esquisse d'un futur livre vous en pensez quoi?? - Arts & Lecture - Discussions
Marsh Posté le 05-05-2008 à 16:19:03
Déjà (j'ai lu que 4 lignes pour l'instant), utilise le correcteur d'orthographe. J'ai déjà vu plusieurs fautes. Et si un jour tu souhaites l'envoyer à un éditeur. Ca sera un gros point faible pour toi.
Marsh Posté le 05-05-2008 à 16:22:37
Merci de poster sur le topic dédié : http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 5273_1.htm
Marsh Posté le 05-05-2008 à 16:12:57
« Quoi de plus important que la famille …». J’entend encore ces mots de thyana à l’enterrement, c’était il y a 4 ans déjà.
Aujourd’hui il est, je ne c’est pas quelle heure il est , il faut chaud , c’est peut être l’été , j’ai l’impression d’être allonger là depuis une éternité.
Y paraîtrais qu’une personne dans le coma est réceptive a ce qu’on lui dit, c’est faux !
J’y suis , j’ai toute ma conscience mais ne vois ni entend ce qui m’entoure. J e ne veut pas jouer la suicidaire mais je ne veut pas que l’on me réveille.
Réaction égoïste, qui n’a jamais rêver s’endormir et fuir ce monde de fou, moi je l’avoue, le cœur meurtrie, des cicatrises indélébiles, d’une existence que l’on croit toujours unique mais qui a tellement de ressemblance avec tant d’autres.
Dans la vingtaine, je suis qu’une petite chose de plus dans ce navire qui chavire, ce navire appeler le monde, Pure produit crée dans les années 80.
Physique ingrat , visage d’ange à la Aishwarya Rai. Un grain de beauté au coin de la lèvre que je surligné comme les marquises pour faire ressortir la blancheur du teint.
Un cœur de pierre, mes amies m’ont souvent dit « toi si tu voyait quelqu’un mourir devant toi tu n’aurais aucune réaction », j’ai toujours cru au fond de moi que c’était faux. C’est impossible, même un tueur ressent une émotion, un soulagement sûrement donc pourquoi moi , moi n’éprouverais je rien.
Il était une fois, une porte qui s’ouvre, des hurlements, la mort.
Une femme. elle était bonne vivante, une mamie folle de ses petits enfants mais encore plus de ses propres enfants a 72 ans elle laver et repasser encore le linge de son fils de 40 ans. On ne dira pas bourré de tunes mais assez aisée. Arrêt cardiaque sur son canapé en cuir vert de chez conforma devant un écran plasma dernier cri. Personne ne s’y attendait surtout pas son fils. Mon père.
Il avait une relation assez ambiguë, s’appeler tous les jours. Elle avait ce sentiment d’avoir raté son éducation d’avoir fait des erreurs, il avait sombré trop tôt dans la drogue, quand enfin il s’en été séparer sa meilleure amie fût l’alcool. Toujours dans les vapes je crois a bien m’en souvenir que jamais je ne l’ai vue non défoncer.
J’était à l’école, peu de temps avant le bac, un appel de ma mère qui me dit de rentrer tout de suite à la maison.
Il y 4 ans. L’école n’été pas ma grande amie, mais j’étais quand même là, au niveau bac. Un de mes professeurs rencontrer en boite de nuit m’avait dit « t’es gentille mais l’école c’est pas pour toi ni l’autorité » .
Donc je sors de cours chose qui passait relativement inaperçu, vu le nombre de fois accomplis, j’habitais à 1km à peine. Le plus drôle sur ce chemin c’est la différence dans une petite ville, de quartier, mon lycée était un bel établissement privée, merci la bourse et les allocations, il était en haut d’une colline le nord mener au centre ville quartier assez bourgeois de l’autre côté le paysage n'était pas le même épicerie arabe, HLM a perte de vue le contraste été assez comique tous les soirs j’étais la seule à partir côté « pauvre ». Donc je rentre chez moi allure tranquille, zen, ne cherchant même pas a savoir ce qui avait bien pu se passer. Ma mère est une personne a fleure de peau, elle était en larme, « c’est horrible, mamie est morte » ne voulant pas choquer de mon manque de tristesse apparente je suis aller dans ma chambre et mis le C.D. de damian marley , une tuerie digne héritier de son père celui-là. 3 jours après l’enterrement, toujours aucun sentiments…
Je vous épargnerait les détails affligent car long et ennuyeux à mourir. Mon père était détruit, moi qui n’aimer pas le téléphone j’ai dû l’appeler tous les jours, car il vivait seul et se sentait bien vide, je savais j’avais deviner que héroïne cocaïne, subtil mélange était de retour, il n’avait pas voulu noyé sa peine dans la tise cette fois là.
1er soir, sa peut aller. 2 ème soir : sa va, sa va. 3eme soir : sa va aller. 4 eme soir : en pleure. 5eme soir : pas de tonalité.
6eme jour je prend mon courage a deux mains et vais chez lui, un petit appart F1, pas loin du premier lycée ou j’avais été, une gentille vielle dame avec son cabas revenu du marché m’ouvre la porte, ensuite ascenseur 5 ème étage, porte 62.Je cogne , je cogne et recogne aucun bruit, une odeur, j’enfonce la poignée la porté n’été pas fermer, je fait le tour de l’appartement, la salle de bains je rentre, là, son corps allongé sur son tapis de sol ikea que j’avais toujours trouver joli, des seringues des cuillères a soupe de la poudre.
Overdose.
Un peu long certe alors est-ce qu'il y a eu des courageux ?