Voilà, j'ai récement trouvé dans un de mes tiroir un texte écrit, il y a une dizaine d'année grâce à un logiciel d'écriture. Je pense que ceci pourra servir d'exemple comme une chose à ne pas faire...
Le Trésor
En France, pays splendide, fantastique et imaginaire vivait un beau chasseur charmant au visage bronzé, de taille moyenne, aux cheveux châtains et bouclés appelé Fabien. Il était robuste, habile et vigoureux ainsi que rusé, astucieux et instruit. Il avait trois qualités : il était poli, honnête et généreux, et trois défauts : il était bavard, gourmand et peureux.
Fabien voulait aller à la recherche d’un trésor constitué de pierres précieuses, de pièces d’or et de diamants qui se trouvait dans un labyrinthe lointain, éloigné et mystérieux. Le chemin lui avait été indiqué par un plan trouvé dans un manuscrit ancien dans un coffre.
Il partit à l’aube en emportant son épée et un arc et des flèches. Après avoir traversé des déserts arides et montagneux et des montagnes sauvages et élevées, il rencontra par une journée au temps brûlant, brumeux et glacial un savant blessé. Fabien soigna le savant et le sauva. Le savant le remercia en lui faisant cadeau d’une arme magique qui permettait de triompher de ces ennemis.
Au bout de quinze mois d’aventure, Fabien arriva enfin au labyrinthe où le trésor était gardé par un gros brigand affreux et laid à l’air dangereux, barbare et violent.
Il traversa de nombreuses salles et escalada les remparts mais fut surpris par son adversaire qui voulut s’emparer de lui pour le tuer et le capturer. Il attaqua et utilisa son arme magique avec courage et héroïquement et finalement fut le plus fort et remporta la victoire. Fabien enferma le brigand dans un cachot et se cacha puis il emporta le trésor et le trouva.
Il quitta le labyrinthe et retourna dans son pays où on organisa des fêtes magnifiques et on l’acclama puis il devint roi et attendit de nouvelles aventures.
16/4/1993

ça me rappelle le collège ça.

Quel est le truc ??  

J'ai testé quelques logiciels d'aide à l'écriture de scénari. Au niveau "aide", c'est rien de plus que ce à quoi on s'attend: ils te donnent parfois quelques idées, te posent les questions que tu devrais te poser, te donnent une liste de prénoms (ça peut se trouver n'importe où sur le Net actuellement),...
Bref, ça ne m'a jamais convaincu. Seul intérêt à mes yeux: la mise en page qui est plutôt bien respectée et qui est facile à mettre en oeuvre.
Mais ce genre de chose peut tout aussi bien se faire en LaTeX, alors pourquoi payer pour un logiciel gadget?

En fait, si je me souviens bien (à l'époque j'étais en CM2), on avait des thèmes (qualité du héro, défaut etc...) et on avait un système de mots près définit qu'il fallait choisir. Le problème c'est qu'emporté par l'inspiration on oubliait parfois le premier mot choisit dans la lis ce qui donne un certain nombres de contre sens.

 
  spa de la faute à la machine çà !

J'étais jeune et en plus on était deux sur l'ordinateur donc forcément, il y a eu des moments où on du faire des compromis...

Y'a du style, c'est bien écrit, bravo !
En plus c'est palpitant, quand le héros s'est fait attaqué par le brigand j'ai vraiment eu peur, oulala !  C'est comme si on y était !  
A quand la suite ?  
 

 
 
 
Je sens comme une pointe d'ironie la dedans

si peu  

bof

Allez moi je dis qu'en corrigeant quelques broutilles et en rajoutant le triple de texte on peux arriver à faire quelque chose de potable  
 
 
Sinon ça peux aider les collégiens mais après ...

En France, pays libertaire, chiraquien et franchouillard vivait une belle chasserresse, de taille moyenne, aux cheveux châtains et bouclés et qui se promenait nue dans les bois . Elle était bien charpentée, habile et vigoureuse ainsi que rusée et coquine. Elle avait trois qualités : elle était jolie, avec un décolleté honnête et généreux (ça compte double), et trois défauts : elle était bavarde , gourmande et farouche.  
Elle voulait aller à la recherche d’un trésor constitué de pierres précieuses, de pièces d’or et de rognons qui se trouvait dans un labyrinthe lointain, éloigné et vraiment pas proche du tout. Le chemin lui avait été indiqué par un plan écrit sur un manuscrit ancien trouvé dans un coffre en bois dont la clef avait été jetée au fond d'un vieux puit en pierre au fond du jardin en fleurs.
Elle partit à l’aube en emportant son épée, un sac à main et  un arc et des flèches. Après avoir traversé des déserts arides et montagneux, et des montagnes désertiques et basses, elle rencontra par une journée obscure et glaciale   une morrue salée. Elle lécha la morrue, qui pour la remercier  lui fit cadeau d’une arme magique qui permettait de triompher de ces ennemis. Telle un camembert, la lune dégoulinait tranquillement sur les arbres de la forêt. Elle se remit alors en route.
Au bout de quinze mois d’aventure, elle arriva enfin au labyrinthe où le trésor était gardé par un gros brigand affreux et laid qui, à en juger par son accoutrement, manquait franchement de goût.  Il portait une robe noire, ornée de ciel et d'étoiles en tissu doré.
Elle traversa de nombreuses salles et escalada les remparts mais fut surprise par son adversaire qui voulut s’emparer d'elle par derrière pour l'épouser. Elle  l'attaqua et utilisa son arme magique avec courage et héroïquement et finalement fut la plus forte et remporta la victoire. Elle enferma le brigand dans la ferme de TF1.
Elle quitta le labyrinthe et retourna dans son pays où on organisa des fêtes magnifiques et on l’acclama puis elle devint reine des morrues et attendit de nouvelles aventures.  

 
 
Bon maintenant avoue : qu'est ce que tu fait fumer à ton pécé ??

de la bonne    
 
tu écris la suite  ?  

 
 
Allez c'est parti, suite dans quelques minutes

vas-y, fait fumer le clavier
(par la vitesse des doigts sur les touches, voyons   )

En Ouzbekistan, pays pas libertaire du tout, peuplé de tortionnaires et talibans divers vivait une grosse truie, de taille...que la descence m'empèche de citer , aux cheveux inexistants après être passé entre les mains de MrPropre et qui se promenait nue dans les prés, mais seulement la nuit (à cause des chasseurs) . Elle était bien charpentée, grasse et vigoureuse ainsi que cochonne, une actrice porno n'aurai rien à lui envier. Elle avait trois qualités : elle était obsédée, avec un décolleté honnête et généreux (ça compte quadruple vu la taille, un 105 E au bas mot ) et aussi nymphomane, et trois défauts : elle était bavarde , gourmande (quoique ne suçant pas que de la glace) et aussi nymphomane (ouais c't'un défault aussi, parce que vu sa geule ).
 
Elle voulait aller à la recherche d’un trésor constitué de galets de mer du nord, de pavés, de chataignes et de rognons qui se trouvait dans un labyrinthe lointain, éloigné et vraiment trop pas du tout proche. Le chemin lui avait été indiqué sur un sandwich par la vierge marie, quelle avais vue en croquant dans son kebab avant de le revendre une fortune sur E-Bay.
 
Elle partit à l’aube en emportant son instrument favori (ça commence par un G, puis un O puis un D => toujours la descence, nan parce qu'il y a des gosses qui vont me lire là alors je me limite ), un sac à main en croco (imitation de chez Hermès©) et un arc avec ses flèches en cahoutchouc. Après avoir traversé des déserts arides et montagneux, et des montagnes désertiques et basses, mais aussi des forêts peuplées de trolls elle rencontra par une journée ensoleillée mais obscure et glaciale une morrue salée. Elle fit une gaterie à la morrue, qui pour la remercier  lui fit cadeau d’une arme magique qui permettait de triompher de ces ennemis. Telle un mascarpone, la lune dégoulinait tranquillement sur les bosquets du désert. Après un rail de coke offert par un Colombien de passage elle se remit alors en chemin, malgré la sensation étrange qu'elle éprouvais .
 
Au bout de neuf mois d’aventure, elle arriva enfin au labyrinthe où le trésor était gardé par Garou qui, vu qu'il sortais d'une putai* de geule de bois absolumment monumentale et avais toujours pas dormi, manquait franchement de fraicheur, surtout son haleine. Il portait un tutu rose, ornée de ciel et d'étoiles en tissu doré et doté de poches necessaires au port des paquets de Tic-Tac fraicheur fraiche (j'me répète c'est fait exprès ).
 
Elle traversa de nombreuses salles et escalada les remparts mais fut surprise par son adversaire qui voulut s’emparer d'elle pour la sauter l'épouser . Découragée et à moitié assomé par son odeur se rapprochant de celle d'un bouc, elle l'attaqua et utilisa son arme magique dès qu'il eu le dos tourné, lachement donc et finalement fut pas la plus forte mais remporta quand même la victoire (Dans la vie y'en a ceux qui ont un flingue et ceux qui creusent etc etc etc... ).
 
Elle enferma le brigand dans le poulailler la décheterie la Ferme de TF1 (mais ça c'est pour la saison deux, comme quoi j'vous lache trop une exclu là )!!
 
Elle quitta le labyrinthe et retourna dans son pays où on organisa des fêtes magnifiques, avec de la cocaine à volonté et on l’acclama puis elle devint reine des morrues et attendit de nouvelles aventures.  
 
 
Bon ok j'me suis pas trop foulé pour l'histoire là

lol j'en ai mal au bide à force de rire comme un con  

 
 
Faut que j'arrête le crack moi aussi des fois  
 
 
En fait c'est surtout qu'il faut que j'arrête le crack le matin au réveil

Au Pérou, pays des lamas, des alpagas et des vigognes peuplé d'inca et de vierges dédiées aux sacrifices solaires, vivait une noble prêtresse pucelle, aux cheveux longs  et noirs comme un corbeau  et qui dansait nue dans les champs de coca, mais seulement la nuit (à cause des paparrazis) . Elle était bien gaulée, fine et forte comme de la moutarde,  ainsi que bisexuelle, une intellectuelle féministe aurait tout à lui envier. Elle avait trois qualités : elle était sacrément bonnasse, avec un père honnête et généreux (ça compte double vu la taille des statuettes en or qu'il avait), et trois défauts : elle était pudique , gourmande (quoique ne machouillant  que des feuilles de coca) et aussi elle ne connaissait pas la France, ce fameux pays libertaire, chiraquien, et franchouillard.
 
Elle voulait aller à la recherche d’un trésor constitué de galettes de maïs du machu-picchu, de pommes de terre et de rognons pour son lama qui se trouvait dans un temple Mochica lointain, éloigné et vraiment trop pas du tout loin de la mer. Le chemin lui avait été indiqué par les cadavres de pélicans que les condors, oiseaux sacrés, avaient charogné leurs gueules comme des griffes de puma.
 
Elle partit à l’aube en emportant son instrument favori (une flûte de PAN dans ta face), un sac à main  à l'abricot (cadeau de  Hermès le messager) et une sarbacanne avec ses flèches terminées par une pointe pointue qui piquait méchamment. Après avoir traversé des déserts humides et montagneux, et des montagnes arides et plates, mais aussi des forêts peuplées de Jivaros réducteurs de couilles elle rencontra par une nuit ensoleillée  et humide comme sa chatte, un mur de pierre. Elle urina sur la muraille, qui pour la remercier  lui fit cadeau d’un poil dans la main qui permettait de triompher de ses ennemis sans coup férir. Tel un miel aux mille fleurs, le soleil dégoulinait tranquillement sur les bosquets maritimes. Après un rail de coke offert par la SNCF  elle se remit alors en chemin, malgré la sensation étrange qu'elle éprouvait dans ses narines et sa bouche toute sèche.
 
Au bout de neuf mois d’aventure, elle tomba en ceinte juste devant l'enceinte du temple sacré  où le trésor était gardé par Garenne, un terrible lapin maléfique, dont la phrase préférée était : "monde de merde". Il portait une fourrure douce au toucher, ornée de ciel et d'étoiles en poils doré et doté des poches necessaires au maintient des paquets de rognons qui lui incombaient.
 
Elle traversa de nombreuses salles et escalada les remparts ticules mais fut surprise par son adversaire qui voulut lui sauter dessus  pour la sauter. Emue,  et à moitié charmée par son odeur se rapprochant de celle d'un civet de bon aloi, elle l'enlaça et utilisa son arme magique dès qu'il eu le dos tourné, lachement donc,  et finalement accoucha sur sa fourrure.
 
Elle enferma le lapin dans un clapier de la Ferme de TF1, où un terrible sort l'attendait.  
 
Elle quitta le temple Mochica et retourna dans son pays où on organisa des fêtes magnifiques, avec du rhum des femmes et d'la bière nom de dieu,  et on l’acclama puis elle devint reine des vierges et on la sacrifia au dieu de la pluie, afin de faire pousser plus de coca  

cola

personne pour continuer cette oeuvre divine ?
 
Y'a ptêt un nobel de littérature au bout !

Surtout depuis que j'ai vu qu'un écrivain gagnais 18000 euros/mois, dixit un topic paru tout à l'heure sur hache et fer  
 
 
Je me suis remis à l'écriture subitement

SQUOI ton topic ?  
 
Dans le vaste palais du splendide royaume Kipudlagueul, Bouboulibi avait un bazar tellement énorme qu’il était obligé de se le trimballer dans une brouette. La blonde princesse Kislapet, aux long cheveux gras, pompait constamment la roue gonflable de la brouette à Bouboulibi :
-  « Bouboulibi, j’ai ma dose de regonfler constamment la roue gonflable de ta brouette ! »
 Bouboulibi n’avait que des défauts, il décida de partir à la recherche d’une roue pleine, pour soulager enfin Kislapet. Il prit le tromé direction Pontoise en lisant le plan à l’envers et se retrouva à Orléans, où Jeanne fumait encore.
 Muni de son lance pierre, Bouboulibi chiqua trois vieux dragons merdeux, pendant que Kislapet soudoyait de ses charmes un vieux magicien obèse qui leur obtint (ho magie!) des réducs substantielles sur des places de ciné. Il portait une robe noire de chez Dior, des jupons roses et une invraisemblable choucroute de drag-queen fardée.
 Bouboulibi et Kislapet s’enfilèrent ensuite dans toutes les salles du palais perdu, et s’escaladèrent sans trêve ni repos sur les remparts baignés d’une splendide lumière saumonnée. Hélas, Kislapet refusait obstinément un mariage chrétien. Elle creva mesquinement la roue gonflable de la brouette à Bouboulibi qui se rétama la tronche et mourut, déséquilibré par le poids de son machin.
Pendant ce temps-là, la princesse Kislapet partit s’enfermer dans le château de la Star-Ac, ou elle rencontra un beau grec qui n‘avait pas de brouette.
 
 

C'est génial ce que vous avez fait de mon vieux texte poussièreux avec toute cette coke et ces femmes, on se croirait dans une parodie de film du dimanche soir de M6 (en trash évidemment).

Donc tu restes tard le soir sur M6, le dimanche, hummm, humm  

 
 
Dans le vaste palais des découvertes scientifiques qui vont révolutionner le monde de demain (samedi, vu qu'on est vendredi) du splendide royaume du grand roi Chy Rhak, c'est à dire la France, fabuleux pays aux trois adjectifs célèbres dans le monde entier, Boubou le sage avait un cerveau tellement énorme qu’il était obligé de se le trimballer dans une brouette, c'est d'ailleurs par paronomase avec cette brouette qu'on l'appelait boubou. La blondinette princesse Kipukipet, qui prennait son cul pour une trompette, aux long cheveux blond comme des blès (waou quelle image poétique pleine d'audace), pompait constamment : il faut dire que c'était une fiéfée salope.
 
 Boubou le sage n’avait pas que des défauts,  il décida de partir au plus profond de la jungle amazonienne, afin de rencontrer les Jivaros réducteurs de têtes,  pour soulager enfin sa brouette. Il prit le tramway direction la jungle chaude et humide comme les orifices de la princesse à grande bouche, mais en lisant le plan à l’envers il se retrouva à Orléans, où une Jeanne éfféminée fumait encore sur son tas de fumier fumant d'un bon fumet affamant. Soudain, de la brouette une boulette tomba dans le fumier, et le méthane contenu dans le purin s'enflamma. Bientôt le feu se propagea, c'est balot, et Jeanne fût brûlée vivante, encore vierge.
 
 Ayant comprit le principe de la combustion, c'est muni de son lance flamme que Boubou le sage s'attaqua à trois coquettes dragonnelles. En même temps, vouloir brûler un dragon c'est un peu con. Du coup les trois dragonnelles prirent son attaque pour des avances. Charmées, elles le violèrent toute la nuit. La découverte de la sexualité fut chez lui un détonnateur qui entraîna des changements draconniens dans sa vie (j'allais dire dragonnien, ce qui aurait fait un double jeu de mot foireux : 1 avec ce qui précède et 1 avec ce qui va venir).  Lorsqu'il ressortit de la grotte magique,  il portait une robe noire de chez Dior, des jupons roses et une invraisemblable choucroute de drag-queen fardée.
 Boubou le sage et Kipukipet s’enfilèrent ensuite dans toutes les salles du palais perdu, par devant et par derrière, et s’escaladèrent sans trêve ni repos sur les remparts baignés d’une splendide lumière saumonnée. Hélas, Kipukipet, qui prenait toujours son cul pour une trompette,  refusait obstinément un mariage chrétien. Et heu lol je dis vraiment n'importe quoi et j'ai auncune idée de la suite  

Plagiat éhonté et pornographique d'une oeuvre sublime, je meurs !

comme disait le grand dieux grec Denysos : désolé  

Dans beau royaume Shrakien, vivait gros sans-papier belge. S’appelait, pas de bol,  : Fafarin. Y’à bon Fafarin maqué bonasse fausse blonde. S’appelait : Baèrnadetttte, qui n’avait que des dettes. Jolie, beau fesses aussi, quand même.
- «Trésor gagnons ! S’écria  Baèrnadetttte pour loyer y arriver »
 Du courage Fafarin y’en a. Mit sa belle armure et hop là, brave cheval à fond de cale partit.
Fafarin pas prêteur, gros défaut, laissa belle Baèrnadetttte courir derrière.  Fafarin bandit bandit gros pétard attaqua le comptoir :
-  « haut les mains fissa fissa  ! »
 Mince drame. Tragi-comédie y’en a aussi quand Baèrnadetttte làchâ pet, tous mort là dedans.
Ah non, Fafarin bondir emporter le flouze. Baèrnadetttte ok d’accord. Mais quoi ce brouillard gênant ?
C’est ruse de sorcier vilain. Fafarin obligé de faire part à trois, pas content, content. Baèrnadetttte profita de l’inattention des deux hommes pour se remaquiller, avant de s’enfuir en emportant le pactole.
 -  « Salope sa mère, reviens  ! », Fafarin tire partout. Gros trous. Poupée non-incluse, vendue séparément.
- « Pour sécurité la votre et assurer le bon montage de notre mobilier (fig 1) tournoyer la vis dans l’indication avec pression forte de votre poigne. Selon la version (fig 2), avertissement ! Ne vous contentez pas de supprimer l’emballage, mais aussi le produit. Ne pas mettre les doigts à température ambiante (figs 3,4,5)
 Bien sur, Fafarin pas beaucoup de chance. Cerné la police. Baèrnadetttte folle de joie, son corps également.
- « Hé puis quoi encore ? » Pas berlue, Fafarin !, saute les remparts et se casse.
BBOUM la tête glisse et tombe. Pas de chance… Mais Fafarin lui terrible : s’en fout pas mal la mort.
Continu et parvient à s’échapper avec l’aide d’un complice.
Et depuis incroyable, court toujours. Baèrnadetttte fucky fucky l’inspecteur, mariée y’en a et faire beaucoup mouflets.
Çà belle histoire rome antique. (histoire infalsifiable)
Talbazar, Empereur du Troll.    
 

Le Saint Goncourt est proche, à nous le fric, la drogue et  les grosses bagnoles !!  

 
 
On devrais s'y mettre à plusieurs et faire un recueil des histoires les plus trash  
 
 
A nous la gloire, la célébrité, les femmes et l'entrée au Loft

Justement, tu tombes bien, ça fait longtemps que tu as pas écrit    
 
Sinon je vais pas partager  amour, gloire et beautées.  

 
 
Je viens de me lever j'ai pas d'inspiration  
 
 
Personne aurai un rail de coke histoire que je la trouve, l'inspiration  ??

Je te l'envoie par mail ?

 
 
/send 215.26.124.56 cocaine1erekalitaÿ