chasseurs a reaction et autres projets insense 2e guerre mondiale - Page : 8 - Sciences - Discussions
Marsh Posté le 13-01-2007 à 23:56:56
ah les allemands encore les allemands on croirait qu'il n'y a que eux qui on bossé...
Marsh Posté le 14-01-2007 à 00:04:28
johndoephenix a écrit : ah les allemands encore les allemands on croirait qu'il n'y a que eux qui on bossé... |
Le savoir faire allemand, on ne peut le nier quand même !
Marsh Posté le 14-01-2007 à 01:56:57
Pierre_ermite a écrit : Le savoir faire allemand, on ne peut le nier quand même ! |
Les alliés étaient assez ingénieux aussi. La bombe a ricochet, fallait quand même la trouver !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Chastise
Marsh Posté le 14-01-2007 à 05:13:54
Le principe du moteur à réaction était connu de la plupart des grandes puissances bien avant le début de la seconde guerre mondiale. Mais seuls les ingénieurs et les techniciens allemands y croyaient véritablement et travaillaient d'arrache pied à son développement et à son utilisation pratique sur des appareils viables. Le résultat fut que l'Allemagne prit, en quelques années, une avance considérable dans ce domaine et que le régime nazi fut le premier à aligner des appareils à réaction sur le théâtre d'opération...
Le plus connu est évidemment le Messerschmitt Me-262 qui aurait pu changer le cours de la guerre et de l'histoire si Hitler n'avait pas retardé de deux ans son développement sous prétexte d'en faire un bombardier tactique. Mais il ne fut de loin pas le seul ! Les projets foisonnaient parmi les firmes allemandes et il faut bien avouer que les concepts élaborés par les ingénieurs en aéronautiques allemands étaient plus révolutionnaires les uns que les autres, notamment en matière d'aérodynamisme. Parmi ces projets figuraient des chasseurs et des bombardiers en forme d'ailes volantes, sans empennage ni dérive (dont les formes rappellent étrangement celles du B-2 actuel !), des bombardiers tactiques et des bombardiers en piqués à réaction, des chasseurs à voilure delta ou présentant des ailes en flèche à forte incidence, des intercepteurs aux formes étonnement futuristes et même un engin à réaction à décollage vertical et un chasseur utilisant le principe de la poussée vectorielle. Il existait également des projets de développement de bombardiers stratégiques à long rayon d'action, capables de frapper la côte est des Etats-Unis et, qui sait, d'emporter une éventuelle bombe atomique…
Certaines des formules adoptées étaient si en avance sur leur temps qu'elle provoquèrent la stupeur des spécialistes alliés lorsqu'ils en eurent connaissance postérieurement. Après l'occupation de l'Allemagne, en 1945, les missions scientifiques dépêchées sur place par les Alliés purent constater que ces avions ne constituaient qu'une première génération d'appareils révolutionnaires et que des projets encore plus ambitieux étaient en cours de développement ou d'étude lorsque Hitler se suicida, le 29 avril 1945. Par les recherches menées dans les bureaux d'études, ils s'aperçurent, avec une frayeur rétrospective, que les Allemands possédaient une avance extraordinaire dans le domaine de la recherche aéronautique fondamentale et que certaines créations en étaient déjà au niveau du prototype ou des essais en avril 1945.
Visiblement, au moment de sa chute, le Reich était à deux doigts de se doter d'une véritable flotte d'avions à réaction, sans parler de l'armada de fusées et de missiles qui, leur développement achevé, étaient sur le point d'atteindre le niveau opérationnel. Si tous ces engins avaient pu être produits en grand nombre et engagés massivement sur une grande échelle, les armées alliées se seraient retrouvés dans une situation fort embarrassante... Ces créations aux performances étonnantes et aux concepts révolutionnaires auraient en effet permis à l'Allemagne non seulement de reconquérir la maîtrise du ciel, mais également d'interdire le survol de l'espace aérien allemand et de frapper les Alliés jusque sur leurs propres territoires, y compris au-delà de l'Atlantique et de l'Oural ! On n'ose alors imaginer quel sort aurait été réservé à l'Europe et au monde…
Hitler fondait d'ailleurs de grands espoirs sur ces divers projets qui, dans son esprit, ne constituaient sans doute qu'une partie des armes miracles destinées à renverser le sort des armes au profit du Reich. Dans ces conditions et à la lumière de ce nouvel éclairage, la stratégie attentiste de temporisation et de résistance pas à pas élaborée par Hitler après les défaites de Stalingrad et de Koursk prend une nouvelle perspective et l'on comprend mieux sa conviction inébranlable, tant de fois répétée à son entourage, de "gagner la seconde guerre de Sept ans". Par chance, il ne bénéficia pas de ces sept années et le IIIe Reich s'effondra avant qu'il n'eut les moyens de faire basculer le sort des armes...
Sous la pression des événements, les deux dernières années de la seconde guerre mondiale virent éclore un nombre incroyable de projets d'armes nouvelles du côté allemand. Ces armes d'un nouveau type et au potentiel militaire fantastique, touchaient tous les domaines de la guerre - air, mer, terre. Toutes recouraient à des technologies très diverses mais totalement révolutionnaires, bien loin des schémas classiques. Leur conception futuriste, très en avance sur leur époque, montre quelle maîtrise et quel degré de connaissances les ingénieurs et techniciens allemands avaient acquis en 1945 et quelle avance technologique les scientifiques allemands avaient sur leurs homologues soviétiques ou occidentaux.
Le fait est que lorsqu'ils découvrirent ces projets, certains spécialistes américains ou britanniques n'en crurent pas leurs yeux. A partir d'avril 1945, on assista à travers les ruines fumantes du Reich à une course effrénée aux armes secrètes allemandes, les anciens alliés n'hésitant pas à s'approprier et à rapatrier dans le plus grand secret les prototypes, les documents, le matériel et jusqu'au personnel et aux cerveaux qui avaient collaboré à ces divers projets. Ce fut l'opération Paperclip du côté américain, mais les Russes, les Britanniques et les Français firent de même…
Certaines de ces armes, comme le missile V1, la fusée V2 ou le chasseur à réaction Messerschmitt Me 262, atteignirent le stade opérationnel et furent engagés sur le théâtre d'opération par Hitler, dans le vain espoir de renverser le sort des armes. D'autres, dont le développement venait d'aboutir, étaient sur le point d'être lancées en série lorsque le Reich s'écroula. La plupart, élaborées trop tardivement, n'avaient pas dépassé le stade expérimental ou n'avaient été produites qu'en nombre très limité, à l'état de prototypes. Certaines n'étaient encore qu'à l'état de projet, ou d'épures en mai 1945…
Après l'occupation de l'Allemagne, les ingénieurs alliés purent constater avec effroi que ces armes ne constituaient qu'une première génération d'appareils révolutionnaires, d'autres concepts encore plus audacieux étant en gestation. En prenant connaissance des divers projets existants, ils durent constater que les Allemands possédaient une avance extraordinaire dans un grand nombre de domaines de pointe, comme la recherche aéronautique fondamentale, les hélicoptères, les appareils à voilure en flèche ou à aile delta, ou encore l'utilisation du moteur à réaction et du moteur-fusée à carburant liquide.
Ainsi, en 1945, l'Allemagne était sur le point de faire intervenir tout un arsenal d'armes nouvelles capables de bouleverser la tactique et la stratégie des Alliés. A l'exception de l'arme nucléaire, ces engins nouveaux constituent encore aujourd'hui la base de l'armement des forces conventionnelles de tous les pays du monde. L'apparition du U-Boot type XXI remettait en cause toute la doctrine de défense des convois maritimes ; les missiles téléguidés et l'avion à réaction équipé de roquettes sonnaient le glas de la stratégie des formations compactes de bombardiers. Enfin, les fusées annonçaient la disparition de l'artillerie lourde à longue portée et ouvraient l'ère des bombardements stratégiques intercontinentaux…
Le Blohm & Voss P-208
Premier projet de chasseur à réaction à poussée vectorielle
parmi les projets les plus fantastiques élaborés par les Allemands durant la seconde guerre mondiale figure celui du Blohm & Voss P-208, un chasseur monoplace d'une conception révolutionnaire qui différait de tous les schémas connus et qui affichait des caractéristiques très en avance sur son époque. Le concept adopté était pour le moins original puisque l'appareil ne possédait ni dérive, ni gouvernes, ni empennage, et recourait au principe de la poussée vectorielle pour se diriger ! La cellule, dont les formes avaient été minutieusement étudiées en soufflerie, présentait une silhouette très pure, avec des lignes fluides qui diminuaient la friction avec l'air, conférant au chasseur un grand coefficient de pénétration dans l'atmosphère.
Le fuselage, très effilé, présentait une forme cylindrique terminée par deux extrémités coniques, qui donnaient à l'engin l'aspect d'un long " cigare " renflé. Le cockpit, situé au-dessus de la partie médiane du fuselage, était équipé d'une verrière profilée en goutte d'eau qui offrait un dégagement visuel optimal au pilote. L'armement comprenait 3 canons MK-108 de 30 mm logés dans le nez de l'appareil. Des points de fixation sous la voilure permettaient l'emport de rampes de roquettes ou de missiles R4 M équipés de détonateurs de proximité, particulièrement efficaces pour décimer les formations compactes de bombardiers.
Le chasseur était propulsé par un turboréacteur intégré dans la cellule du fuselage, qui était alimenté par une prise d'air ventrale et par deux prises d'air secondaires s'ouvrant à l'emplanture des ailes. Etant donné l'absence de dérive et de gouvernail de direction, les changements de cap ainsi que le contrôle du roulis et du tangage s'effectuaient à la fois en jouant sur les ailerons et les volets de la voilure, et en déviant une partie des gaz de combustion de la tuyère vers des échappements latéraux installés sur les flancs de la partie arrière de l'appareil, de façon à obtenir un flux directionnel. Le concept adopté était la première application réelle, sur un engin volant, du principe de la poussée vectorielle, aujourd'hui largement généralisé sur les engins spatiaux comme la navette américaine. Cette opération s'effectuait automatiquement, par l'intermédiaire de clapets qui s'ouvraient ou se fermaient plus ou moins, en fonction de la direction et de l'amplitude des mouvements de la main du pilote sur le manche à balai…
La stabilité en vol d'une cellule par définition aussi instable était obtenue par la forme très étrange donnée à la voilure, profilée en doubles ailes de mouettes. Les ailes, qui accusaient une forte flèche, présentaient deux décrochements angulaires successifs, l'angle d'incidence de la flèche s'accentuant fortement vers les extrémités de la voilure. Le bout des ailes était lui-même replié vers le bas, de façon à accroître la portance et à conférer une sustentation maximale à l'appareil, même à basse vitesse, tout en stabilisant sa trajectoire de vol. La combinaison de ces caractéristiques absolument révolutionnaires permettait au chasseur d'atteindre des vitesses incroyables (grâce à la forte incidence de la flèche) tout en lui assurant une grande manœuvrabilité à basse vitesse ou en combat tournoyant…
Le Blohm & Voss P-208 était supposé atteindre une vitesse de 900 km/h en palier. Elaboré trop tardivement, alors que le Reich s'écroulait déjà, cet appareil fut rattrapé par la guerre et ne dépassa pas le stade du projet expérimental. La hardiesse du concept, l'originalité de la voilure et surtout le recours à la poussée vectorielle montrent toutefois à quel haut degré de connaissances les ingénieurs et les techniciens allemands étaient parvenus en 1945 et combien l'industrie aéronautique allemande était en avance sur les pays occidentaux et l'Union soviétique. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si, sous le seau du secret le plus absolu, les Alliés et les Russes se lancèrent dès avril 1945 dans une véritable course effrénée aux armes secrètes allemandes, sillonnant les ruines fumantes du Reich pour dénicher les plans et les prototypes, recrutant massivement les spécialistes qui avaient collaborés à de tels projets. C'est ainsi que de nombreux scientifiques, ingénieurs et techniciens traversèrent l'Atlantique ou se retrouvèrent de l'autre côté du Rideau de Fer. Mais ceci est une autre histoire, celle de la Guerre Froide…
source : http://www.fortlitroz.ch/index.php?p=434
http://www.fortlitroz.ch/index.php?p=485
Marsh Posté le 14-01-2007 à 19:37:12
Messerschmitt Me P.1101
Le Messerschmitt Me-1101
A la fin de l'année 1944, le Reichsluftministerium (RLM) chercha à développer dans l'urgence un nouveau chasseur à réaction susceptible de remettre en cause la suprématie aérienne des Alliés au-dessus du Reich. Il s'agissait de développer un chasseur rapide et maniable, capable d'intercepter et de désorganiser les formations compactes de bombardiers qui opéraient quotidiennement sur l'Allemagne, afin de mettre un terme aux bombardements stratégiques en tapis qui minaient le potentiel industriel du pays.
Premier chasseur à réaction à voilure en flèche
Parmi les divers projets concurrents qui furent soumis au RLM figurait celui d'un chasseur doté d'une voilure en flèche à grande incidence, concept totalement novateur à l'époque... Baptisé P-1101, cet avion conçu par Messerschmitt devait être propulsé par un puissant réacteur Heinkel Hirth HeS 011 développant 1380 kg de poussée. Outre la voilure en flèche fortement inclinée vers l'arrière, l'originalité du concept tenait au fait que le réacteur, assez court et compact, était suspendu sous la cellule de la carlingue tout en étant intégré dans le fuselage. Il était alimenté par une prise d'air frontale ménagée à l'avant du nez et se terminait nettement en avant de la queue de l'appareil dont la poutre se prolongeait bien au-delà de la tuyère d'éjection pour supporter l'empennage. Cette disposition, inhabituelle chez Messerschmitt, offrait l'immense avantage de libérer totalement le dessous des ailes qui pouvait dès lors accueillir divers types de projectiles antiaériens de dernière génération. Le concept s'inspirait manifestement de l'avion expérimental He 178 développé dès 1939 par Heinkel pour mettre au point la turbine à réaction, à l'instar du concurrent direct du Me 1101, le Ta 183A Huckelbein développé par Focke Wulf. On retrouvera d'ailleurs la même disposition du réacteur suspendu dans les premiers prototypes de chasseurs à réaction soviétiques de l'après-guerre, tous étroitement dérivés du Me-1101 (Mig-9, Lavotchkine La-150, La-168, La-174 et La-15).
L'armement prévu pour le Me-1101 comprenait deux canons MK 108 de 30 mm installés dans le nez de l'appareil et des points d'emport destinés à accueillir des rampes de roquettes ou 4 missiles air-air Kramer X-4 filoguidés (deux sous chaque aile). Ces armes nouvelles, tout récemment mises au point, révolutionnaient complètement la tactique du combat aérien car elles étaient propulsées par des moteurs fusées qui leur conférait une vitesse fulgurante et une très grande portée, ce qui permettait de les décocher à une distance de sécurité. Désormais, il n'était plus nécessaire de s'approcher dangereusement des bombardiers pour les encadrer, les aligner dans le viseur et les abattre, au risque de se faire soi-même descendre par les chasseurs d'escorte durant le court laps de temps où il fallait conserver le même cap pour les mitrailler. Ce genre de mésaventure arriva à plusieurs pilotes néophytes de Messerschmitt Me 262, trop confiants dans la supériorité de leur machine ou trop occupés à ajuster leur tir, qui furent " cueillis " par l'escorte au moment même où ils cassaient leur vitesse pour aligner leur cible... L'attaque s'effectuerait dorénavant de loin, à distance respectable des armements de bord, de façon à soustraire le pilote et l'appareil au feu nourri et meurtrier des formations compactes de bombardiers (les fameux " box " de l'U.S.A.A.F.). La nouvelle doctrine d'engagement allemande prévoyait à l'avenir de harceler les vagues de bombardiers alliés tout au long de leur parcours sur l'Allemagne, en lançant successivement contre elles des meutes de chasseurs à réaction échelonnés sur leur chemin. Surgissant inopinément du ciel, les chasseurs attaqueraient simultanément le " box " mais sous différents angles d'attaque, de façon à semer la panique parmi les équipages, à disperser le feu des bombardiers, à désorganiser leur défense et à disloquer les formations... Après quelques passes rapides qui leur permettraient d'abattre plusieurs cibles successives, les chasseurs rompraient le combat aussi soudainement qu'ils étaient apparus pour dégager rapidement vers leur base, en utilisant leur vitesse pour distancer l'escorte, abandonnant la formation à une autre meute qui prendrait le relais un peu plus loin... En multipliant ainsi les raids éclairs tout au long de la route des bombardiers, la Luftwaffe espérait disloquer et décimer progressivement les formations lourdes de bombardiers stratégiques au fur et à mesure qu'elles s'enfonceraient au cœur de l'Allemagne…
Bien que le choix Reichsluftministerium se porta finalement sur le projet rival Focke-Wulf Ta 183, il fut décidé de construire le prototype du Me-1101 afin de tester les différentes possibilités offertes par son aile révolutionnaire. En lieu et place du HeS 011 initialement prévu, qui affichait d'importants retard de fabrication, l'unique exemplaire plus ou moins achevé du Me 1101 fut finalement équipé d'un turboréacteur Junkers Jumo 004B. Il fut découvert par l'U.S. Army en avril 1945 dans une usine secrète dont les Alliés ne soupçonnaient même pas l'existence. Cette usine souterraine comportait également une halle où les G.I.'s trouvèrent une série de cellules de Me-1101 inachevées et en cours de montage (voir cliché plus bas).
Transféré dans le plus grand secret aux USA dans le cadre de l'opération " Paperclip ", l'unique exemplaire complet du Messerschmitt Me-1101 fut étudié minutieusement par les spécialistes américains, puis complété afin d'être testé en vol. Rebaptisé " Bell X-5 " par les ingénieurs d'outre-Atlantique, il atteignit une vitesse de 870 km/h à 7000 m d'altitude et devint ainsi le premier jet à voilure en flèche à voler au monde… De son côté, la firme North American développa le fameux P-86 Sabre, un appareil étroitement inspiré du Me-1101 et que l'on peut considérer comme l'aboutissement final des plans du Me-1101. Par une ironie de l'histoire, il fit ses premières armes au combat dans le ciel de Corée, face à un autre appareil issu des projets du Reichsluftministerium (voir "Des jets allemands en Corée" ).
De leur côté, les Soviétiques, conscients de leur énorme retard en matière aéronautique, ne furent pas en reste dans la chasse aux armes miracles allemandes. Au cours des dernières semaines de la guerre, l'Armée rouge captura des plans de l'appareil et fit prisonnier des savants et des techniciens qui avaient participés au projet. Ils furent transférés de force en U.R.S.S. où ils furent contraints de collaborer à la conception des tout premiers jets soviétiques. De 1946 à 1948, sur ordre express de Staline, l'Union soviétique développa ainsi une série de prototypes qui étaient tous directement inspirés et dérivés du Messerschmitt Me-1101. Mais ceci est une autre histoire et nous renvoyons les internautes plus particulièrement intéressés par ce sujet à la sous-rubrique spécifique qui leur est consacrée (voir "Les dérivés du Me-1101" ).
Fiche technique :
Type: chasseur à voilure en flèche
Equipage: monoplace
Longueur: 8,98 m
Hauteur: 3,71 m
Envergure: 8,06 m
Poids à vide: inconnu
Propulsion : 1 réacteur Junkers Jumo 004B
Puissance: 890 kg de poussée
Rayon d'action: inconnu
Plafond: inconnu
Vitesse maximale : 860 km/h à 7 000 m d'altitude (Mach 0,81)
Armement: 2 canons MK108 de 30 mm 4 missiles Kramer X-4 (ou des rampes de roquettes)
HORTEN Ho XVIII B bombardier a long rayon d'action
Les frères Horten, encouragé par le soutien de Knemeyer lancèrent un projet de bombardier sous la désignation Ho-XVIII B-2. Cette aile volante avait une envergure de 42.80 mètres, une longueur de 19 mètres et une hauteur de 5.75 mètres. Le Ho-XVIII B-2 était propulsé par six turboréacteurs Junkers Jumo 109-004H de 1200 kgp chacun. Le Ho XVIII B-2 devait atteindre une vitesse de 990 km/h, un plafond de 16000 mètres. Le rayon d’action serait de 9000 kilomètres, grimpant jusqu'à 12000 kilomètres avec l'utilisation de réservoirs auxiliaires de carburant.
source : http://www.fortlitroz.ch/index.php?p=491
http://xplanes.free.fr/ar234/ar234-9.htm
Marsh Posté le 14-01-2007 à 19:43:05
Ques qui fais que lon est passionné voir juste intéresser par se sujet quest les armes secrètes de la seconde guerre mondial, plus particulièrement celle des nazi ?
Jen suis moi-même touché mais je voudrais avoir un avis extérieure ?
Marsh Posté le 14-01-2007 à 20:07:09
c'est leur conceptions revolutionaires qui me fascine ils avait un design et un aerodynamisme tres en avance sur leurs temp je suis admiratif devant ces avions
prenons deja rien que le ME 262 les allies ont mis des annees a egaler cet avion
Marsh Posté le 14-01-2007 à 21:21:38
addtc a écrit : Les alliés étaient assez ingénieux aussi. La bombe a ricochet, fallait quand même la trouver ! |
Clair, mais bon, fallait pas se louper au moment de larguer la bombe
Et puis, j'adore les details dans cette mission, genre le vol d'approche qui se fait de nuit entre 70 et 120 pieds d'altitude
Marsh Posté le 14-01-2007 à 21:33:06
Juju_Zero a écrit : Clair, mais bon, fallait pas se louper au moment de larguer la bombe Et puis, j'adore les details dans cette mission, genre le vol d'approche qui se fait de nuit entre 70 et 120 pieds d'altitude |
Je n'ai pas lu le sujet Wiki, mais le moyen qu'avaient trouvé les ingénieurs pour aider le pilote à contrôler la hauteur m'a toujours paru génial: du ventre de l'avion partaient deux faisceaux lumineux qui ne se rejoignaient au sol -ou à la surface du lac- qu'à l'altitude requise.
Marsh Posté le 14-01-2007 à 21:37:25
p47alto1 a écrit : Je n'ai pas lu le sujet Wiki, mais le moyen qu'avaient trouvé les ingénieurs pour aider le pilote à contrôler la hauteur m'a toujours paru génial: du ventre de l'avion partaient deux faisceaux lumineux qui ne se rejoignaient au sol -ou à la surface du lac- qu'à l'altitude requise. |
C'est ingenieux mais pas genial qd meme
Apres avoir inventé une bombe qui fonctionne comme ca, trouver ce "truc" tout con pour determiner la bonne altitude de l'avion etait qd meme pas un exploit
Marsh Posté le 14-01-2007 à 21:42:37
Arado AR E.555-1
Bombardier strategique stratosphérique
L'aile volante stratosphérique Arado Ar E-555
Dès 1943, la firme Arado basée à Landeshut (Silésie) mit sur pied une cellule de travail chargée d'étudier les différentes possibilités offertes par un avion en forme d'aile volante, un concept alors totalement innovateur et révolutionnaire. Le programme de recherche fut confié au Dr. W. Laute. Son équipe d'ingénieurs se mit aussitôt au travail et, à la mi-décembre 1943, une quinzaine de projets avaient déjà vu le jour sur le papier. Toutes les variantes étudiées étaient des ailes volantes, mais leur application couvrait une très large gamme de possibilités allant du chasseur-intercepteur au bombardier à long rayon d'action. Ces études restèrent toutefois lettres mortes car le groupe de travail se concentra bientôt sur un seul concept, celui d'un bombardier en forme d'aile volante.
L'impulsion fut donnée vers le milieu de 1944 par le Reichluftministerium (RLM), qui cherchait désespérément un moyen de mettre un terme aux incessants bombardements sur l'Allemagne et de rendre aux Alliés la monnaie de leur pièce. L'idée était de bombarder des cibles stratégiques civiles situées hors d'atteinte des bombardiers classiques allemands, de façon à frapper les esprits de stupeur et à saper le moral des Alliés. L'un des fantasmes nourris par Hitler et les dirigeants nazis était de parvenir à organiser des raids de représailles sur la côte est des Etats-Unis, sous la forme de frappes massives contre les principales mégapoles américaines. Dans leur esprit, un raid de bombardement majeur sur New-York, Washington, Boston ou Philadelphie créerait un immense choc psychologique dans le pays et ébranlerait la confiance des Alliés. En pratiquant une telle politique de terreur, les dirigeants nazis espéraient terrifier l'opinion publique à un degré tel que la population américaine exigerait la cessation immédiate des raids de bombardement sur le Reich….
Mais pour cela, il fallait impérativement disposer d'un bombardier stratégique à longue distance, capable de franchir les immensités de l'Atlantique Nord. Or, l'Allemagne n'en possédait pas ! La doctrine d'engagement de la Wehrmacht, basée sur la surprise, la mobilité et la vitesse, avait poussé l'Allemagne à négliger les bombardiers stratégiques lourds au profit d'appareils tactiques plus polyvalents. La Luftwaffe n'était équipée que de bombardiers moyens et de bombardiers en piqué, idéals pour appuyer les colonnes de Panzers et suivre le rythme trépidant de la " Blitzkrieg ", mais incapables de mener des raids à longue distance.
Lorsque le Reichluftministerium songea enfin à se doter d'un bombardier stratégique digne de ce nom, vers le milieu de l'année 1944, il s'adressa aussitôt à la firme Arado, car son concept d'aile volante paraissait très prometteur pour développer un tel appareil. Les exigences du RLM étaient toutefois presque irréalisables. Elles portaient sur un bombardier ultra-rapide à long rayon d'action, capable de franchir de très grandes distances et de surclasser les meilleurs chasseurs alliés de l'époque. L'appareil devait pouvoir transporter une charge utile de 4000 kg sur une distance d'environ 5000 km et disposer d'une autonomie et d'un rayon d'action suffisants pour traverser l'Atlantique nord, frapper des cibles sur la côte est des Etats-Unis et revenir...
Pour répondre à la demande du RLM, les ingénieurs de la firme Arado étudièrent le projet d'un bombardier à réaction subsonique en forme d'aile volante, baptisée Arado E 555/1. Les plans de l'appareil montrent que l'accent avait été mis sur une cellule profilée, dotée de caractéristiques aérodynamiques très élaborées et soigneusement étudiées, qui seule permettrait d'atteindre les performances exigées. L'appareil se présentait sous la forme d'une majestueuse aile en forme de W, avec une carlingue cylindrique presque totalement noyée dans la cellule. La poussée nécessaire à la propulsion du bombardier était assurée par 6 turboréacteurs BMW 109/003-A juxtaposés, installés sur le dos de l'aile volante, en arrière du centre de gravité du bombardier.
Le cockpit était intégré dans le nez profilé de l'appareil de façon à ne pas altérer ses performances aérodynamiques. Il était équipé d'une verrière très ajourée qui assurait un excellente visibilité tant vers le haut et le bas que latéralement. L'équipage, composé seulement de 3 hommes (pilote, co-pilote et bombardier), prenait place dans une cabine pressurisée, car l'appareil avait été conçu pour effectuer des vols de croisière à très haute altitude, entre 13'000 et 15'000 mètres. Voler si haut permettait en effet d'économiser le carburant et d'augmenter d'autant le rayon d'action étant donné la faible résistance de l'air dans la stratosphère.
L'envergure du bombardier et sa grande surface alaire assuraient à l'appareil une portance maximale, aussi bien à basse vitesse que dans l'atmosphère raréfiée de la stratosphère, tandis que son profil aérodynamique très élaboré lui permettrait de maintenir une vitesse de croisière de 715 km/h, avec des pointes jusqu'à 860 km/h si nécessaire. Malgré son poids relativement important (24 tonnes en charge au décollage), l'Arado Ar 555 était censé disposer d'une autonomie de 6400 km, ce qui lui conférait un rayon d'action de 3200 km. Ce dernier pouvait même être porté à 4800 km en utilisant des réservoirs d'appoints extérieurs. La charge utile emportée était de 4 tonnes. Pour ne pas nuire aux performances de pénétration du bombardier, toutes les bombes embarquées étaient regroupées dans une soute ventrale ménagée longitudinalement dans la partie inférieure de la cellule, formule qui sera reprise 60 ans plus tard par le bombardier stratégique B-2 américain… Les gouvernes de profondeur de l'appareil, destinées avant tout à contrôler le roulis et le tangage, comprenaient des volets et des élevons situés le long du bord de fuite de l'aile. Quant au contrôle en lacet, il était assuré par 2 dérives équipées de gouvernes de direction, installées symétriquement aux deux-tiers de l'aile, très en arrière du centre de gravité du bombardier.
Bien que la vitesse subsonique de l'appareil ait été calculée pour lui permettre de distancer d'éventuels intercepteurs, les concepteurs n'avaient pas pour autant négligé son armement défensif. Celui-ci comprenait 2 canons MK103 tirant vers l'avant, montés à la racine du bord d'attaque de l'aile, de part et d'autre du cockpit. Un jumelage de mitrailleuses MG 151/20S, monté dans une tourelle rotative dorsale pressurisée juste en arrière du cockpit, permettait d'assurer la défense vers le haut et latéralement. Quant à l'important angle mort situé à l'arrière du bombardier, il était protégé par deux mitrailleuses jumelées mobiles installées dans la queue de l'appareil, destinées à abattre d'éventuels poursuivants. Etant donné l'absence de visibilité vers l'arrière, ces mitrailleuses de queue étaient commandées directement depuis le cockpit, grâce à un épiscope de queue qui renvoyait à l'équipage une image de ce qui se passait dans le sillage de l'appareil. Le responsable de son engagement était l'officier bombardier, dont le siège, adossé à celui du pilote, était tourné dans le sens opposé à la marche du bombardier.
Malgré son caractère révolutionnaire et très prometteur, la fantastique aile volante à réaction élaborée par l'équipe du Dr. Laute ne prit jamais l'air car le programme de développement du bombardier stratégique Arado Ar E555/1 fut brutalement stoppé le 28 décembre 1944, en même temps que d'autres projets expérimentaux, sur ordre de la haute commission du Reichluftministerium. La raison de cet ordre surprenant a souvent été débattue, mais il semble que la pénurie de matières premières et la désorganisation quasi totale de la chaîne de production allemande aient décidé le RLM, dans un sursaut désespéré, à concentrer tous ses efforts sur la production d'appareils dont le programme était beaucoup plus avancés, notamment le Messerschmitt Me-262 et l'Arado Ar-234...
Par la mission qui lui avait été assignée et par le concept totalement révolutionnaire qui était à la base de son étude, l'Arado Ar 555 préfigure, avec cinquante ans d'avance, l'actuel bombardier stratégique furtif B-2 américain. A supposé que le projet ait été mené à terme, il n'est toutefois pas sûr que l'Arado Ar 555 ait répondu aux attentes des ingénieurs allemands, car la stabilité en vol d'une telle cellule en aile est extrêmement difficile à obtenir sans commandes de vol électroniques, comme l'a révélé le programme de développement avorté du XB35 américain au début des années 1950 et, plus récemment, la mise au point du B-2. Sa conception absolument révolutionnaire montre toutefois quelle formidable avance technologique les Allemands avaient acquise en matière aéronautique. A part le projet d'aile volante développé aux USA par Jack Northrop juste avant guerre, les seuls appareils qui puissent lui être comparés sont le chasseur Horten IX, développé à la même époque par la firme allemande Horten et le bombardier en aile volante EF 130 développé par Junkers.
Fiche technique :
Type: bombardier stratégique stratosphérique à très long rayon d'action
Concept: aile volante à réaction
Equipage: 3 hommes
Propulsion: 6 turboréacteurs BMW 109-003A placés en nacelles sur le dos de l'aile volante
Autonomie: 6400 km
Rayon d'action: 3400 km (4800 km avec réservoirs additionnels)
Altitude de croisière : 13000 à 15000m (stratosphère)
Vitesse maximale: 860 km/h
Vitesse de croisière: 715 km/h au niveau de la stratosphère
Armement défensif: 2 canons fixes MK 103 dans l'emplanture des ailes.2 mitrailleuses jumelées MG 151/20s dans une tourelle dorsale commandée électriquement par l'équipage
source : http://www.fortlitroz.ch/index.php?p=513
Marsh Posté le 14-01-2007 à 21:43:08
Juju_Zero a écrit : C'est ingenieux mais pas genial qd meme |
Ça n'engage que moi, mais je trouve ça génial de simplicité et de fiabilité dans un univers où tout peut tendre vers la complication technologique outrancière. Dans le même ordre d'idée -et un peu HS - la ficelle fixée sur le dessus du cône de nez des F14 n'était pas mal non plus.
Marsh Posté le 14-01-2007 à 21:46:29
p47alto1 a écrit : Ça n'engage que moi, mais je trouve ça génial de simplicité et de fiabilité dans un univers où tout peut tendre vers la complication technologique outrancière. Dans le même ordre d'idée -et un peu HS - la ficelle fixée sur le dessus du cône de nez des F14 n'était pas mal non plus. |
... qui sert a quoi ?
Marsh Posté le 14-01-2007 à 21:48:53
Juju_Zero a écrit : ... qui sert a quoi ? |
Ça servait d'horizon artificiel tête haute avant les systèmes HUD.
Marsh Posté le 14-01-2007 à 21:50:39
p47alto1 a écrit : Ça servait d'horizon artificiel tête haute avant les systèmes HUD. |
Arf
Mouais
Marsh Posté le 14-01-2007 à 21:54:51
ReplyMarsh Posté le 14-01-2007 à 22:26:51
p47alto1 a écrit : Ça servait d'horizon artificiel tête haute avant les systèmes HUD. |
bizarre ...
Sur les planeurs, le morceau de laine fixé de la même façon sert de "bille", c'est à dire l'instrument qui sert à contrôler la symétrie de l'avion (éviter le vol en crabe).
Pour le F14, je veux bien que ce soit la même utilisation, mais un HA ...
Sinon, pour mémoire, l'intérêt de garder un vol bien symétrique est qu'on génère moins de trainée (donc meilleure vitesse), et surtout qu'un décrochage dissymétrique se transforme en vrille ...
EDIT : et puis les HUD ça existait dès la mise au point du F14, non ?
Marsh Posté le 14-01-2007 à 22:39:17
F22Raptor a écrit : bizarre ... |
A te lire, je me dis que j'ai dû me planter, j'ai lu ça il y a près de 20 ans, hein
Le F14 a volé si je ne m'abuse au milieu des années 70, donc la conception devait dater de cinq à dix ans plus tôt. Les HUD sont apparus vers le millieu des années 80, si je ne me plante pas une fois de plus.
Marsh Posté le 15-01-2007 à 00:27:42
p47alto1 a écrit : A te lire, je me dis que j'ai dû me planter, j'ai lu ça il y a près de 20 ans, hein |
M'etonnerait, le Mirage 2000 en a tjrs eu un, de HUD, non ?
(alors qu'il date quasiment de la meme epoque, si je ne m'abuse)
Marsh Posté le 15-01-2007 à 08:43:20
Ça ressemble tout de même beaucoup à un collimateur. Quant à la quantité d'info utilisables sur cette surface, ou l'utilité de la concentrer sur si peu d'espace%u2026
Sinon, la conception du F14 a débuté en 66 pour un premier vol en 70 et le premier proto du Mirage 2000 a décollé en 78. Pas tout à fait la même génération.
Fin du HS
Marsh Posté le 15-01-2007 à 09:34:10
Pour le hud, tu avais déjà des HUB sur les premiers F4 ... c'est vieux, ce qui évolue, c'est l'information présente à l'affichage, sur certains avions comme le rafale, le hud remplace certains équipement de bord classique, alors que sur les anciens avion, le hud était un reticule de visé amélioré.
Marsh Posté le 15-01-2007 à 09:44:50
Roy*.* a écrit : Pour le hud, tu avais déjà des HUB sur les premiers F4 ... c'est vieux, ce qui évolue, c'est l'information présente à l'affichage, sur certains avions comme le rafale, le hud remplace certains équipement de bord classique, alors que sur les anciens avion, le hud était un reticule de visé amélioré. |
Nous sommes d'accord. Mais le collimateur lumineux est-il un système tête haute, alors que par définition le pilote doit le regarder pour bénéficier des infos concernant le système d'armes?
Marsh Posté le 16-01-2007 à 18:17:13
ReplyMarsh Posté le 17-01-2007 à 00:09:02
un fake grossier d'ailleurs
si on part comme ça, on aura bientot une photo du faucon milenium
Marsh Posté le 18-01-2007 à 10:06:03
La deuxième n'est pas un fake, on voit qu'il y a des roues en dessous, c'est juste une sorte de char de carnaval pour convention de trekkies.
Marsh Posté le 18-01-2007 à 10:18:53
c'est une replique du landspeeder de luke sur tatoine, rien a voir avec star trek
Marsh Posté le 18-01-2007 à 10:23:08
ReplyMarsh Posté le 18-01-2007 à 10:30:36
j'ai vu un bouquin sur le Horten IX V2 a la librairie mecanique a lyon hier, faudra que je retourne y jetter un coup d'oeil pour le feuilleter
Marsh Posté le 18-01-2007 à 20:13:41
erreur!!
cest une persone qui passe derriére la "soucoupe" et malencontreusement juste dans laxe par raport au photographe
l'illusion est du a un manque de perspective! quoique la persone que l'on voie sur la gauche de l'image donne une idée de la distance de la persone caché
Marsh Posté le 18-01-2007 à 20:16:07
En fait, ça n'est pas une soucoupe US, mais une soucoupe canadienne. L'avrocar. Le projet a été abandonné car ce véhicule était beaucoup trop instable. Mais aujourd'hui avec des ordinateurs pour faire les corrections, qui sait...
Marsh Posté le 13-01-2007 à 21:21:28
Reprise du message précédent :
Allez un pti projet britannique le [b]p100[/b]
http://forum.axishistory.com/files/p100_151.jpeg
http://forum.axishistory.com/files/buttler_397.jpeg
Et voila encore un plus étrange
http://forum.axishistory.com/files/5_301.jpg
Posté page précédente
Message édité par p47alto1 le 13-01-2007 à 21:22:20