Etes vous hypocondriaque ? - Santé - Discussions
Marsh Posté le 24-06-2004 à 14:19:53
pour toutes ces explications car j'y suis (un peu ) sujet
Marsh Posté le 24-06-2004 à 14:25:38
ouais moi je suis un putain d'hypocondriaque. Mais y'a pire que moi
Marsh Posté le 24-06-2004 à 14:27:19
Oui.
Marsh Posté le 24-06-2004 à 14:29:21
non(je ne le suis pas)mais j'en connais
Marsh Posté le 24-06-2004 à 14:31:36
ReplyMarsh Posté le 24-06-2004 à 14:33:52
Marsh Posté le 24-06-2004 à 14:38:09
Citation : 1) L'anxiété causée par l'interprétation des sensations corporelles peut amener l'apparition de symptômes dus à l'activation du système nerveux autonome (par ex. transpiration, palpitations, douleurs musculaires, douleur à la poitrine, étourdissement, etc.) qui sont alors interprétés comme des signes supplémentaires de maladie. Cette dynamique peut prendre l'ampleur d'une attaque de panique (voir Questions fréquentes) dont souffre une bonne proportion des gens vivant d'hypocondrie. |
y'a qlq temps quand j'allais dormir j'avais tout à fait ça, mais j'ai géré mentalement moi meme et ça va bcp bcp mieux, y'a pas de mystère, mental et physique sont liés
Marsh Posté le 24-06-2004 à 14:39:27
ReplyMarsh Posté le 26-06-2004 à 21:18:13
titesouris a écrit : un peu: |
a peine
Marsh Posté le 28-06-2004 à 15:13:18
jeunejedi a écrit : g t sur que tu posterais ici |
Parce que tu sais que je suis secrètement malade, hein, c'est ça, j'en suis sûr!
Marsh Posté le 28-06-2004 à 15:18:20
Non je suis hypercondriaque. Je ne nie tout, même à l'article de la mort. Le genre de type qui mâchonne en silence sa douzaine de petits pains de son (), en faisant passer une colite néphrétique sa race, pour une simple constipation
Marsh Posté le 28-06-2004 à 16:04:03
Je suis très rarement malade...
Par exemple, j'ai vécu en Afrique pdt 4 ans, jamais une tourista ni de palu, et pourtant, j'ai bouffé de vraies saloperies, je me suis fait dévorer par les moustiques, j'estime avoir bcp de chance
Le seul truc vraiment méchant que j'ai eu, c'est une saloperie que je croyais être de l'anorexie, alors que c'était une déformation génétique de l'oesophage...
C'est de l'histoire ancienne maintenant, je me suis fait opérer et tout va pour le mieux
Maintenant, pour répondre à la question, ben curieusement, j'ai très souvent peur de tomber malade
Marsh Posté le 16-09-2005 à 15:45:42
Bonjour à tous,je suis en train de faire une étude sur l'hypocondrie. Connaissez-vous des sites internets ou encore des bouquins concernant cette maladie. Car j'ai fait mes recherches et j'ai trouvé pas grande chose.
merci de me répondre.
Marsh Posté le 16-09-2005 à 16:07:24
non je suis pas hypchondriaque
pourquoi tu dis ca ? j'ai l'air malade ?
Marsh Posté le 16-09-2005 à 16:19:11
Citation : |
Sinon moi pas du tout, plutôt tendance à minimiser ...
Marsh Posté le 16-09-2005 à 16:21:59
Oui je suis (un tout petit peu) hypocondriaque, mais surtout, je l'ai été BCP PLUS avant.
Maintenant, c'est des "tendances" à l'hypocondrie, mais dès que je les sens venir, je les combat de suite et elles disparaissent.
Marsh Posté le 16-09-2005 à 20:48:34
je l'ai été beaucoup, je me suis tellement obligée à ne plus l'être, qu'il m'est deja arrivé de trop attendre pour faire soigner quelque chose...
maintenant à chaque fois je me dis "non c'est dans ta tête, ce n'est rien en fait, ca va passer...."
Marsh Posté le 17-09-2005 à 03:01:33
Justement, je le suis depuis pas mal d'années et ça m'a sauvé la vie. --> mélanome atypique retiré assez tôt.
Sans ça, ma tendance à faire traîner les choses jusqu'au dernier moment aurait eu raison de moi.
Par contre ça me pourrit la vie bien souvent. Je me créé des scénarios et il s'ensuit parfois d'une dépression. D'une façon générale je suis assez hygiéniste, mais je n'ai pas tendance à l'excès. Je me lave toujours les mains au restaurant avant de manger (en évitant d'ouvrir les portes par la poignée) et aussi en rentrant le soir. J'estime que c'est le minimum.
Marsh Posté le 17-09-2005 à 13:52:30
Alfons' a écrit : D'une façon générale je suis assez hygiéniste, mais je n'ai pas tendance à l'excès. Je me lave toujours les mains au restaurant avant de manger (en évitant d'ouvrir les portes par la poignée) |
T'y vas au coup de pied ou d'épaule ?
Marsh Posté le 09-10-2014 à 18:03:49
Dommage que ce topic soit inactif, c'est un beau sujet
Marsh Posté le 23-06-2004 à 01:36:03
Vous et l'hypocondie.
L'hypocondrie est une sévère anxiété par rapport à la santé où:
- des sensations, symptômes et variations corporels sont perçus et interprétés, de façon erronée, comme dangereux ou comme indiquant la présence d'une maladie; une maladie particulière est crue plus probable qu'elle ne l'est.
Les connaissances et les expériences passées de maladie entraînent la formation de croyances concernant les symptômes, les maladies et la santé. Certaines croyances rendent plus susceptibles de vivre de l'anxiété par rapport à la santé. Ces croyances problématiques peuvent être une source constante d'anxiété ou être activées par certains événements. Les expériences de la jeune enfance particulièrement ainsi que des événements survenant dans le cercle social de la personne et dans les média contribuent à la formation des croyances. Voici des exemples de croyances problématiques: "Des changements dans le corps sont habituellement le signe d'une maladie sérieuse parce que chaque symptôme doit avoir une cause physique identifiable"; "Si on ne consulte pas aussitôt que l'on remarque quelque chose d'inhabituel après il va être trop tard" ou encore "Si l'on n'est pas vigilant pour observer les symptômes, il peut être trop tard quand on les remarquera". Les croyances peuvent aussi être plus personnelles, par exemple: "Il y a des troubles cardiaques dans ma famille." Une fois qu'un personne a interprété (à tort) un symptôme ou une information comme étant l'indice qu'elle doit avoir une maladie, elle a tendance à porter une attention sélective aux informations qui semblent confirmer sa croyance et à ignorer les informations qui indiqueraient un bon état de santé. De plus, à cause de la vigilance amenée par l'anxiété, d'autres sensations corporelles alimentant l'inquiétude peuvent être observées.
Plusieurs facteurs peuvent contribuer à maintenir l'inquiétude:
1) L'anxiété causée par l'interprétation des sensations corporelles peut amener l'apparition de symptômes dus à l'activation du système nerveux autonome (par ex. transpiration, palpitations, douleurs musculaires, douleur à la poitrine, étourdissement, etc.) qui sont alors interprétés comme des signes supplémentaires de maladie. Cette dynamique peut prendre l'ampleur d'une attaque de panique (voir Questions fréquentes) dont souffre une bonne proportion des gens vivant d'hypocondrie.
2) L'attention se porte sur des sensations physiques normales ou des aspects de l'apparence ou des fonctions corporelles jusqu'alors inaperçus et qui sont perçus comme nouveaux et anormaux. Par exemple, quelqu'un remarque une difficulté à avaler la nourriture sèche et interprète cela comme un signe de cancer de la gorge. Le fait de porter l'attention sur l'action d'avaler la rend plus difficile et inconfortable. L'expérience de la douleur est aussi amplifiée par le fait d'y porter son attention.
3) Des comportements qui ont pour but de soulager l'inconfort ou prévenir la maladie contribuent à maintenir la croyance, par exemples: "Si je n'avais pas utiliser ma pompe, j'aurais suffoquer et serais décédée"; "Je ne fais jamais d'exercice car ça pourrait me tuer". Des comportements comme l'auscultation pour vérifier la présence une anormalité ou d'une douleur ou la recherche d'une réassurance soulagent temporairement l'anxiété. Mais, à plus long terme, comme dans le cas de l'obsession-compulsion, ils contribuent à maintenir l'anxiété, car ils maintiennent l'attention sur les peurs et empêchent l'habituation à l'anxiété que provoquent les symptômes ou l'idée de la maladie. Ces comportements peuvent aussi avoir des impacts directs sur la santé (qui, bien sûr, alimentent la conviction d'être malade). Par exemple, l'insistance auprès de nombreux médecins peut amener à des interventions (par ex. médications, chirurgie) qui confirment les craintes de la personne et contribuent à amplifier les symptômes auxquels vont s'ajouter des symptômes secondaires. D'autres exemples sont l'affaiblissement qui peut résulter de l'évitement de l'exercice et la douleur amenée par le fait d'ausculter régulièrement certaines parties du corps.
---------------
Soit A un succès dans la vie. Alors A = x + y + z, où x = travailler, y = s'amuser, z = se taire.