Bonjour,
J'ai 26 ans et j'ai obtenu un diplôme de niveau master dans le domaine de la biochimie il y a bientôt 2 ans (juillet 2004).
Depuis cette époque, l'offre d'emplois étant assez mince et complètement saturée, je n'ai jamais réussi à travailler dans ce domaine. J'ai simplement fait quelques petits boulots à droite à gauche en cherchant parallèlement du travail dans ma branche.
J'ai donc l'impression d'être dans une impasse et j'envisage de plus en plus une reprise d'études par un master en double compétence dans, par exemple, le marketing ou l'informatique.
Je me demande donc si, après deux ans d'interruption, je dois poser ma candidature au titre de la formation initiale et postuler à un Master comme si je n'avais jamais arrété mes études ou au titre de la formation continue.
D'autre part, pour ceux qui se seraient trouvés dans la même situation que moi, j'aimerais assez savoir si, d'après eux, 2 ans d'interruption rendent plus difficiles un recrutement en master ou si les chances sont les mêmes que pour un étudiant n'ayant jamais interrompu son cycle de formation initiale
Merci par avance pour vos réponses,

Bonjour,  
 
Je suis aujourd'hui dans la même situation que toi et je me pose exactement les mêmes questions quant à une éventuelle reprise d'études. Je vois que ton message date de 6 ans et tu as donc peut-être les réponses aujourd'hui. Ca m'aiderait beaucoup que tu me donnes ton avis !
 
Merci d'avance !

Bonjour,
 
J'ai 33 ans, j'ai déjà effectué une reprise d'étude en formation continue en 2006-2007 (licence) et je remet ça cette année avec une inscription en Master2.
 
La regle est simple : Après une interruption des études supérieure à 2 ans, une reprise de cursus se fait obligatoirement sous la houlette de la formation continue.
 
L'admission n'est pas nécessairement plus sélective qu'en formation initiale étant donné que des budgets spécifiques sont attribués aux universités pour intégrer des étudiants en formation continue. Les conseils régionaux pré-financent des places réservées donc l'intérêt des organismes est évidemment de les pourvoir. Selon les régions, la concurrence à l'entrée est plus ou moins féroce, mieux vaut peut être viser les régions non surpeuplées.
 
La problématique d'admission est la suivante : Avoir un projet professionnel cohérent et un moyen de financement. (mieux vaut être salarié en CIF ou demandeur d'emploi indemnisé).
 
Bon courage