pétition fermeture ecole d'art de perpignan (urgent)

pétition fermeture ecole d'art de perpignan (urgent) - Société - Discussions

Marsh Posté le 26-03-2006 à 01:06:58    

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Marsh Posté le 26-03-2006 à 01:06:58   

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Marsh Posté le 26-03-2006 à 01:09:56    

$$$ MERCI DE NE PAS SPAMMER HFR :o


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Topic des alcools régionaux | m'enfin
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Marsh Posté le 26-03-2006 à 03:18:31    


 
J'ai rien contre ton école, mais tu devrais argumenter un peu plus, parce que là, c'est un peu léger. Ca donne pas envie d'aller signer ta pétition.

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Marsh Posté le 26-03-2006 à 03:44:35    

Bon moi j'ai signé sans trop savoir, explique nous histoire que je regrette pas :)
 
Par quoi ils veulent la remplacer ?
 


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Marsh Posté le 26-03-2006 à 03:48:56    

source l'indépendant du jour
 
 
 
 
Beaux-Arts: le face-à-face entre le maire et les étudiants vire au "clash"
 
 
Après l’annonce brutale de la fermeture de l’école des Beaux-Arts de Perpignan, étudiants et enseignants devaient hier rencontrer Jean-Paul Alduy. Un rendez-vous d’abord manqué qui s’est ensuite transformé en séance de lourds dérapages verbaux du maire.
La suite au conseil municipal de lundi.
 
Tout était prêt pour 14heures. L’heure à laquelle Jean-Paul Alduy avait donné rendez-vous aux étudiants et enseignants de l’ESAP. L’heure du dialogue tant attendu face à tant d’incertitudes. Tout était fin prêt pour recevoir le maire en l’école municipale de la rue Foch. Dialectiquement orchestré dans la matinée en AG. Masques blancs pour la mise en scène artistique et prise de parole accompagnée de gestes précis. Puis l’heure a tourné, pour ne pas dire mal tourné.
Pas de Jean-Paul Alduy à l’horizon. C’est Dominique Malis, le directeur des services généraux de la mairie, qui surgit alors en médiateur pour expliquer que le maire ne viendra pas, qu’"il a changé de position" mais attend les étudiants en mairie "au sein de la maison du peuple". Regards d’incompréhension dans l’assistance. Rendez-vous manqué. Sentiment de trahison et d’abandon.
"Ce sera ici, en l’école municipale ou nulle part ailleurs. Vous jouez sur la hiérarchie plutôt que sur la liberté d’expression, c’est grave!" lance une étudiante. C’est l’impasse.
 
"Ma volonté est faite"
Les esprits s’échauffent. Le médiateur parachuté quitte la salle. Une demi-heure plus tard, JPA fend la foule et prend la parole, une note de synthèse de quatre pages dans les mains. "Perpignan est une ville qui a placé la culture au cœur de son projet urbain… " Début du monologue. Une voix s’élève. "Vous nous endormez!" La salle est à cran. Terriblement déçue par un discours qualifié de programme électoral par les étudiants. "Allez-vous oui ou non fermer l’école?" La réponse fuse: "Oui. Ma volonté est faite. Je présenterai le projet en conseil municipal lundi soir. L’Etat l’a déjà accepté mardi dernier." La foule qui avait pris soin de s’asseoir pour calmer le jeu, bondit brusquement.
"Mais qu’allons-nous devenir? Vous nous empêchez de terminer notre cursus!" Dans la précipitation et l’effervescence, le maire tente de décliner le nouveau projet et évoque la future "formation post diplômante". Soit une formation de niveau bac +6 qui permettrait à certains artistes de venir en résidence dans la nouvelle structure. Un projet qui évacue par conséquent les étudiants du système. "On ne veut pas quitter cette école que nous avons choisie pour ces enseignements spécifiques et uniques en France! On aime Perpignan!"
 
"Des phrases graves"
Et c’est à ce moment-là que tout bascule. "Vous aimez Perpignan mais vous n’êtes même pas d’ici!" C’en est trop. Pour Aurélie Palau, étudiante en 3e année et pilier de la contestation: "Ce sont des phrases très graves de la part du maire d’une ville cosmopolite, c’est totalement discriminatoire. Si aujourd’hui l’art a des frontières, où va-t-on? Quand bien même on ouvrirait une formation diplômante aux artistes, croyez-vous qu’ils viendront seulement de Perpignan?" Impossible de poursuivre. L’assistance est excédée par l’attitude et les propos de Jean-Paul Alduy qui décide de quitter immédiatement l’école sous les huées. " Il veut, il choisit, il impose, c’est scandaleux, il n’écoute pas ses citoyens!"
Un quart d’heure plus tard, c’est à l’hôtel de ville que le maire recevra la presse. Pour décliner et justifier une nouvelle fois son nouveau projet. JPA, qui est lui-même passé par les Beaux-Arts, ne démord pas. Absolument convaincu par sa vision de l’avenir culturel perpignanais. Conforté par sa directrice de l’action culturelle, Marie Costa et l’adjointe Maité Freneix.
En soirée, les Beaux-Arts se transformaient en QG du désarroi. Que faire dès lors? " Continuer à se battre!" Pétitions, manifestes rédigés par des artistes, lettre au gouvernement…
Tout est passé en revue sous le regard absent d’un Vincent Emmanuel Guitter, directeur de l’ESAP, qui durant trois jours s’est abstenu de tout commentaire et de toute empathie manifeste à l’égard de ses étudiants.
Droit ou devoir de réserve?
Hier, Jean-Paul Alduy est sévèrement sorti de la sienne…

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Marsh Posté le 26-03-2006 à 03:58:15    

ok et c'est quoi le projet du maire ?


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Marsh Posté le 26-03-2006 à 04:04:25    

JPA n'a pas d'explications à fournir, en bon soldat de l'UMP qu'il est . Il ne veut pas avouer que sa fermeture est la conséquence du désengagement de l'Etat dans le domaine de la Culture. ce n'est pas la seule Ecole des beaux-arts qui ferment france.
Il a clamé haut et fort que les impots de Perpignan n'augmenté pas , maintenant il est coincé . Soit il crie après le gouvernement qui coupe les aides , soit il augmente les impots , soit il ferme et réduit la voilure.
 
Jean-Faul Alduy en matière d'éducation : fermeture de l'ecole maternelle des Castors , fermeture école maternelle de Muchart , fermute du groupe scolaire de la scobas et maintenant fermeture de l'école des beaux-arts.
L'école privée à un allié de choix.

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Marsh Posté le 26-03-2006 à 07:11:54    

Quelle honte  :fou:  
 
Ce sont des comportements comme celui-ci qui nous font passer pour des imbéciles !  
J'apporte tout mon soutien au maire (élu) ! Ta pétition de néo-révolutionnaire, tu peux t'asseoir dessus je ne la signerai pas !


Message édité par Nidnogar le 26-03-2006 à 07:12:10
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Marsh Posté le 26-03-2006 à 09:05:34    

que tu la signes c'est pas grave en meme temps !tant que le processus democratique existe  
limoges c'est loin de perpignan hein !
enfin je dis ca je dis rien  
limoges la ville ou il fait bon vivre quand on a rien a faire ni a dire !!
 
soutiens a l'ecole d'art de perpignan !


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quand tu fais caca c'est pour ton plaisir hein.....(c'est arrivé pres de chez vous)  
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Marsh Posté le 26-03-2006 à 09:30:02    

Désolé, pas de pétitions sur le forum.


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He was a cop and good at his job, but he committed the ultimate sin and testified against other cops gone bad. Cops that tried to kill him but got the woman he loved instead...
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