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MC Solaar envoi un message aux réseaux Peer to Peer !  
Pour la promotion de son nouvel album, MC Solaar récompense ses abonnés Opendisc et envoi un message aux réseaux Peer to Peer !
 
Grâce à Opendisc, MC Solaar reprend contact avec plus de 100 000 consommateurs de son précédent album « Cinquième As » abonnés à son Opendisc et leur offre l?écoute en exclusivité et en avant-première du single « La vie est belle ».
 
« Ajouter de la valeur aux précédents supports de MC Solaar, et créer le dialogue avec ses consommateurs, nous permet aujourd?hui de récompenser ceux qui l'ont acheté chez leur disquaire en leur offrant l'exclusivité de ce nouveau single deux mois avant sa sortie et avant toute diffusion en radio. Nous leur prouvons ainsi qu'ils sont entrés dans le cercle des privilégiés, qu'ils ne sont plus des anonymes pour leur artiste. » explique Guillaume Doret, fondateur de la société Opendisc.
 

Parallèlement, Opendisc diffuse une version alternative de ce single pour les utilisateurs des réseaux Peer to Peer ; MC Solaar leur annonce la sortie de son prochain album le 1er décembre 2003.
ECOUTEZ : http://www.opendisc.info/101203

 
« Nous avons conseillé à MC Solaar et son équipe d?utiliser les réseaux positivement en offrant aux utilisateurs un vrai cadeau promotionnel tout en luttant contre la piraterie » ajoute Guillaume Doret.
 
 
Opendisc est une société de « dialogue marketing ».
 
Depuis 2001, les solutions Opendisc permettent aux maisons de disques de faire naître et de maintenir un dialogue avec les consommateurs de leurs produits.  
 
L'acheteur d'un CD est récompensé en pouvant se connecter à un site internet privatif où il bénéficie d?exclusivités (chansons, vidéos inédites...). Il peut également participer à des concours ou à des événements particuliers avec l'artiste.  
L'abonné s'étant identifié, l'artiste peut initier une relation intime et plus riche avec son public. Les maisons de disques ont à leur disposition un outil pour connaître précisément et en temps réel le profil de leur public, adapter leur marketing et créer un dialogue personnalisé avec leurs consommateurs.  
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voilà voilà
bientôt les artiste vont faire 2 versions pour chaque nouvel  
album, un pour la vente un autre pour le p2p...héhé

bonne initiative!!

moué, mais c une goute do

hein?

c'est dans le style de ce qu'avait fait madonna avec son "what the fuck..."

 
 
héhé koa, les gens sur p2p auront les 2 versions et les autres qu'une seule faut pas se voiler la face, mais bon, c'est encore le meme topic qui tourne en rond    
 

c'est un troll    
pirater un album de McSOLAAR   kelle idée

Je pense aussi,deja qu'on prend un risque en utilisant le peer to peer autant que ca en vaille la peine :-)

regarder la TV quelle idée !

je ne sais pas a qui s'adresse le "c'est un troll etc." mais je précise que je n'écoute pas MC solaar (ni aucun autre "groupe" de variété française...) J'ai juste posté car je m'interrsse au marketing et a son évolution avec le net, et que je trouve marrant qu'un mec comme mr sollaar vienne se plaindre en se comparant a un mec qui arrive plus payer ses factures, ou alors il se prend pour le robin des bois du monde de la musique (et là ça devient marrant...)
voilà.

allez allez on en croit po un mot,on s est tres ben ke tu t ecoute du Yvette Horner en boucle
on nous la fait pas nous

MC Solaar l'ancien rappeur le pauvre  il est tombé bien bas (au même titre que Gynéco ou Didier)
 
Un rappeur ne devrait pas vieillir ca lui réussit pas

un rappeur ne devrait carémement po existé vu la mairde kil font

Pas encore dans les bacs mais déjà en ligne, le nouvel album de Mc Solaar n'échappe pas au phénomène du piratage. Pourtant, la production avait pris toutes les précautions pour éviter le pire...
 
Raté. Le nouvel album de Mc Solaar, Mach 6, est déjà disponible sur les réseaux d'échange de fichiers peer-to-peer. L'expérience pilote visant à protéger le disque des fuites internes, responsables du piratage en amont, est donc un échec. Ce que reconnaît Eric Daugan, directeur des nouveaux médias chez Warner Music France : "C'est un semi-échec car l'album se retrouve effectivement sur la Toile mais seulement quelques jours avant sa sortie dans les bacs." Selon le site spécialisé dans la sécurité K-Otik, l'album circule sur les réseaux d'échanges depuis le 30 octobre 2003, après avoir été échangé sur les réseaux privés (IRC, FTP, etc.). Un constat que met en doute Eric Daugan. "C'est peut-être une version analogique de La Vie est belle capturée de la radio avant d'être compressée en MP3 qui a été mise en ligne, mais pas l'album entier. Je vous assure que j'ai pris soin de vérifier avant la conférence de presse [pour le lancement du CD-Rom promotionnel, voir édition du 24 novembre 2003, Ndlr] et je n'avais rien repéré."  
 
Une fuite en amont ?  
 
Quoi qu'il en soit, l'album se retrouve en ligne sous la forme d'un fichier compressé de quelque 77 Mo, comprenant tous les morceaux au format MP3. Eric Daugan minimise cependant l'impact du délit. D'abord parce que la propagation du fichier pirate est encore limitée par la difficulté à le trouver et à le télécharger. De plus, "on ignore encore s'il s'agit de la version finale", précise Eric Daugan, qui avoue ne pas encore avoir réussi à télécharger le fichier incriminé. Enfin, Warner Music France ne désespère pas de retrouver la source du piratage même si "les fuites sont potentiellement tellement nombreuses qu'il est difficile d'en connaître l'origine". Il est en effet quasiment certain que celle-ci vient d'un master (une version finale) non sécurisé. "Quelques-uns ont circulé", avoue Eric Daugan. Nombre de titres ont été estampillés d'un watermark, c'est-à-dire signés numériquement et de façon invisible pour l'utilisateur. En vérifiant le marquage, la maison de disques identifiera immédiatement le master impliqué. En revanche, face à une copie non marquée ou nettoyée de la signature, la source sera très difficile à identifier.  
 
"Cela doit nous servir de leçon", estime le directeur, "la solution contre le piratage interne est notamment de limiter la création à un seul et unique master." Pour l'heure, si Warner Music n'envisage pas de poursuites, Eric Daugan n'en blâme pas moins l'auteur du forfait. "Plus que les internautes qui téléchargent, c'est la source qui est fautive. Si nous en repérons l'origine par l'adresse IP, nous nous contenterons d'envoyer un e-mail de rappel." Pour le moment, la major préfère jouer, en France, la carte de l'éducation. Mais la politique de répression, mise en pratique aux Etats-Unis, n'est pas à exclure dans un avenir plus ou moins proche. Une stratégie qui dépendra en partie de la future loi sur les droits numériques (voir édition du 13 novembre 2003).
 
Christophe Lagane
 
http://www.vnunet.fr/actu/article.htm?numero=11640