l'unipolarité , la bipolarite et les traitements...

l'unipolarité , la bipolarite et les traitements... - Santé - Discussions

Marsh Posté le 13-10-2009 à 22:05:20    

Voilà tout est dans le titre
 
qui est concerné par ce genre de problèmes et comment vivez vous vos traitements au quotidien ( effets secondaire etc ) ?

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Marsh Posté le 13-10-2009 à 22:05:20   

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Marsh Posté le 16-10-2009 à 20:05:01    

Visiblement personne n'a de troubles du comportement sur hfr et ne prend ni dépamide ni téralithe etc ...

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Marsh Posté le 18-10-2009 à 01:19:22    

Si c'est toi qui en souffres, tu peux me raconter comment tu t'es rendu compte de ces troubles bipolaires ?
 
merci,
 
xib'

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Marsh Posté le 18-10-2009 à 11:45:43    

je passe par des hauts et des bas avec des phases de calme et d'autres d'exaltation passagere pour ensuite replonger dans la tristesse et ce d'un instant à l'autre
 
ca se manifeste chez moi par des changements d'humeur qui peuvent se produire plusieurs fois dans la meme journée en fonction des évenements ou en fonction de rien  
 
il y a aussi quelquefois des attitudes compulsives excessives ou un comportement difficilement controlable dans une action exagérée

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Marsh Posté le 22-10-2009 à 12:21:37    

mais comment tu t'es rendu compte que tu souffrais de cela et que ce n'était pas "une normalité un peu exagéré" ? Tu as consulté un medecin et c'est lui qui t'en as parlé ?
 
ps: je suis étudiant en médecine et je suis en train d'approfondir les différents syndromes psychologiques et psychosomatiques.

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Marsh Posté le 22-10-2009 à 13:44:43    

glandouille2, peux-tu développer un peu plus le sujet, les symptômes, etc.


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Mon image publique est étonnamment négative, est-ce à cause de mon hobbie qui consiste à gifler des orphelines ? | Je dois aller faire quelque chose de masculin, tel conquérir une nation ou uriner debout.  
Reply

Marsh Posté le 22-10-2009 à 19:34:41    

mon psychiatre m'a déclarée bipo suite à une thérapie il y a 2 ans mais me laissait parler sans rien me dire
jusque là j'etais tout le temps mal mais le généraliste me gavait de seroplex ce qui ne changeait rien à ma tristesse habituelle qui s'alternait de crises de fous rires incalmables
en fait je viens juste d'accepter d'aller au cmp pour une psychothérapie et dialoguer avec une psychologue qui m'a confirmé le diagnostique
avant je refusais ma maladie
quand aux effets secondaires des medocs genre téralithe, dépamide etc c'est augmentation de la prolactine, vertiges, insomnies, nausées...


Message édité par Profil supprimé le 22-10-2009 à 19:37:10
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Marsh Posté le 22-10-2009 à 19:41:34    

J'ai vécu, non pas avec une bipolaire, mais avec une maniacodépressive.
C'était pas facile tous les jours :/
 
/constructif :o

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Marsh Posté le 22-10-2009 à 19:43:19    

Mais c'est quoi être bipo ?


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Mon image publique est étonnamment négative, est-ce à cause de mon hobbie qui consiste à gifler des orphelines ? | Je dois aller faire quelque chose de masculin, tel conquérir une nation ou uriner debout.  
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Marsh Posté le 22-10-2009 à 19:43:29    

maniaco depressive est l'ancien terme utilisé pour la bipolarite
quels etaient ses symptomes ?

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Marsh Posté le 22-10-2009 à 19:43:29   

Reply

Marsh Posté le 22-10-2009 à 19:45:08    

oui voilà les symptômes ?


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Mon image publique est étonnamment négative, est-ce à cause de mon hobbie qui consiste à gifler des orphelines ? | Je dois aller faire quelque chose de masculin, tel conquérir une nation ou uriner debout.  
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Marsh Posté le 22-10-2009 à 19:47:48    

ben pour moi periodes d'euphorie ou je pense que tout me reussit qui s'alternent avec périodes de cafard et de depression
des fois tout ca cumulé dans la meme journee. C'est des changements d'etat d'ame meme en essayant de se raisonner c'est dur
et j'ai des actes exageres genre envoyer 100sms d'affilée

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Message édité par Profil supprimé le 22-10-2009 à 19:48:16
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Marsh Posté le 22-10-2009 à 19:49:34    


 
Euphorie, dépression, stabilité, euphorie, dépression, stabilité... Un coup c'était le plus beau jour de sa vie, rien n'avait jamais été aussi beau qu'aujourd'hui, elle appelait tout le monde pour les remercier d'être aussi gentils et de l'avoir tellement aidée, un coup elle était recroquevillée en larmes dans la salle de bain. Maniacodépressive, quoi :spamafote:

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Marsh Posté le 22-10-2009 à 19:51:11    

traitee ca va mieux  
mais la difficulté reside dans le fait de trouver un traitement qui convient sans nausées, vertiges etc

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Marsh Posté le 22-10-2009 à 19:51:15    

 

Ou avaler 3 trangsènes, appeler quelqu'un au téléphone pendant une heure, et rappeler le lendemain pour dire exactement la même chose, car on ne se souvient absolument pas de l'avoir fait la veille :o


Message édité par Mona Soyoc le 22-10-2009 à 19:51:38
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Marsh Posté le 22-10-2009 à 19:53:59    

ouh la c'est chaud là

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Marsh Posté le 22-10-2009 à 19:56:30    

Ouais. Enfin j'ai vécu avec elle pendant pas tout à fait 6 ans, je l'ai quittée en 1994, donc bon...

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Marsh Posté le 22-10-2009 à 19:57:00    

mais elle ne se traitait pas ??

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Marsh Posté le 22-10-2009 à 19:58:23    

Elle ne savait pas à l'époque qu'elle était malade, et moi non plus. Je croyais juste qu'elle était chiante et qu'elle avait un caractère à la con. Elle le sait depuis 4 ans environ. Elle à 40 ans passés :spamafote:

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Marsh Posté le 22-10-2009 à 19:59:16    

elle doit aller mieux avec les medocs  

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Marsh Posté le 22-10-2009 à 20:03:26    

xibos a écrit :

mais comment tu t'es rendu compte que tu souffrais de cela et que ce n'était pas "une normalité un peu exagéré" ? Tu as consulté un medecin et c'est lui qui t'en as parlé ?
 
ps: je suis étudiant en médecine et je suis en train d'approfondir les différents syndromes psychologiques et psychosomatiques.


 
 
c'est souvent l'entourage proche qui réagit malheureusement. Le malade s'en rend rarement pour ne pas dire jamais, compte lui même. J'ai vécu cela avec ma mère, aujourd'hui elle a un traitement à vie et est suivie par son psychiatre pour son traitement médicamenteux (antidep+ régulateur d'humeur)


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Marsh Posté le 22-10-2009 à 20:07:32    

voilà j'aimerais qu'on parle des traitements  
en existe t il des récents qui n'ont pas trop d'effets secondaires genre montee de prolactine, nausées, vertiges,insomnies, prise de poids, problèmes rénaux et hypothyroidie etc...

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Marsh Posté le 22-10-2009 à 20:40:05    


 
J'en sais trop rien. Mais je lui souhaite d'aller mieux, oui. M'enfin, le coup des trangsènes, c'était il y a 3 ans environ... Et puis elle picole un peu aussi, des fois. 'fin bref, j'espère que ça ira pour toi ;)
 
Moi, ça fait partie de mon passé.

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Marsh Posté le 23-10-2009 à 16:11:11    


 
 
je ne sais plus ce qu'elle prend, toujours est il qu'il n'y a qu'un psychiatre dont c'est le métier de te parler des différents traitement médicamenteux et de leurs effets secondaires. Ca a l'air très précis car au bout de 2 ans, elle n'avait toujours pas trouvé ce qu'il fallait pile poile pour ma mère. Ça la crevait trop


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Marsh Posté le 23-10-2009 à 18:13:42    

et finalement comment s'en est sorti ta mère ?

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Marsh Posté le 23-10-2009 à 19:28:29    

Le sujet se construit c'est bien. Merci aux différents intervenants.
 
Il ne fait pas oublier comme l'a dit Mona Soyoc que les phases de manie ( ou d'hypomanie) et de dépression sont séparées par des périodes de stabilité rendant la maladie plus difficile à diagnostiquer.
La personne peut être normale pendant 2 ou 3 mois et puis suite à un événement quelconque faire une dépression d'une semaine, suivi de 2 jours d'euphorie...et puis ensuite quelques mois normaux.

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Marsh Posté le 23-10-2009 à 20:48:33    

xibos tu veux devenir generaliste ou specialiste ?
 
moi je suis calme là en ce moment  
en début de semaine j'ai pleuré chez le psy parce que j'etais malade, fatiguée, avec des vertiges à tomber parterre à cause du lithium
là je l'ai arrete et je suis sous zoloft uniquement
j'attends de voir le psy jeudi prochain pour decider d'un nouveau traitement plus adapte
il semble que mon corps rejette les thymo et les neuros...  
sinon pour mes symptomes je dirai plutot que je suis toujours sur la lame du rasoir avec une fragilite et des pleurs à la contrariete
ca m'est arrivé de piquer des crises de larmes et de rage avec insultes quand je travaillais
je ne suis parcontre jamais exaltée dans les up mais disons qu'il m'arrive d'etre joyeuse, de me marrer et de sombrer dans le cafard et de tirer la gueule une heure apres
là je ne travaille pas donc je n'ai pas à affronter les collègues et les crises tres feminines du monde du travail  :p  
mais si je ne suis pas stabilisee dans ma vie affective, je pars dans tous les sens et je me redeglingue

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Message édité par Profil supprimé le 23-10-2009 à 21:00:12
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Marsh Posté le 26-10-2009 à 19:22:35    


 
Spécialiste, mais j'hésite encore quelle spé (j'ai 3 ans pour me décider encore).
 
Trouver un bon traitement est très très difficile, car palier les hauts sans tomber trop bas (et inversement) c'est super dur...
 
Normalement la bipolarité apparait après un événement tragique ou très marquant, c'est ce qui s'est passé avec toi Glandouille ?

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Marsh Posté le 26-10-2009 à 23:09:43    

beaucoup d'événements marquants... en fait je pleure facilement
ca dépend du contexte dans lequel je me trouve je peux etre vite borderline

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Marsh Posté le 27-10-2009 à 12:50:27    

Ce que je voulais dire, c'est que généralement on ne nait pas avec la bipolarité. Il y a un événement tragique ( perte d'un proche, rupture qui se passe très mal...) qui déclenche un processus de défense et l'apparition d'un syndrome bipolaire.
Est-ce que cela a été ton cas ou tu ne te rappelles plus depuis quand tu l'as ?
 
xibos.

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Marsh Posté le 28-10-2009 à 20:41:53    

oui comme je te l'ai dit événements tragiques oui...
petite je souffrais et en fin d'ado ca a empire pour se calmer par la suite quand je me suis mise en couple et fait un enfant
puis c'est reparti de plus belle ...

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Marsh Posté le 29-10-2009 à 09:50:05    

Tu fais des crises d'angoisse des fois ou pas ?

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Marsh Posté le 29-10-2009 à 11:52:15    

oui ca m'arrive quelquefois et puis j'en ai assez là des psychiatres, des psychologues j'ai l'impression d'empirer...
sans compter que je n'ai plus aucun régulateur d'humeur vu que je supporte rien

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Marsh Posté le 29-10-2009 à 12:08:02    


 
 
elle ne s'en est pas sortie puisque traitement à vie. Ses dosages changeant sans arrêt pour trouver son bon équilibre n'ont pas vraiment réussi à la sortie de se torpeur. Ce qui l'a aidée par contre, c'est l'arrivée de notre fils cet été, j'ai retrouvé ma maman d'avant ^^
 
edit : en revanche, elle m'a dit avant la naissance avoir vécu un traumatisme durant son internement "forcé" et qu'elle m'en voulait car ça lui avait cassé quelque chose en elle. Elle ne voulait pas entendre parler de psychologue mais je lui ai dit que c'était la seule façon de passer au dessus et de peut être réparer ce traumatisme. Tout cela en lui expliquant qui si elle n'était pas bien avec elle même, elle ne le serait surement pas avec son futur petits fils. Ca lui a peut être mis une claque mais aujourd'hui j'ai vraiment l'impression qu'elle revit (elle va voir régulièrement un psychologue même si elle ne voit pas ce que ça lui fait à part faire fondre son portemonnaie :o)


Message édité par DrWatson le 29-10-2009 à 12:10:49

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Reply

Marsh Posté le 29-10-2009 à 12:09:54    

Je suis le spécialiste de la question :o  
Je connais bien la maladie et le comportement des malades puisque ma compagne est bipolaire et l'a toujours été;  déjà bébé elle avait déjà des problemes. D'ailleurs sa mère est comme elle, il y a donc semble t-il des aspects héréditaires. Le traitement est à vie. Elle n'a pas d'effet secondaire par rapport à son traitement hormis : baisse de libido, perte de cheveux, de plus elle parle comme une personne saoule après la prise de son traitement, sinon pas de nausée ni de vomissement.  
- Son traitement : Aotal, Seresta, Mepronizine, Spasmine Depakote, Atarax...
Voilà si j'ai pu t'aider... :jap:


Message édité par dexterit le 29-10-2009 à 12:39:14
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Marsh Posté le 29-10-2009 à 12:14:13    

xibos a écrit :


 
Spécialiste, mais j'hésite encore quelle spé (j'ai 3 ans pour me décider encore).
 
Trouver un bon traitement est très très difficile, car palier les hauts sans tomber trop bas (et inversement) c'est super dur...
 
Normalement la bipolarité apparait après un événement tragique ou très marquant, c'est ce qui s'est passé avec toi Glandouille ?


 
 
si tu veux l'exemple de ma mère : elle a toujours été depressive et a toujours eu des antidepresseurs (pas forcément des trucs balaises mais bon elle en avait quand même), peu après son diagnostique de bipolarité j'ai appris qu'elle avait également eu des régulateurs d'humeur qu'elle avait cru pouvoir se passer.
 
Donc elle ne prenait plus rien, ajouté à cela le fait que nous avons perdu notre père peu de temps avant à 60 ans, que sa fille (ma soeur donc), a décidé de partir vivre à Madagascar avec les deux petits enfants de ma mère, tout cela a mené à ce dont traite le sujet du topic.


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.:: Feed-Back  ::. Choisis un travail que tu aimes, et tu n'auras pas à travailler un seul jour de ta vie.
Reply

Marsh Posté le 29-10-2009 à 19:34:31    

[quotemsg=20365800,35,516448]Je suis le spécialiste de la question :o  
Je connais bien la maladie et le comportement des malades puisque ma compagne est bipolaire et l'a toujours été;  déjà bébé elle avait déjà des problemes. D'ailleurs sa mère est comme elle, il y a donc semble t-il des aspects héréditaires. Le traitement est à vie. Elle n'a pas d'effet secondaire par rapport à son traitement hormis : baisse de libido, perte de cheveux, de plus elle parle comme une personne saoule après la prise de son traitement, sinon pas de nausée ni de vomissement.  
- Son traitement : Aotal, Seresta, Mepronizine, Spasmine Depakote, Atarax...
Voilà si j'ai pu t'aider... :jap:[/quot
 
 
le psy veut me redonner abilify traitement qui me fait vomir et me rend insomniaque...
la psychologue du cmp m'a parle d'un médicament : trileptal qui semble n'avoir que trés peu d'effets secondaires
le probleme c'est que le psychiatre m'a dit je n'ai jamais entendu parler de ca et pour qui se prend elle cette psychologue pour parler de traitement? elle n'a pas fait 11 ans d'études celles là... charmant  [:groody]

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Marsh Posté le 29-10-2009 à 22:25:23    

xibos a écrit :

Le sujet se construit c'est bien. Merci aux différents intervenants.
 
Il ne fait pas oublier comme l'a dit Mona Soyoc que les phases de manie ( ou d'hypomanie) et de dépression sont séparées par des périodes de stabilité rendant la maladie plus difficile à diagnostiquer.
La personne peut être normale pendant 2 ou 3 mois et puis suite à un événement quelconque faire une dépression d'une semaine, suivi de 2 jours d'euphorie...et puis ensuite quelques mois normaux.


 
En ce qui concerne la personne concernée, ce n'est pas en terme de mois, mais en terme de jours que ça se compte. Bien pendant 2 jours, dépressive pendant 3 jours, stable pendant 2 jours...
 
Ca doit être très dur à gérer :/

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Marsh Posté le 30-10-2009 à 10:01:29    

oui c'est tres dur à gerer et je dois dire que ca s'est emplifié cette année depuis que je cherche du travail et que je ressens vraiment la crise (professionnelle) comme jamais auparavant !

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Marsh Posté le 31-10-2009 à 18:25:09    

Je compatis à ta douleur glandouille2 car j'ai connu aussi des années de galère en psychiatrie.
Tu disais plus-haut que ta santé passait par une stabilité affective.
Les dépendances psycho-affectives, tu connais?
Elles sont souvent à l'origine du mal et assez difficile à traiter puisque moins reconnue/étudiée par la médecine allopathique que les dépendances alcooliques, toxicomanie etc...
n'en déplaise à certains, n'oublie pas que beaucoup trop de médecins gén ou spéc sont d'avantage  gestionnaires garants du profit des  labos pharmaceutiques parce qu'ils ont été formaté ainsi pendant leurs études et stages.
L'avenir de la médecine passera par des étudiants qui commenceront par devenir Biologistes ou bio-chimistes afin de mieux maitriser l'art de la médecine (Comme ce fut le cas depuis des siècles)
Je tiens ce discours aujourd'hui car j'ai été traité pendant des années en fonction de symptômes futiles et non pas en fonction de ma nature propre, de mes gènes, de mon enfance, de celle de mes parents... etc...
Bien sûr, la psychiatrie sert à analyser ce que je dis plus-haut mais le fait-elle sans médications?
Combien de psychiatres disent qu'une bonne thérapie peut prendre des années, or ils nous prescrivent dès les premières séances tel ou tel médocs.
Ne penses-tu pas qu'il devraient être simplement observateur de nos vies, et surtout prendre le temps avant de prescrire, nous donner des conseils nous aider à grandir ?  
 
 

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Marsh Posté le    

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