Bienvenue sur le tomik des certifications professionnelles non techniques.
Les certifications informatiques pures sont HORS SCOPE (certifs M$, Cisco, etc etc etc…).
On peut citer dans le désordre et sans préjuger d’un quelconque classement, les diplômes français conduisant au titre d'expert comptable (le DCG, le DSCG, et enfin le DEC), le CPA (diplôme équivalent d'expertise comptable ricain), le CA (équivalent UK), le CIA (certification en audit interne), le CISA (certification en audit des systèmes d'information), le CISM (certification en management de la sécurité des systèmes d’information), le CFE (certification anti-fraude), le CFA (certification d'analyste financier), CAIA (certification analyste financier pour tous les alternatifs). A la frontière d'une certification informatique, il existe également le CISSP, axé sécurité plus particulièrement.
Citons les certification de langues enfin : pour l'anglais UK, les certification de Cambridge (FCE, CAE et CPE par ordre croissant de difficulté), pour l'anglais US, principalement le TOEIC. Il existe d'autres certifications, à vocation plus universitaire et académique (TOEFL ...). [A VENIR ALLEMAND] 08.07.2009
Pourquoi faire ? Muscler un CV, prétendre à de nouvelles responsabilités (ne pas espérer néanmoins un virage à 180 degré de sa carrière grâce à une certification, il faut plutôt envisager une certification comme un moyen pour évoluer dans sa carrière), gagner des £/$/€/CHF en plus, satisfaire son besoin de reconnaissance et son égo
Différences essentielles entre les certifs françaises et ricaines : - en France, il suffit généralement de valider tous les UE d'un diplôme/certif. pour se prévaloir d'un titre. D'autre part, les examens sont souvent organisés tous les ans à date fixe, et sont le plus souvent sanctionnés par des épreuves rédactionnelles écrites (i.e. le baccalauréat). Le coût reste modique (examens d'Etat). Il existe souvent un système de compensation entre les matières et une moyenne générale > 10 suffit pour l'obtention. Les diplômes d'expert-comptable sont attribués A VIE. - les certifications internationales d’inspiration US exigent généralement le passage réussi d’un ou plusieurs QCM dans des centres agréés à tout moment de l’année, et s’accompagnent d’exigence sur l’expérience professionnelle en rapport avec la qualification visée, et la reconnaissance des pairs avec des lettres de recommandation sur le plan professionnel ou même moral et éthique, parfois même avant que la tentative d'examen soit autorisée. Il n’existe pas de compensation entre les matières (pas de moyenne générale, tous les modules doivent être réussis individuellement, avec un score souvent bien supérieur à la moyenne i.e. 60 à 75%). Certaines certifications, telles que le CFA ou le CIA peuvent douiller de manière assez importante, en ne comptant même pas la préparation. Enfin, une autre différence importante : ces certifications exigent pour la plupart de se maintenir à jour de la cotisation + justification annuelle d'un certain nombre de CPE (Continued Professional Education), correspondant à des séminaires ou des formations dans le domaine en rapport, afin de garantir que les connaissances sont up-to-date. Bien évidemment, ces organismes se feront un plaisir de vous proposer leurs propres formations parfaitement adaptées à prix d'or pour vous permettre de récolter facilement les précieux CPE.
Dispenses : Parfois, des équivalences ou dispenses sont possibles, via d’autres certifs plus particuliérement aux US (ainsi posséder le CISA peut dispenser d'un quart du CIA), et par des diplômes ou titres pour les diplômes de compta en France. Possibilité en sus de se lancer dans une procédure de VAE si les diplomes possédés ne sont pas nommément cités dans les décrets ministériels sur les dispenses.
Petit topo perso:
Les diplômes français d'Etat en comptabilité. Se passent en trois étapes successives et correspondent à trois diplômes incrémentiels. Possibilité de s'inscire à des organismes de formation à distance, tels que l'INTEC par exemple pour les préparer, ou alors en formation continue dans un cursus de type LMD adapté.
Le DCG : Diplôme de Comptabilité et Gestion, de niveau Licence (Bac +3), des dispenses sont possibles, possibilité de passer par des VAE le cas échéant. - épreuve n° 1 : Introduction au droit ; - épreuve n° 2 : Droit des sociétés ; - épreuve n° 3 : Droit social ; - épreuve n° 4 : Droit fiscal ; - épreuve n° 5 : Économie ; - épreuve n° 6 : Finance d'entreprise ; - épreuve n° 7 : Management ; - épreuve n° 8 : Systèmes d'information de gestion ; - épreuve n° 9 : Introduction à la comptabilité ; - épreuve n° 10 : Comptabilité approfondie ; - épreuve n° 11 : Contrôle de gestion ; - épreuve n° 12 : Anglais appliqué aux affaires ; - épreuve n° 13 : Relations professionnelles (stage 8 semaines). - épreuve facultative de langue (allemand, anglais, espagnol). Seuls les points >10 sont comptabilisés. Un très gros volume horaire est nécessaire à son obtention, sans dispense : 900h min. Rappelons que ce diplôme correspond à trois années en enseignement supérieur à temps plein dans ce cas ... Difficulté estimée** sans dispense et en // d’une activité professionnelle
Le DSCG : Diplôme Supérieur de Comptabilité et Gestion, de niveau Master (Bac +5). Des dispenses, plus rares que pour le précédent, sont publiées par décret, cependant, ne pas négliger les bénéfices de se faire dispenser via la procédure de VAE de certains modules, SAUF les épreuves 1 et 4, OBLIGATOIRES. - épreuve n° 1 : Gestion juridique, fiscale et sociale ; NON DISPENSABLE - épreuve n° 2 : Finance ; - épreuve n° 3 : Management et contrôle de gestion ; - épreuve n° 4 : Comptabilité et audit ; NON DISPENSABLE - épreuve n° 5 : Management des systèmes d'information ; - épreuve n° 6 : Épreuve orale d'économie se déroulant partiellement en anglais ; - épreuve n° 7 : Relations professionnelles (Stage 12 semaines). - épreuve facultative de langue (allemand, anglais, espagnol). Seuls les points >10 sont comptabilisés. Un gros volume horaire est nécessaire à son obtention, sans dispense : 600h min. Difficulté estimée*** sans dispense et en // d’une activité professionnelle
Le DEC : Diplôme d’Expert Comptable (BAC +8) – un écrit type note de synthèse, un mémoire et une soutenance orale, après 3 ans en cabinet. Difficulté estimée***+
Le CPA (Certified Public Accountant). Délivré par les associations d’experts-comptables au niveau des 50 Etats aux USA, régulé et coordonné par the American Institute of Certified Public Accountants (AICPA).
C'est un diplôme essentiellement ricain, équivalent du DEC (Diplôme d’Expert Comptable) français ou au CA (Chartered Accountant) en Grande-Bretagne. Extrêmement reconnu au niveau international dans les domaines de la finance d’entreprise et de l’audit, il reste très compliqué pour un non résident US de tenter de passer l’examen, sans parler de l'obtention du titre à proprement parler, rattachée localement à chacun des Etats. Sa notoriété est maximale aux USA et dans le mode, anglo-saxon en particulier, moindre en France. C'est un achievement tout de même moins "conséquent" que l'obtention du DEC français, bien plus exigent.
Rappelons que la réussite de l'examen ne conduit pas automatiquement à l'obtention de la certification, comme souvent pour les certifs US, car il faut conjuguer les deux autres "E" en plus de celui d' "Exam" (comprendre "Education" et "Experience" ). S’il s’agit d’une dénomination régulée au niveau fédéral, chaque Etat est libre d’administrer les conditions d’obtention comme bon lui semble pour ce qui est de l’expérience et des diplômes requis. Ainsi, pour certain Etats, il est possible s’inscrire à l’examen sans résider dans le pays.
En somme, seul l’examen est standardisé pour tout le pays. Il s’agit principalement d’un QCM informatisé en quatre parties, assez difficile, avec quelques parties rédactionnelles à saisir dans des champs libres : Auditing and Attestation (AUD) (72 à 90 questions + 2 cases) Business Environment and Concepts (BEC) (72 à 90 questions + 2 cases) Financial Accounting and Reporting (FAR) (72 à 90 questions) Regulation (REG) (72 à 90 questions + 2 cases) L'exam peut durer jusqu'à 14 heures au total.
Un gros volume horaire est nécessaire à son obtention : 500h min. Difficulté estimée***
Le CIA (Certified Internal Auditor), créé en 1972. Délivré par The Institute of Internal Auditors (IIA) au niveau global, qui délégue à l’Institut de l’Audit Interne (IFACI) en France et au Schweizerische Verband für Interne Revision (SVIR) en Suisse la gestion de la certification aux niveaux nationaux.
Cette certification atteste des compétences d’un auditeur interne, et est bien évidemment la bienvenue dans un Big4, ou dans les services d’audit interne en entreprise. Le CIA est aussi considéré comme un ersatz acceptable en place du CPA, au niveau international. Son niveau de notoriété est correct.
Quatre QCM de 100 questions, pour dix heures de test au total, bien entendu fractionnées par thème : I LE RÔLE DE L'AUDIT INTERNE DANS LA GOUVERNANCE, LES RISQUES ET LE CONTRÔLE II LA CONDUITE D'UNE MISSION D'AUDIT INTERNE III ANALYSE DE L'ACTIVITE DES ENTREPRISES ET TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION IV LES COMPETENCES EN MANAGEMENT
A noter que les titulaires d’une autre certification reconnue peuvent se dispenser de la partie 4 grâce à la procédure de Professional Recognition Credit (en payant néanmoins le tarif de l’inscription, business is business). L’examen est possible en français. Grosso modo, on peut considérer que s’inscrire au CIA revient à 800€ au total. Les cours, en particuliers chez Gleim, sont particulièrement onéreux et en sus.
Un volume horaire raisonnable est nécessaire à son obtention : 100h à 300h max. Difficulté estimée**
[A SUIVRE] 08.07.2009
Message édité par stilgars le 08-07-2009 à 15:52:52
Marsh Posté le 08-07-2009 à 14:08:32
Bienvenue sur le tomik des certifications professionnelles non techniques.
Les certifications informatiques pures sont HORS SCOPE (certifs M$, Cisco, etc etc etc…).
On peut citer dans le désordre et sans préjuger d’un quelconque classement, les diplômes français conduisant au titre d'expert comptable (le DCG, le DSCG, et enfin le DEC), le CPA (diplôme équivalent d'expertise comptable ricain), le CA (équivalent UK), le CIA (certification en audit interne), le CISA (certification en audit des systèmes d'information), le CISM (certification en management de la sécurité des systèmes d’information), le CFE (certification anti-fraude), le CFA (certification d'analyste financier), CAIA (certification analyste financier pour tous les alternatifs). A la frontière d'une certification informatique, il existe également le CISSP, axé sécurité plus particulièrement.
Citons les certification de langues enfin : pour l'anglais UK, les certification de Cambridge (FCE, CAE et CPE par ordre croissant de difficulté), pour l'anglais US, principalement le TOEIC. Il existe d'autres certifications, à vocation plus universitaire et académique (TOEFL ...).
[A VENIR ALLEMAND] 08.07.2009
Pourquoi faire ?
Muscler un CV, prétendre à de nouvelles responsabilités (ne pas espérer néanmoins un virage à 180 degré de sa carrière grâce à une certification, il faut plutôt envisager une certification comme un moyen pour évoluer dans sa carrière), gagner des £/$/€/CHF en plus, satisfaire son besoin de reconnaissance et son égo
Différences essentielles entre les certifs françaises et ricaines :
- en France, il suffit généralement de valider tous les UE d'un diplôme/certif. pour se prévaloir d'un titre. D'autre part, les examens sont souvent organisés tous les ans à date fixe, et sont le plus souvent sanctionnés par des épreuves rédactionnelles écrites (i.e. le baccalauréat). Le coût reste modique (examens d'Etat). Il existe souvent un système de compensation entre les matières et une moyenne générale > 10 suffit pour l'obtention. Les diplômes d'expert-comptable sont attribués A VIE.
- les certifications internationales d’inspiration US exigent généralement le passage réussi d’un ou plusieurs QCM dans des centres agréés à tout moment de l’année, et s’accompagnent d’exigence sur l’expérience professionnelle en rapport avec la qualification visée, et la reconnaissance des pairs avec des lettres de recommandation sur le plan professionnel ou même moral et éthique, parfois même avant que la tentative d'examen soit autorisée. Il n’existe pas de compensation entre les matières (pas de moyenne générale, tous les modules doivent être réussis individuellement, avec un score souvent bien supérieur à la moyenne i.e. 60 à 75%). Certaines certifications, telles que le CFA ou le CIA peuvent douiller de manière assez importante, en ne comptant même pas la préparation. Enfin, une autre différence importante : ces certifications exigent pour la plupart de se maintenir à jour de la cotisation + justification annuelle d'un certain nombre de CPE (Continued Professional Education), correspondant à des séminaires ou des formations dans le domaine en rapport, afin de garantir que les connaissances sont up-to-date. Bien évidemment, ces organismes se feront un plaisir de vous proposer leurs propres formations parfaitement adaptées à prix d'or pour vous permettre de récolter facilement les précieux CPE.
Dispenses :
Parfois, des équivalences ou dispenses sont possibles, via d’autres certifs plus particuliérement aux US (ainsi posséder le CISA peut dispenser d'un quart du CIA), et par des diplômes ou titres pour les diplômes de compta en France. Possibilité en sus de se lancer dans une procédure de VAE si les diplomes possédés ne sont pas nommément cités dans les décrets ministériels sur les dispenses.
Petit topo perso:
Le DCG : Diplôme de Comptabilité et Gestion, de niveau Licence (Bac +3), des dispenses sont possibles, possibilité de passer par des VAE le cas échéant.
- épreuve n° 1 : Introduction au droit ;
- épreuve n° 2 : Droit des sociétés ;
- épreuve n° 3 : Droit social ;
- épreuve n° 4 : Droit fiscal ;
- épreuve n° 5 : Économie ;
- épreuve n° 6 : Finance d'entreprise ;
- épreuve n° 7 : Management ;
- épreuve n° 8 : Systèmes d'information de gestion ;
- épreuve n° 9 : Introduction à la comptabilité ;
- épreuve n° 10 : Comptabilité approfondie ;
- épreuve n° 11 : Contrôle de gestion ;
- épreuve n° 12 : Anglais appliqué aux affaires ;
- épreuve n° 13 : Relations professionnelles (stage 8 semaines).
- épreuve facultative de langue (allemand, anglais, espagnol). Seuls les points >10 sont comptabilisés.
Un très gros volume horaire est nécessaire à son obtention, sans dispense : 900h min. Rappelons que ce diplôme correspond à trois années en enseignement supérieur à temps plein dans ce cas ...
Difficulté estimée ** sans dispense et en // d’une activité professionnelle
Le DSCG : Diplôme Supérieur de Comptabilité et Gestion, de niveau Master (Bac +5). Des dispenses, plus rares que pour le précédent, sont publiées par décret, cependant, ne pas négliger les bénéfices de se faire dispenser via la procédure de VAE de certains modules, SAUF les épreuves 1 et 4, OBLIGATOIRES.
- épreuve n° 1 : Gestion juridique, fiscale et sociale ; NON DISPENSABLE
- épreuve n° 2 : Finance ;
- épreuve n° 3 : Management et contrôle de gestion ;
- épreuve n° 4 : Comptabilité et audit ; NON DISPENSABLE
- épreuve n° 5 : Management des systèmes d'information ;
- épreuve n° 6 : Épreuve orale d'économie se déroulant partiellement en anglais ;
- épreuve n° 7 : Relations professionnelles (Stage 12 semaines).
- épreuve facultative de langue (allemand, anglais, espagnol). Seuls les points >10 sont comptabilisés.
Un gros volume horaire est nécessaire à son obtention, sans dispense : 600h min.
Difficulté estimée *** sans dispense et en // d’une activité professionnelle
Le DEC : Diplôme d’Expert Comptable (BAC +8) – un écrit type note de synthèse, un mémoire et une soutenance orale, après 3 ans en cabinet.
Difficulté estimée ***+
C'est un diplôme essentiellement ricain, équivalent du DEC (Diplôme d’Expert Comptable) français ou au CA (Chartered Accountant) en Grande-Bretagne. Extrêmement reconnu au niveau international dans les domaines de la finance d’entreprise et de l’audit, il reste très compliqué pour un non résident US de tenter de passer l’examen, sans parler de l'obtention du titre à proprement parler, rattachée localement à chacun des Etats. Sa notoriété est maximale aux USA et dans le mode, anglo-saxon en particulier, moindre en France. C'est un achievement tout de même moins "conséquent" que l'obtention du DEC français, bien plus exigent.
Rappelons que la réussite de l'examen ne conduit pas automatiquement à l'obtention de la certification, comme souvent pour les certifs US, car il faut conjuguer les deux autres "E" en plus de celui d' "Exam" (comprendre "Education" et "Experience" ). S’il s’agit d’une dénomination régulée au niveau fédéral, chaque Etat est libre d’administrer les conditions d’obtention comme bon lui semble pour ce qui est de l’expérience et des diplômes requis. Ainsi, pour certain Etats, il est possible s’inscrire à l’examen sans résider dans le pays.
En somme, seul l’examen est standardisé pour tout le pays. Il s’agit principalement d’un QCM informatisé en quatre parties, assez difficile, avec quelques parties rédactionnelles à saisir dans des champs libres :
Auditing and Attestation (AUD) (72 à 90 questions + 2 cases)
Business Environment and Concepts (BEC) (72 à 90 questions + 2 cases)
Financial Accounting and Reporting (FAR) (72 à 90 questions)
Regulation (REG) (72 à 90 questions + 2 cases)
L'exam peut durer jusqu'à 14 heures au total.
Un gros volume horaire est nécessaire à son obtention : 500h min.
Difficulté estimée ***
Cette certification atteste des compétences d’un auditeur interne, et est bien évidemment la bienvenue dans un Big4, ou dans les services d’audit interne en entreprise. Le CIA est aussi considéré comme un ersatz acceptable en place du CPA, au niveau international. Son niveau de notoriété est correct.
Quatre QCM de 100 questions, pour dix heures de test au total, bien entendu fractionnées par thème :
I LE RÔLE DE L'AUDIT INTERNE DANS LA GOUVERNANCE, LES RISQUES ET LE CONTRÔLE
II LA CONDUITE D'UNE MISSION D'AUDIT INTERNE
III ANALYSE DE L'ACTIVITE DES ENTREPRISES ET TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION
IV LES COMPETENCES EN MANAGEMENT
A noter que les titulaires d’une autre certification reconnue peuvent se dispenser de la partie 4 grâce à la procédure de Professional Recognition Credit (en payant néanmoins le tarif de l’inscription, business is business).
L’examen est possible en français. Grosso modo, on peut considérer que s’inscrire au CIA revient à 800€ au total. Les cours, en particuliers chez Gleim, sont particulièrement onéreux et en sus.
Un volume horaire raisonnable est nécessaire à son obtention : 100h à 300h max.
Difficulté estimée **
[A SUIVRE] 08.07.2009
Message édité par stilgars le 08-07-2009 à 15:52:52