadavres sans même leur accorder un regard. Ils se dirigeaient vers un cercle de pierres plus hauts qu'eux-mêmes, pour y transporter un bébé. Elfina trébucha sur une racine qui dépassait du sol mais parvint a s'agripper à une branche de l'arbre déchu dont une écharde lui transperça le doigt. Sans même montrer signe de douleur, elle continua sa route comme si de rien n'était.
Arrivé sans autre encombre à destination, le roi déposa le fardeau au milieu du cercle et s'éloigna de quelques pas, le visage cireux à force de nuits blanches passées à se préoccuper du futur de son peuple. Il observa Lingen s'approcher de l'enfant, se demandant comment il en était arrivé là. Son visage était l'image parfaite que se font les gens d'un roi : les traits durs. Il avait pourtant une beauté immortelle que l'âge ne parvenait pas a lui enlever, des yeux toujours aux aguets, d'un bleu douloureux à force d'être beaux. Il avait une cicatrice en forme de croissant de lune sur le bas de la joue, souvenir d'un coup de couteau qui faillit l'égorger. Sa femme était quant à elle tout bonnement magnifique, avec son corps fin mais fort et des courbes qui feraient fantasmer n'importe quel homme. Elle avait des yeux en forme d'amandes, couleur miel, et des cheveux qui lui arrivaient au bas du dos, d'un brun clair éblouissant.
Le sorcier se plaça à côté du bébé et se mit a psalmodier et à gigoter ses bras rachitiques. Ses longs cheveux blancs se soulevaient au rythme des mouvements de sa tête puis soudain il s'immobilisa. Elrador ne le quitta pas des yeux pendant les dix minutes où il resta immobile ainsi, puis le sorcier se leva et revint au côté de son souverain. Elfina leva les yeux vers son mari et lui demanda:
- Etait-ce vraiment nécessaire?
- Oui et tu le sais, lui répondit-il
- C'est juste que je ne peux pas m'y faire. Quand je pense que l'on a été poussés à faire cela! dit-elle avec tristesse
- Je sais que c'est difficile pour toi, et ça l'est pour moi aussi, avoua-t-il.
- Lingen, expliquez-moi à nouveau, dit-elle au sorcier.
- Madame, le bébé a été envoyé dans une autre terre, loin d'ici, dont mes maîtres m'avaient parlé. C'est une terre encore inconquise de l'empire Zarrin et ce pour au moins une vingtaine d'années, je suppose. Je l'ai ensorcelé pour que la première famille qui le croise l'adopte immédiatement et aussi pour que nul animal ne s'approche de lui jusqu'à ce terme. C'est risqué mais c'est la seule chose à faire.
- Oui et j'en suis consciente, soupira-t-elle. Mais croyez-vous qu'il aura une chance? Croyez-vous qu'il y arrivera, là où tant d'autres ont échoué ?
- Je ne le sais pas ma Reine, mais c'est le seul espoir qu'il nous reste, il porte un lourd fardeau mais il faut que nous ayons foi en lui, ayez dans l'esprit qu'il aura au moins une opportunité de grandir en paix.
- Oui et cela réjouit mon cœur, dit-elle en souriant.
Le roi, qui avait observé la conversation, prit une bouffée d'air et dit :
- Il nous faut partir à présent.
Les deux autre acquiescèrent et ils prirent la route du retour quand soudain un long cri se fit entendre, un cri qui glace le sang, un cri qui pénètre au plus profond des os et qui les font grincer.
- Des kâhlren! s'écria-t-il.
merci de votre attention (si vous êtes arrivé ici)
Message édité par lamanaiklion le 29-03-2008 à 13:19:41