Les sciences molles ont-elles un avenir?

Les sciences molles ont-elles un avenir? - Etudes / Orientation - Emploi & Etudes

Marsh Posté le 01-04-2006 à 23:59:17    

Ayant suivi de près les manifestations liées au CPE et ayant discuté avec plusieurs manifestants, je me rends compte que ces derniers, qui se disent "sans avenir", ont fait soit des études de lettres, soit psycho, socio, staps, langues étrangères appliquées ou encore des études dans l'art (rare étaient qui suivaient des filières scientifiques).
 
Alors, ces filières ont-elles encore un avenir en France? Je suis perplexe.... :heink:

Reply

Marsh Posté le 01-04-2006 à 23:59:17   

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 02:04:24    

Cricrou92 a écrit :

Ayant suivi de près les manifestations liées au CPE et ayant discuté avec plusieurs manifestants, je me rends compte que ces derniers, qui se disent "sans avenir", ont fait soit des études de lettres, soit psycho, socio, staps, langues étrangères appliquées ou encore des études dans l'art (rare étaient qui suivaient des filières scientifiques).
 
Alors, ces filières ont-elles encore un avenir en France? Je suis perplexe.... :heink:


 
 
Pas beaucoup d'avenir, malheureusement.  :sweat: Ce sont des filieres avec tres peu de debouches.  

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 02:27:32    

ce n'est pas parce que certaines filieres a la fac n'ont pas de découchés que ces disciplines n'ont pas d'avenir  :heink:

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 08:51:39    

Lalka a écrit :

ce n'est pas parce que certaines filieres a la fac n'ont pas de découchés que ces disciplines n'ont pas d'avenir  :heink:


 :whistle:

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 10:39:23    

Lalka a écrit :

ce n'est pas parce que certaines filieres a la fac n'ont pas de débouchés que ces disciplines n'ont pas d'avenir  :heink:


 
ben ça va un peu ensemble non? S'il n'y a plus de débouchés à l'issue de certaines filières, c'est qu'à priori d'autres profils sont préférés pour les jobs auquels les étudiants de ces dites filières pouvaient accéder auparavant? Tu ne crois pas?

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 10:39:35    

-> ca montre le gros probleme du fonctionnement de notre société : seul les filières qui rapportent des sous au grand capital sont valable. Le reste, ca ne sert à rien. Les psychologues, les sociologues, ca ne rapportent pas de sous, donc ils ne servent a rien dans la société capitaliste. Pourtant, le rôle est "socialement" très utile et c'est dramatique su'il y en ait de moins en moins.
 
-> sciences molles / sciences dures, ce sont des notions pas très pertinentes.

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 10:43:27    


 
........ :smileyviolon: ........... (dommage que j'en ai pas :D )

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 10:49:08    

C'est qu'il y a en ce moment plus de demande que d'offre. Person , je pense que le pb de l'université de l'incertitude quant à l'avenir des anti-CPE est la conséquence de mauvaise orientation (tardive) couplée à de gros écarts entre la formation théorique universitaire et les réels besoins du marché.
Quand on entend que les sciences humaines ou molles ne rapportent pas d'argent c'est faux et archi faux. ex: les psychologues qui travaillent dans le recrutement, dans des cabinets, les sociologues qui font des études au niveau des organisations... les anthropologues qui font des études sur la population pour voir la viabilités de certains projets...
Mais il est vrai dans le social (comme on dit) ne rapporte pas d'argent mas en coûte! question de sensibilité politique... mais il n'y a pas que l'argent dans la vie même si c'est important.  

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 10:55:40    


 
C'est quand meme un poil plus complexe.
Il est evident que ces domaines sont precieux mais la realité economique veut qu'il y ait pas mal de problèmes de debouchés (pour les psy apparement on en manque et ça paye bien, avis aux interessés :) ).
 
Ce sont les gens, oui nous les consommateurs (je ne dis pas ça defaçon pejorative) qui faisons que telle chose est "utile" ou plutot demandée. C'est l'offre et la demande... et quand il n'y a pas de demande, c'est la galere pour ceux de ces filieres. Ce qui ne veut pas dire que ce qu'ils font n'est pas utile.
Mais alors qui peut leur offir des debouchés s'il n'y a pas de demande. On appelle souvent l'etat a la rescousse mais quand on voit deja la situation merdique de la recherche on se dit que c'est pas de ce coté là que ça va etre mieux...
 
J'y connais rien mais quand on voit à l'heure actuelle des gens galerer alors que l'on considere qu'ils sont "utiles" et ont de reelles competences ce n'est pas etonnant que d'autres aient encore plus de mal.
 
 


on a posté en meme temps, ça se recoupe un peu;)

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 27-05-2006 à 10:58:55
Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 11:02:41    

tien33 a écrit :

C'est qu'il y a en ce moment plus de demande que d'offre. Person , je pense que le pb de l'université de l'incertitude quant à l'avenir des anti-CPE est la conséquence de mauvaise orientation (tardive) couplée à de gros écarts entre la formation théorique universitaire et les réels besoins du marché.
Quand on entend que les sciences humaines ou molles ne rapportent pas d'argent c'est faux et archi faux. ex: les psychologues qui travaillent dans le recrutement, dans des cabinets, les sociologues qui font des études au niveau des organisations... les anthropologues qui font des études sur la population pour voir la viabilités de certains projets...


 
Si tu pars du principe que le but de l'université est de ne former que des gens pour nourrir le grand capital, forcement...
J'ose esperer que la psychologie de demain ne formera pas que des futurs RH, mais aussi des psychologues qui aident ceux qui vont mal, avec une vie sociale difficile et / ou un mal etre réel... des docteurs en psychologie qui font de la recherche fondamentale, meme si ca rapporte pas directement des sous au grand capital, c'est passionant, c'est un veritable defi et surtout comprendre l'humain permet de mettre a mal pas mal de derives idéologiques....
J'ose esperer que l'anthroplogie, la sociologie de demain ne formera pas que des spécialistes consultants pour le grand capital, mais des gens qui prennnent le temps d'analyser et reflechir a ce qui se passe dans notre monde, d'analyse le sens et les consequences de ce qui ce que l'on fait.
 
Les réels besoins du marché perso je m'en temponne à un point, tu peux pas imaginer... c'est l'ensemble du peuple qui devrait reflechir et choisir de l'utilité de tel ou tel branche, et si on se donne les moyens de financer cela (etude + poste derriere au CNRS, tt ca...). Le probleme est en fait similaire avec ces hippies d'intermittents du spectacles qui servent a rien dans la société capitaliste. Mais que l'ensemble du peuple veut garder.

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 27-05-2006 à 11:03:52
Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 11:02:41   

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 11:12:21    


 
 En taut que psy, je me demande d'où sortent ces informations. Des psy on en manque dans les faits mais en termes de postes il n'y a pas d'offre. Si tu voyais le nombre d'étudiants qui sortent de spé clinique ou patho et qui se font des mi ou des tiers temps c'est hallucinant. Et encore je te parle pas de ceux qui n'ont rien.  
 
 Ensuite pour ceux qui sont spécialisés en psychologie du travail, il y a en effet les cabinets RH pour bien s'en sortir. Mais on peut pas dire que les conditions du marché soient actuellement favorables à ce type d'emploi. Ensuite les cabinets ne concernent que les psy spécialisés en travail et une infime partie de clinique mais pour le reste des cliniques, patho, dévelopoement, cognitive, neuro etc... il n'y a pas de boulot et quand il y en a, super mal payé.  

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 11:14:39    


Euh... il y avait aussi des étudiants d'écoles de commerce et d'ingénieur dans les rangs de manifestants hein... C'est seulement que ça passe mieux au JT de faire l'interview d'un bon étudiant gaucho qui sort d'histoire ou socio que de faire celle d'un HEC ou d'un ESSEC (qui avaient, au passage, un char commun dans le cortège parisien), qui est moins "attendue" par les téléspéctateurs.  
Bien sûr, je ne nie pas le fait que la proportion d'universitaires en manifestation soit plus importante, mais la population d'étudiant en Fac est certainement, elle aussi, beaucoup plus conséquente que celle des écoles... C'est donc à nuancer...
Voilà voilà :hello:

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 11:20:10    


 
j'avais entendu par des amis (psychiatres) de mes parents mais c'est vous qui avez surement raison. dsl [:airforceone]

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 12:07:05    

Oui mais il faut bien faire la différence entre psychiatres (médecins) et psychologues (sciences molles :) )

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 12:09:17    

et psychothérapeutes (rien du tout en fait :))

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 12:54:57    


 
Dans les cas que tu cites, ce sont les politiques publiques qui sont en cause, mais dans tout les cas il faut de l'argent, qui vient de quelque part, et une utilité (publique dans ce cas précis). Or les caisses de l'Etant sont loin de deborder, il faut donc faire des choix. Reste que quand on voit les lacunes de l'encadrement des delinquants par exemple, ou des victimes dans d'autres cas, on se dit qu'il y a vraiment des postes a creer. De la a former des milliers de chercheurs en psycho pour reflechir sur l'homme, je ne suis pas convaincu, il faut etre pragmatique, avant de pouvoir se tourner vers notre petit nombril il faut voir que l'on est pas a l'abri de la pauvreté, et donc que l'on a peut etre aussi interet a creer des choses tangibles qui nous assurerons des revenus pour manger, et pouvoir payer des gens à des missions plus élevés intellectuellement.
Apres on peut aussi se dire que l'on vivrait bien mieux avec moins de technologie, mais dans ce cas on dépasse de tres loin le probleme du nombre de doctorants en psycho.

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 13:45:20    

ManfOo a écrit :

Euh... il y avait aussi des étudiants d'écoles de commerce et d'ingénieur dans les rangs de manifestants hein... C'est seulement que ça passe mieux au JT de faire l'interview d'un bon étudiant gaucho qui sort d'histoire ou socio que de faire celle d'un HEC ou d'un ESSEC (qui avaient, au passage, un char commun dans le cortège parisien), qui est moins "attendue" par les téléspéctateurs.  
Bien sûr, je ne nie pas le fait que la proportion d'universitaires en manifestation soit plus importante, mais la population d'étudiant en Fac est certainement, elle aussi, beaucoup plus conséquente que celle des écoles... C'est donc à nuancer...
Voilà voilà :hello:


Bof, dans mon école rien du tout (et y a quand même presque 5000 étudiants) :o

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 13:49:29    

Une meilleure orientation des lycéens en terminale, réaliste sur les débouchés.
Le problème de saturation de ces filières se résoudra peut-être de lui même.

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 14:05:32    

Fourmi23 a écrit :

Une meilleure orientation des lycéens en terminale, réaliste sur les débouchés.
Le problème de saturation de ces filières se résoudra peut-être de lui même.


 
pour moi, le probleme n'est pas la...
Il n'y a pas de solution à la question sans se poser le probleme plus globalement: quelle société voulons nous?

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 15:27:09    


 
le problème (la chance?) est que nous ne voulons pas tous la meme société!

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 15:54:28    

ca c'est sur  :D  
Mais ce que je voulais dire, c'est qu'on ne peut pas parler du problème de la place des "sciences molles" (terme utilisé dans ce topic que je n'aime pas), sans aborder le problème de la société.
Un néolibéral qui voudrait plein de sociologue et psychologue, c'est un néoliberal schizophrène  :lol:

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 18:14:43    

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 18:37:09    

pourquoi ? parceque c'est tout simplement dans la logique néoliberaliste de l'économie de marché, que l'éducation et la recherche sont soumis aux règles de rentabilité. C'est à cause des reformes néolibérales que l'Etat se desengage de plus en plus dans l'éducation et la recherche... donc seul l'éducation et la recherche qui sont financé par le secteur privé arrive à tirer largement leur epingle du jeu, les "sciences molles" ( :whistle: ), bien qu'ayant une utilité, mais pas économique, tirent la gueule. Quel financement privé peuvent elles attirés?
 
Vouloir d'un coté une économie de marché, qui plus est la plus liberal possible, et d'un autre un Etat qui finance des recherches et des formations qui ne "nourissent" pas directement le grand capital, c'est schizophrene  :sol:

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 27-05-2006 à 18:39:21
Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 21:31:02    

pilsner, tu vas arrêter un peu avec "ton grand capital"? le topic était pas politique au début et maintenant nous voilà en pleine argumentation extrème gauche.  
concernant le topic, oui ces sciences sont utiles mais dans une certaine mesure, d'après les chiffres y'a assez d'étudiants en psycho en France pour fournir tous les postes de psychologues d'Europe! et le problème de ces filières psycho, socio, lea, c'est qu'elles sont transformées en filières "poubelles" car des tas d'étudiants pas motivés s'y inscrivent. donc du coup elles sont mal vus des entreprises. pourquoi s'engager dans une filière quand on n'y a plus de débouchés et que le diplôme est très mal vu des recruteurs?

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 21:34:46    

Honu Tohora a écrit :

pourquoi s'engager dans une filière quand on n'y a plus de débouchés et que le diplôme est très mal vu des recruteurs?


Pour tuer le temps en restant dans la vie étudiante.

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 21:40:40    

Honu Tohora a écrit :

pilsner, tu vas arrêter un peu avec "ton grand capital"? le topic était pas politique au début et maintenant nous voilà en pleine argumentation extrème gauche.  


 
c'est vrai ca, c'est pas du tout d'actualité ce que je dis, les commissions emploi-universités tt ca ou le privé vient dire aux universités ce qu'ils doivent faire, ca existe pas, la volonté de financer la fac et la recherche pas des financements privés c'est du mensonge l'Etat investi encore beaucoup dedans...
Et puis même si c'était vrai (mais bien sur qu'heureusement que non), ca concerne pas spécifiquement les filières dont le topic parle. Non non, pas du tout.

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 21:42:23    

Honu Tohora a écrit :

pourquoi s'engager dans une filière quand on n'y a plus de débouchés et que le diplôme est très mal vu des recruteurs?


 
peut etre parceque ca passione les étudiants en question ?
Mais si tu trouve que c'est une vision de gauchiste de faire des études et que ca repond pas à ta question, je m'en excuse d'avance, on sait jamais.

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 21:42:46    


 
Ouais mais on n'est pas dans un libéralisme à outrance et même dans ce cas, on ne peut certainement pas considérer les sciences molles comme inutiles économiquement parlant.


---------------
Technique maquereau | ECNSP | Fructifier son argent avec les branques
Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 21:44:07    


 
tu sais, beaucoup d'étudiants qui sont a la fac bosse a mi temps a coté, et c'est vraiment pas facile...
donc des glandeurs y en a peut etre, surement, mais pas autant que tu le crois.

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 21:47:09    

Kryten a écrit :

Ouais mais on n'est pas dans un libéralisme à outrance et même dans ce cas, on ne peut certainement pas considérer les sciences molles comme inutiles économiquement parlant.


 
mouais pas convaincu. En tout cas, il y a peu etre quelques applications par ci par la, mais je ne pense pas que la plupart des études sociologiques par ex, et que les historiens (hormis pour faire profs mais dans ce cas la ca concerne une infime partie des étudiants d'histoire) soient vraiment utile économiquement parlant.
Peut etre pourrais tu creuser plus ton idée?

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 23:41:05    


 
tu vas pas me dire que tous les inscrits en LEA de France et de Navarre sont passionnés par les langues? bien sûr il y a des passionnés et ceux là réussissent. après il y a aussi énormément de glandeurs qu'on pousse dans des études supérieures "parce que c'est la mode" alors que c'est clair qu'ils vont au casse-pipe.  
et c'est bizarre, il y a donc plus de passionnés des langues ou de la psycho que des passionnés de maths ou physique? je vois pas prkoi
 
je ne dis pas que la politique n'a rien à voir avec le sujet. c'est juste que le topic à l'origine n'avait pas de vocation politique et que tu sortais l'expression "grand capital" à chaque phrase et que j'avais l'impression d'avoir besancenot en direct sur le topic  :lol:  

Reply

Marsh Posté le 27-05-2006 à 23:43:59    


 
 :pt1cable: non mais parfois les gens ont de bonnes raisons, c'est une passion ou autre chose. mais j'en vois aussi beaucoup qui s'inscrivent "par hasard" dans une filière, ne vont que très sporadiquement en cours et se retrouvent tout désappointés après leurs partiels, comme si ça devait leur tomber tout cuit dans la bouche. alors qu'ils auraient effectivement pu commencer à bosser. ça existe oui.

Reply

Marsh Posté le 28-05-2006 à 07:35:03    

oh que oui ça existe pour être passé par psycho ça existe !! N'empêche que les plus motivés vont jusqu'en master 2 pro avec des promotions de 15 à 20 personnes. Ceux là soit ne trouvent pas de boulot, soit des tiers temps rémunérés au smic.

Reply

Marsh Posté le 28-05-2006 à 10:24:15    

je crois que ce qu'il faudrait faire c'est des "quotas" pour le nombre de places.
 
Ie limiter le nombre de places des études en anthropologie, archéologie, sociologie, etc.
 
Certes il y a des emplois derrière ... mais tellement peu comparé au nombres d'étudiants inscrits !


Message édité par gagaches le 28-05-2006 à 10:24:55
Reply

Marsh Posté le 28-05-2006 à 10:33:06    

pas convaincu. L'éducation ne doit pas etre q'une formation pour reussir son insertion professionel, ca doit aussi être un lieu ou on se cultive... pourquoi refuser l'acces a qqu'un qui veut absolument apprendre la sociologie par ex? les connaissances ne doivent pas etre reservé à une elite, mais doit etre accessible à tout le monde.

Message cité 4 fois
Message édité par Profil supprimé le 28-05-2006 à 10:33:29
Reply

Marsh Posté le 28-05-2006 à 10:39:16    


Ca parait beau comme ca mais ca coute cher à l'état, je suis contre le fait de faire payer la fac mais au moins ca responsabiliserait les étudiants.
Ou bien on fait payer ceux qui sont hors quotat :o

Reply

Marsh Posté le 28-05-2006 à 11:27:17    


 
S'il est vraiment motivé, d'accord, mais si c'est juste parce que le gars devait s'inscrire qqpart, non. Tu veux payer son rmi plus tard?

Reply

Marsh Posté le 28-05-2006 à 14:13:15    

multiples pas si sur : tu soulignes tout les problèmes du à un manque de moyens !

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 28-05-2006 à 14:13:38
Reply

Marsh Posté le    

Reply

Sujets relatifs:

Leave a Replay

Make sure you enter the(*)required information where indicate.HTML code is not allowed