Tolonque, mon "univers" heroic-fantasy / Première nouvelle postée !

Tolonque, mon "univers" heroic-fantasy / Première nouvelle postée ! - Arts & Lecture - Discussions

Marsh Posté le 06-06-2006 à 19:50:41    

Cela fait maintenant maintes longues années que le projet d'écrire un livre d'Heroic-fantasy (lol, pour changer) m'est venu en tête, et, à force d'essais assez infructueux, je me suis retrouvé avec un univers complet, que j'ai nommé Tolonque.
 
Le but de ce topic est de vous faire partager les nombreuses histoires de Tolonque, que je posterais sous forme de nouvelles, et cela dans l'optique de créer un contexte dense et cohérent autour de mon dernier projet de livre, intitulé : "Matkarn ou le quatrième prophète".
 
Mais avant cela, je me dois de vous présenter l'univers de Tolonque.
 
*Carte du monde prête, il faut juste que je squatte le scanner d'un copain. Avec un peu de chance, vous l'aurez demain aprèm*
 
 
Donc, là où Tolonque se démarque quelque peu de l'HF traditionnelle, c'est que vous pouvez dire au revoir à vos chers amis Elfes, Nains, Orcs, Trolls... Bon, je conserve les humains, et certaines créatures plus rares, mais la plupart sont issues de mon imagination ^^
 
 
Voici la liste des races dites "Mortelles", par opposition aux Dieux et aux animaux.
 
Les quatre races fondatrices : ces quatre races sont considérées comme les plus vieilles de Tolonque. A chacune d'elle est associé un des quatre éléments fondateurs.
 
Humains (feu). Les Humains sont la race la plus ancienne, et la plus nombreuse de Tolonque. Ils ont colonisé toute la partie méridionale de l'île, et y ont fondé divers pays (Nouvel Empire / Confédération Gaelline / Royaumes de Nautayelle et d'Ifinn), mais on en trouve aussi de nombreux qui mènent une vie nomade dans les Grandes Plaines, ou qui se sont tournés vers le mal.
 
Merens (eau). Les Merens sont certainement la race la plus mystérieuse de Tolonque. Ont dit qu'ils aiment prendre la forme de géants lorsqu'ils parcourent les terres émergées, à l'image des immenses tours de glace que forme leur unique citée sur Tolonque : Trarn Leibos. La plupart des Merens ont élu domicile au fond des mers, où ils prennent la forme d'animaux appelé baleines.
 
Fo-rins (terre). Les Fo-rins sont de petits êtres facécieux et insaisissables, qui peuplent un endroit nommé "La vallée", dont la position incertaine, mais qui est connue pour être certainement l'un des plus beaux endroits sur Tolonque.  
 
Pégases / Wyverns (air). Ces deux races partagent le pouvoir de l'air. Longtemps considérés comme des animaux, ce n'est que "récemment" qu'ils ont reçu les honneurs qui leurs sont dus. Les Wyverns se sont alliés aux hommes du Nouvel Empire, lui apportant sa puissance, alors que les Pégases préfèrent conserver leur liberté.
 
 
Les races secondaires : ces races, plus récentes, sont associées aux éléments secondaires, c'est à dire ceux qui sont soit du côté de la vie, soit du côté de la mort. Ainsi, tous les membres de ces races, en fonction de leur élément, sont soit bons, soit mauvais...
 
Takrans (mort). Imposants, la peau grise, le regard profondément mauvais, la bouche ouvrant sur des crocs acérés qui prennent racine dans des gencives rouges sang... Les Takrans sont devenus une légende vivante pour leur cruauté au combat, et pour le plaisir qu'ils ressentent en faisant souffrir le moindre être vivant qui passe à la portée de leurs impitoyables griffes.
 
Gardiens (ordre). Les Gardiens sont très proches des humains (même physique, même espérance de vie...), outre le fait qu'ils sont un peu plus grands et plus forts, et qu'ils sont capables de parler à tous les êtres vivants de Tolonque. Ils  ont fondé la citée de Mellinale, ville d'art et de magie, et carrefour de civilisations.
 
Dalkirs [nom provisoire] (chaos). Les Dalkirs sont des êtres mi-hommes, mi-bêtes, sans foi ni loi, barbares recherchant seulement l'ivresse des combats. Ces êtres sont crains dans tout Tolonque, même par leurs propres chefs...
 
Lucis (lumière). Les Lucis sont aussi une race dérivée des Humains. Blonds, très blonds, les yeux bleus, les Lucis sont aussi très souvent considérés comme bien plus beaux, et plus portés sur les arts que les Humains. Malheureusement, ils sont de constitution fragile, bien plus vulnérables que les autres mortels aux maladies et au temps qui passe. La plupart des Lucis vivent en une terre nommée Karas, située bien au dessus de Tolonque, et reliée à celle-ci par l'immense palais de la Tour.
 
Nalars (bois). Les Nalars sont des êtres peuplant les profondes forêts septentrionnales de Tolonque, prenant la forme d'arbres. Très proches de l'élément du vent, certains d'entre eux se sont installés sur les Grandes plaines, prenant des formes humaines, mais profitant tout de même d'une espérance de vie avoisinant les 1500 ans. Les Nalars sont aussi les seuls êtres capables de dompter des Pégases (la déesse du vent, Branisia, est une Nalar).
 
Deretis (métal). Etres dérivés des Humains, dôtés d'un coeur de métal les rendant insensibles à la pitié, à la générosité et à tant d'autres sentiments qui auraient pu les faire pencher vers le bien. Mais leur coeur est si solide qu'il n'a pas été corrompu par le mal. Finalement, la seule chose qui intéresse les Deretis est l'or, l'appât du gain, et, talentueux forgerons, ils se sont vite alliés au Nouvel Empire.
 
Voilà pour l'instant la liste des races de Tolonque. Dès que j'aurais la carte sur mon ordi, j'en profiterais pour vous poster une description des pays de Tolonque, de leur rôle, ainsi que des "Sept Villes de Tolonque", les sept plus grandes / belles / importantes villes de mon univers ^^
 
N'hésitez pas à poster pour me faire part de vos impressions (et surtout de vos critiques.... constructives :jap: ).
 
 
 
Sujets suivants :
 
Description des royaumes de Tolonque : http://forum.hardware.fr/hardwaref [...] m#t8611396
 
Histoire d'Ervan :
http://forum.hardware.fr/hardwaref [...] m#t8655719


Message édité par Vareth le 12-06-2006 à 16:18:55
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Marsh Posté le 06-06-2006 à 19:50:41   

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Marsh Posté le 06-06-2006 à 21:40:22    

Influencé par Tolkien, à ce que je vois !

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Marsh Posté le 07-06-2006 à 12:26:32    

Skybabel : Quelles influences ? Dis-le-moi pour que j'essaye d'arranger ca ^^
 
 
Donc, malheureusement, je n'ai pas pu scanner la carte, mais je vais quand même vous faire un listing (rapide) des forces en oeuvre en ce monde :
 
 
Le Nouvel empire (anciennement Empire Tresvin) : Cet empire occupe est, sans conteste, la plus grande puissance de Tolonque (il occupe près du tiers de la carte). Créé par les Humains, il est, grâce aux Wyverns, le garant de la paix sur Tolonque, et lutte contre les Takrans et les Dalkirs (lol, c'est la première fois qu'un empire n'est pas méchant XD). Sa capitale est Vérisal, la citée aux mille arènes, une des 7 grandes citées de Tolonque. La dynastie impériale du Nouvel Empire descent directement d'Ynnas, dit le Karali, qui a, en l'an 1000 de l'Ancien Age, mené une longue guerre contre Ark-than, le dieu de la Mort, du Chaos, et de l'Ombre.
 
La Confédération Gaelline : Il ne s'agit pas d'un pays à proprement parler, mais plutôt d'une mosaïque de petits roayumes et de républiques, humains pour la plupart, alliés dans un but essentiellement mercantile. La capitale de la Confédération Gaelline est Ramiere, la plus importante et la plus peuplée des 7 grandes villes de Tolonque. La confédération est dirigée par le conseil des Doyens, réunissant les plus sages des chefs des petits royaumes la composant.
 
Tervithal : En ce royaume se côtoient Pégases et Nalars. Ceux-ci, partant des innombrables écuries de Vethin (encore une des 7 grandes citées ^^), patrouillent à l'orées des Bois de l'Ombre, afin de surveiller les éventuelles activités des Takrans vivant plus au nord.
 
Nautayelle : [Work in progress ^^]
 
Ifinn : Autrefois, Ifinn était un petit royaume d'humains, mais, peu avant le début de l'Ancien Age, il fut envahi par les forces d'Ark-than. Tous les habitants de ce royaume furent tués, puis devinrent des Lucis. Après la première défaite d'Ark-than, Ifinn devint un lieu de pélerinage, car c'était là qu'avaient vu le jour les formes incarnées de Miron, dieu de la lumière, et de Ryan, dieu du feu.
 
Monts de métal méridionaux : Ces montagnes, tirant leur nom de l'importante quantité de minerais qu'on y trouve, son le domaine des Deretis. Ceux-ci ont creusé de profondes galeries dans le roc, mais leur principale demeure est la citée de la Pointe d'Or, taillée au flanc même des immenses montagnes.
 
Ristitl : Terres désolées, où Ark-than a élu domicile. La citée de Mrakft, lieu peuplé de Takrans, de Dalkirs, et d'autres mortels ou animaux fidels aux forces du mal, est considérée, pour sa réputation, comme l'une des 7 grandes citées de Tolonque.
 
Tetseril (anc. Ithin) : Royaume frère d'Ifinn, Ithin était autrefois connu pour ses vertes collines, où la vie était simple et heureuse. Mais Ark-than envahit ces terres il y a bien longtemps, et les offrit comme fief à Nei-than, le plus fidel de ses serviteurs. En l'an 453 de l'Ancien Age, Nei-than, décidant d'aggrandir son fief, envahit le Bois aux Licornes, lieu où vivaient les Grands Nalars, souvent considéré comme le plus raffiné et le plus beau des peuples ayant jamais existé. La majeure partie de la population de Tetseril est composée de Dalkirs et d'Humains corrompus, et leur capitale est Kinaral, le sombre palais de Nei-than.
 
 
Autres grands lieux :
 
Mellinale : Construite sur la source de l'Alnil, cette citée, fondée par les Gardiens, sert de lieu de refuge et de repos pour toutes les créatures attaquées par Ark-than ou Nei-than. C'est aussi d'ici qu'est surveillé l'unique passage menant au sanctuaire du Val d'Eskendir, le plus sacré des saints lieux. Il s'agit là aussi d'une des 7 grandes citées de Tolonque.
 
Trarn Leibos, ou les Mille tours : Trarn Leibos est une citée de glace, maintenue froide par le pouvoir des Merens, seule construction qu'ils ont fait en dehors de l'océan. Nul mortel ne peut y pénétrer sans leur autoristion. Le nombre de Merens y demeurant y est inconnu : s'agit-il d'une immense citée, comme le prétendent certains, ou simplement d'un poste avancé ? Quoiqu'il en soit, sa splendeur et son mystère lui ont valu d'être classée parmi les 7 grandes citées de Tolonque.
 
Karas : Située loin au dessus de Tolonque, à l'intérieur même du Soleil, comme certains le prétendent, Karas est la terre réservée aux Lucis. De nombreuses gemmes y sont créées, là, au contact de la magie de la Lumière. Le Palais de la Tour, à la pointe méridionale de la Confédération Gaelline, est le seul lien entre Karas et Tolonque, mais seuls les Lucis ont le droit d'y pénétrer. Il est dit que ceux-ci sont libres de quitter Karas pour vivre sur Tolonque, mais que le chemin contraire est impossible, ou interdit.
 
 
Voilà, en espérant ne pas trop vous embêter avec mes pavés ^^ La prochaine fois, je commence à poster des nouvelles, afin de mieux décrire l'histoire de Tolonque et la relation entre ces divers royaumes...

Reply

Marsh Posté le 07-06-2006 à 12:42:16    

Vareth a écrit :

Voilà, en espérant ne pas trop vous embêter avec mes pavés ^^ La prochaine fois, je commence à poster des nouvelles, afin de mieux décrire l'histoire de Tolonque et la relation entre ces divers royaumes...


 
Bonjour,
 
pourquoi ne pas proposer tes nouvelles sur un site web dédié plutôt qu'à un forum ?  :)  
 
C'est dommage, pour peu qu'un mec suive tes nouvelles avec passion, pour peu qu'il loupe la visite du forum pendant 1 semaine et quand il revient, ce sera pour voir tes nouvelles noyées dans des flots de réponses en tous genres.
 
Ou un blog sinon ?


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Marsh Posté le 07-06-2006 à 12:59:16    

Bonne idée un site web ^^ Vu que je serais en vacances à partir de vendredi, donc, je pense commencer à prendre des cours sur LesiteduzerO (un site pour apprendre l'HTML).
Merci pour l'idée ^^

Reply

Marsh Posté le 07-06-2006 à 13:02:15    

Vareth a écrit :

Bonne idée un site web ^^ Vu que je serais en vacances à partir de vendredi, donc, je pense commencer à prendre des cours sur LesiteduzerO (un site pour apprendre l'HTML).
Merci pour l'idée ^^


 
J'veux rien imposer non plus hein, je donnais juste mon sentiment perso  :)
 
Pitet' que les habitués du forum vont m'envoyer bouler hein ? "hé t'es gentil l'Aricoh, mais va voarlabassijissuipa"
 
 :D


Message édité par Aricoh le 07-06-2006 à 13:03:03

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Marsh Posté le 07-06-2006 à 13:56:14    

Lol, t'imposes pas, je prends simplement tes bonnes idées pour me faire connaître ^^
 
Sinon, j'ai préparé l'histoire des nouvelles que je vais poster dans les prochains jours :
 
_L'histoire d'Ervan le Barde
_La prophètesse
_L'éveil des éléments (un peu longue, je la posterais en plusieurs fois surement)
_La trahison de Nei-than, ou la chute du Temple
 
Voilà pour le moment ce que j'ai prévu ^^ D'autres arriveront plus tard...

Reply

Marsh Posté le 07-06-2006 à 14:04:36    

Vareth a écrit :

_L'éveil des éléments (un peu longue, je la posterais en plusieurs fois surement)


 
D'où l'idée que sur un site web, tes nouvelles seront nettement plus à leur place  :)  
 
"L'Éveil des Éléments" va être coupée en x morceaux, avec plein de réponses noyant le tout


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Marsh Posté le 07-06-2006 à 15:46:29    

Bon sang j'ai déjà hate de lire !!!!

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Marsh Posté le 07-06-2006 à 18:01:13    

Je disais influencé par Tolkien, car tu crée un monde, propose une carte, crée des "races", un peu comme Tolkien, naguère, le fit.  
Je dis ça, je ne suis pas spécialiste d'héroïc-fantasy...
 
Le découpage en nouvelles plutôt qu'en un roman me fait penser à Lovecraft (pas dans la description d'un monde, mais dans le choix de l'écriture, du style)

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Marsh Posté le 07-06-2006 à 18:01:13   

Reply

Marsh Posté le 07-06-2006 à 18:10:15    

intéressant
je trouve aussi des ressemblances avec Tolkien (les Nalars me font penser aux Ents et/ou à Tom Bombadil, les Lucis aux elfes, les Deretis aux nains ), mais peut etre suis je trop influencé par ce dernier

Reply

Marsh Posté le 07-06-2006 à 22:40:45    

Aricoh : Lol, t'es un pressé ^^
 
Petit chou : Je vais essayer de faire aussi vite que possible ^^
 
Skybabel : Prends un roman d'heroic fantasy... Enlève le monde créé, la carte, les races... Tu as quoi ? Un livre documentaire sur la vie au moyen-âge :D  Ben oui, ce que tu as cité, c'est la base de l'HF ^^ (Enfin, comme je la considère moi :jap: )
 
Noldor : Tu y étais presque ! Certes, les Deretis ressemblent sont inspirés des Nains, mais je les considère comme plus proches de Golems... Quand aux Nalars, à la base, ils étaient un mélange d'Ents et de Dryades (pas d'Ents, ni de Tom Bombadil, qui est un je-ne-sais-trop-quoi...). Les Lucis, enfin, ne sont pas du tout les Elfes comme décrits par Tolkien. En effet, Tolkien considérait les Elfes comme plus résistants et endurants que les hommes (cf. Silmarillon), alors que, pour les Lucis, c'est le contraire...

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Marsh Posté le 08-06-2006 à 20:12:05    

Quand je dis influencé par Tolkien, c'est seulement dans le processus. Cette façon de créer minutieusement un monde, plutôt que de ne constituer que le strict essentiel pour une histoire m'en a fait déduire ceci.  
Tu peux écrire un roman d'HF sans pour autant dessiner des cartes précises, etc... Me comprends-tu ?

Reply

Marsh Posté le 09-06-2006 à 09:18:55    

AH ! Je comprends mieux maintenant  :D  
En même temps, je pense que Tolkien n'est pas le seul à avoir utilisé ce procédé... George Lucas n'a-t-il pas créé toute une galaxie pour Star Wars ?  
Et puis, comme disait un de mes anciens profs de français :
"Ecrire, c'est mentir vrai". Or, un mensonge détailé, avec de nombreuses allusions à une "réalité illusoire", ne paraît-il pas plus vrai qu'un mensonge vague, e sans environnement ?
 
Bon, je ne prétends pas non plus que cette idée me soit venue de façon totallement indépendante que ce qu'à fait notre ami John Ronald Reuel  :sarcastic:

Reply

Marsh Posté le 09-06-2006 à 18:57:51    

Vareth a écrit :

AH ! Je comprends mieux maintenant  :D  
En même temps, je pense que Tolkien n'est pas le seul à avoir utilisé ce procédé... George Lucas n'a-t-il pas créé toute une galaxie pour Star Wars ?  
Et puis, comme disait un de mes anciens profs de français :
"Ecrire, c'est mentir vrai". Or, un mensonge détailé, avec de nombreuses allusions à une "réalité illusoire", ne paraît-il pas plus vrai qu'un mensonge vague, e sans environnement ?
 
Bon, je ne prétends pas non plus que cette idée me soit venue de façon totallement indépendante que ce qu'à fait notre ami John Ronald Reuel  :sarcastic:


 
En même temps, George Lucas s'est largement inspiré (voir a copié) Le Seigneur des Anneaux

Reply

Marsh Posté le 12-06-2006 à 13:37:33    

Quoiqu'il en soit, vu l'ampleur de l'oeuvre de notre cher Tolkien, il est quasiment impossible d'échapper aux bases qu'il a fondé dans l'univers dit merveilleux...
 
Et voili voilou une petite (ou plutôt une grosse, vu la taille du pavé XD) surprise mes amis : L'histoire d'Ervan ^^ :bounce:  
 
Cette histoire se déroule il y a de cela de très longtemps, à une époque où Ark-than, Dieu de la Mort, de l'Ombre et du Chaos régnait encore seul sur ses trois trônes, et où les innombrables collines d'Ithinn venaient à peine de tomber ses le joug des immondes créatures qu'il avait créées dans les sombres cachots de son domaine.
 Or, il est dit dans les légendes que le vaillant peuple d'Ithin, sauvagement massacré par ces hordes de monstres, reçut en présent des dieux une terre bénie, du nom de Karas, et ils s'y épanouirent sous une nouvelle forme, appelée Lucis. Les Lucis étaient en tous points semblables aux Humains, outre le fait qu'ils étaient tous blonds, très blonds, que leurs yeux étaient bleus, et que leur peau était fine et très blanche. Il est aussi dit que les Lucis, bien que plus talentueux artistes que les Humains, étaient de constitution très faible, sensibles à de nombreuses maladies, et que les effets du temps étaient cruellement marquants sur leurs corps et esprits. C'est certainement pour protéger leurs faibles existences qu'à l'instant où ce nouveau peuple posait pour la première fois le pied sur Karas, cette terre fut élevée loin au dessus du continent de Tolonque, bien plus près de l'immense disque solaire, à un endroit où la magie emplissait tellement l'air que seuls des êtres nés dans la lumière, tels les Lucis, pouvaient vivre sans être détruits dans de profondes souffrance. Car c'était cette magie qui était la source de toute vie Lucis, mais aussi instrument de leur art : la confection de précieuses gemmes, bien plus pures et brillantes que celles que les Fo-rins, facétieux mais mystérieux peuple de la terre, extirpaient alors du roc, à l'aide de leurs habiles instruments.
 A cette époque, il existait parmi les Lucis une jeune princesse nommée Ellina, dont la beauté étaient seulement égalée par le nombre de ses prétendants, et chaque jour les voyait devenir plus nombreux. Mais aucun parmi ceux-ci ne l'aimait plus qu'Ervan. Ervan était un jeune Lucis, issu d'une lignée de moindre noblesse, et la pauvreté de son sang, pour lui, semblait s'être toujours élevée comme le plus insurmontable des obstacles entre lui celle qui hantait son cœur. Maintes fois il avait tenté de l'approcher, maintes fois il avait voulu lui révéler la nature du brasier qui le dévorait, mais chaque fois il échouait, abandonnant face aux intangibles remparts de faiblesse qui l'enfermaient chaque jour un peu plus.
 Abandonnant l'idée de ne jamais être pouvoir être heureux à ses côtés, Ervan tenta de l'oublier. Pour cela, il se consacra avec zèle à l'étude des arts Lucis, la composition de chants et la confection de gemmes. Mais chaque chant qui en son esprit fertile naissait n'avait d'autre but que celui de celui de louer l'infinie beauté d'Ellina, et chaque gemme qu'il créait, semblait, en son esprit, être destinée à être sertie par ses talents d'orfèvres sur un diadème ou un collier, afin de magnifier les doux trais de cette princesse parmi tant d'autres, mais unique reine du cœur d'Ervan.
Ainsi, malgré de nombreuses années de travail acharné, jamais Ervan ne put déloger Ellina de son cœur meurtri, et c'est pour cela qu'il prit une grave décision, qui allait conditionner le reste de ses malheureux jours : il allait s'imposer une douloureux exil en Tolonque, bien loin de sa Karas natale. Car strictes sont les lois qui régissent le peuple Lucis : n'importe lequel d'entre eux peut quitter Karas, et ce sans avoir à demander nulle autorisation à personne, mais ce voyage est à sens unique, et nul Lucis ayant posé le pied sur Tolonque, ayant embrassé du regard l'immensité de cette contrée peuplée par tous les autres mortels, ne peut retourner en la terre qui l'a vue naître, destiné à vivre à jamais parmi les innombrables dangers qui rôdent sur le continent. Cette loi, Ervan se résignait à l'accepter, espérant étouffer sa flamme d'amour en détruisant tout espoir de ne jamais revoir Ellina.
C'est pourquoi, un matin, ne prenant nul autre bagage que les douloureux souvenir de sa vie passée, il quitta Karas, et arriva en Tolonque, sur le territoire de ce qui devait plus tard être la puissante Confédération Gaelline, mais qui, pour le moment, était encore divisé en une complexe mosaïque de principautés éphémères et de républiques mercantiles. En, ce temps, le pouvoir d'Ark-than était encore faible parmi les mortels, même inexistant en dehors de ses deux fiefs de Ristitl et de Tetseril, et les nouvelles voyageaient vite entre les différentes contrées de Tolonque. Ceci permit à Ervan de s'abreuver goulûment des innombrables légendes qui composaient la fertile histoire de ces terres. Découvrant chaque jour de nouveaux contes, il réussit à oublier quelque peu le douloureux amour qu'il portait à Ellina, et bien vite il fut de nouveau heureux, jusqu'au jour où, signe de son funeste destin, il rencontra, dans une auberge, un homme qui lui révéla un des plus profonds secrets de Tolonque :
"Au nord d'ici, loin de toutes terres civilisées, perdus dans les plaines, se trouvent les hauts Monts de Métal, lieu où vivent des êtres nommés les Deretis. Ceux-ci sont certes peu accueillants, froids et méfiants, mais ils comptent parmi les plus anciens peuples de Tolonque, et, une fois qu'ils ont accordé leur confiance à un étranger, fait rare, ils lui révèlent alors les plus antiques et méconnues légendes de Tolonque, celles qui depuis maintenant des millénaires sont restées oubliées de tous, mais qui restent gravés dans leur mémoire aussi solide et durable que le roc. Si tu tiens réellement à connaître tous les secrets de ce monde, seuls eux pourront te les révéler…"
 Charmé par les paroles de cet inconnu, Ervan se mit de suite en route vers ces Monts de Métal. Longue et rude fut la voie qui le mena jusqu'aux contreforts de ces imposantes montagnes, mais il était poussé par une insatiable soif de connaissance, qui le dotait d'une volonté inébranlable. A l'instant où il atteignait son but, pénétrant dans les insondables abysses servant de demeures aux Deretis, il découvrit, avec une immense déception que nul était là pour l'accueillir. S'asseyant sur le sol froid et dur d'une sombre salle, il sortit une harpe, et improvisa le chant suivant :
"Long, dur et cruel fut mon voyage,
Afin de trouver ces êtres sans âge,
Qui, en leurs sombres repaires,
Gardent du monde les plus anciens mystères.
Longtemps j'ai désiré que me soient révélés
Chaque légende, chaque histoire, chaque secret
Pour cela, j'ai abandonné ma contrée, ma maison,
Laissant derrière moi mes souvenirs, ainsi que tous mes anciens compagnons…
Pour cela, j'ai longtemps parcouru le monde,
Affrontant la rage du vent, les lames de l'hiver, et la cruauté des ondes,
Pour cela, en une folle aventure je me suis laissé entraîner,
Cherchant au loin de mes désirs la clef,
Et j'ai cru qu'en ces lieux mes voyages allaient finir,
Mais, voici ! Nul n'est là pour m'accueillir !
Qu'en est-il de ces promesses, de ces serments,
Se pourrait-il que toutes ces histoires soient sans fondements ?
Se pourrait-il que l'on m'ait menti,
Me promettant que tous les secrets du monde se trouvaient ici ?
Mais, voici ! En cet endroit ne se trouvent qu'ombres et pierres,
En cette atmosphère silencieuse s'étouffent mes prières,
Et, alors que dans ce noir,
Perdu, peu à peu j'abandonne tous mes espoirs,
Je repense à la terre qui m'a vu naître,
Karas la belle, qui me fut volée par de Tolonque les illusions traîtres,
Karas ! Karas ! Joyau créé de la main des dieux,
Sertie de mille gemmes, haut, très haut dans les cieux,
Là où la vie est sans pareil,
Là où, sur le sol, comme en l'air se trouvent mille et une merveilles,
Là où se trouve la belle Ellina,
Ellina ! Toi qui mon cœur déchira,
Me forçant à cet exil,
Loin de toi, à la recherche de secrets futiles,
Pourquoi ne suis-je pas resté à tes côtés,
Peut-être un jour, la joie j'aurais trouvé,
Mais, maintenant, je suis en cette ombre,
La où mon cœur, dans le désespoir sombre,
Cherchant au loin une nouvelle quête,
Cherchant de quoi remplir ce vide, en mon âme et en ma tête,
Mais rien ne se profile à l'horizon,
Hors souffrances et lamentations…
Pourquoi ai-je un triste jour décidé de partir ?
Pourquoi de suis-je pas resté auprès de l'objet de mes désirs ?
A l'aventure ! Me disait-on ! A l'aventure !
Là, tu pourras oublier ta quotidienne torture,
Loin de celle qui te fait souffrir,
Face à l'immensité de Tolonque, tu retrouveras ton sourire !
Mais, maintenant, je sais que tous ces espoirs n'étaient qu'illusions,
Et il en devient d'autant plus dur de retrouver la raison,
Et, en ces mines perdues,
L'espoir à jamais semble s'être tu…"
 En réalité, les Deretis, craintifs et méfiants, et ce, malgré le fait que la nature les ait dotés d'un puissant corps, aussi robuste que le métal qui, selon les légendes, servit à leur confection, s'étaient cachés dans les plus profonds cachots de leur demeures, espérant ainsi échapper au danger potentiel que représentait cet inconnu. Mais, face au chant du Lucis, face à l'immense douleur qu'en chaque mot il exprimait, leur cœur, pour la première fois, connut la pitié, et, petit à petit, s'approchant à pas discrets et prudents, il l'entourèrent, partageant sa tristesse. A l'instant où les dernières notes de sa harpe s'évanouissaient dans l'ombre, le doyen parmi les Deretis s'avança, et dit à Ervan, d'une voix lente et gutturale :
"Jeune voyageur, nous ne savons qui tu es, nous ne savons d'où tu viens, nous ne connaissons pas cette terre du nom de Karas, et nous ne connaissons pas non plus les intentions de ses habitants, mais ton chant est résolument triste, et je ne peux croire qu'il soit tissé de mensonges. Si tu viens simplement chercher les plus anciens secrets de Tolonque, alors nous te les accorderons, car tu as acquis ma confiance, ainsi que celle de tous mes compagnons. Certes, nous ne sommes que de simples travailleurs du roc, du métal et du feu, mais, si tu estimes que les histoires de nos ancêtres aient quelque valeur qui soit, alors nous te les conterons toutes, du moins toutes celles que nos vieux esprits parviennent à retenir. Je me nomme Arlal, Arlal Lentmarteau, et je suis le chef de cette communauté."
 Ervan, face à ce discours, oubliant subitement sa douleur et son désespoir, resta un long moment immobile, envahi peu à peu par une indomptable vague de joie. Malgré le fait qu'il soit face à un être certainement deux fois plus haut que lui, large comme trois hommes, et dont la peau était aussi dure que le roc, il ne ressentait pas la moindre peur. Enfin, lorsqu'il put calmer ses ardeurs, il répondit à Arlal :
"Je me nomme Ervan, et je ne suis rien d'autre qu'un simple voyageur, à la recherche des secrets qui emplissent toutes ces pages d'ombres en la riche histoire des terres de Tolonque. Je vous suis gré de m'accorder votre confiance, et j'espère m'en montrer digne."
 Dès ce jour, Ervan, au contact des ces vieux êtres sages que sont les Deretis, apprit chaque jour plus de récits qu'il pouvait en imaginer, et, bientôt, nul lieu, nulle époque ne lui était inconnu. En échange, il enseignait à ses hôtes l'art de mettre leurs histoires en vers, et leur décrivait la beauté de Karas, et les coutumes du peuple Lucis. Cette amitié dura, sans connaître le moindre affaiblissement, ni même la moindre lassitude, car, bien que les Deretis ne l'accordent que très difficilement, elle est certainement le sentiment le plus pur et le plus intense que ne puisse jamais ressentir un mortel. Mais il arriva un jour où Vareth semblait avoir tout appris, il lui pensait maintenant connaître la totalité des histoires de Tolonque, et plus aucun secret ne lui restait caché. C'est alors qu'Arlal lui dit :
"Ervan, voici maintenant de nombreuses années que tu es parmi nous, et les contes qui te demeurent inconnus s'amenuisent chaque jour un peu plus. J'estime qu'il est temps, maintenant, en signe de notre amitié, que je te révèle le plus profond de tous les secrets que cachent ces montagnes : les mines à partir desquelles nous extrayons ces minerais qui nous sont si précieux. Car, toutes ces galleries que tu as vues ne sont là que pour nous servir d'habitations, et nous ne creusons pas leur roc à la recherche de nouvelles richesses. Ce que tu vas voir, nul autre mortel, en dehors de nous autres Deretis, ne l'a jamais vu, et il se passera certainement de nombreux siècles avant que tout autre ne puisse poser les yeux sur le plus précieux de nos trésors."
 Ervan eut du mal à cacher sa joie face à cette offre, qu'il accepta sur le champ. Quelques instants plus tard, il était déjà, en compagnie d'une dizaine de Deretis, au plus profond de leurs mines, observant tout leur talent en action pour réussir à extirper du roc le minerai qui allait par la suite être emmené dans leurs immenses forges. Infatigable, il parcourait chaque galerie, observait chaque geste, passionné par la moindre action de ses hôtes. On dit que les secrets qu'il aperçut alors comptent parmi les plus merveilleux de Tolonque, mais jamais il ne les révéla, et ils ne survivent plus maintenant qu'à travers la mémoire des Deretis.
Après de longues heures, Arlal donna le signal du départ, et l'assemblée se mit lentement en marche, ployant à peine sous les quintaux de minerai qu'ils venaient d'extraire. Sur le chemin du retour, ils passèrent par ce qu'ils nommaient la "chambre rouge", qui tenait son nom du fait que d'innombrables rubis étaient incrustés en ses murs. En ce temps, les Deretis accordaient peu de considération aux gemmes, les traitant même comme de vulgaires pierres, car ils ne savaient pas les tailler pour en magnifier la beauté. Ervan, apercevant cette opulence de pierres précieuses, emprunta le lourd pic d'Arlal, et, le maniant difficilement, finit par extirper de sa gangue de roc le plus gros rubis qu'il voyait. A peine arrivé aux galeries qui servaient d'habitations, Ervan s'enferma dans un atelier, et passa de nombreux jours et de nombreuses nuit à tailler cette gemme qu'il venait de trouver, enseignant à quelques Deretis parmi les plus habiles à user de leurs outils pour donner de gracieuses formes aux pierres précieuses qu'ils avaient, sur ses conseils, extirpées.
Une fois son travail achevé, Ervan observa son œuvre, et en fut fier, car il s'agissait du plus grand et du plus pur parmi rubis ayant jamais existé sur Tolonque, et jamais il ne sera dépassé par nulle autre gemme. Mais, à l'instant où son regard plongeait dans l'infinité de reflets de ce rubis, il se souvint de Karas, et d'Ellina, il se souvint de ces innombrables gemmes qui parsemaient chaque endroit de sa terre natale, et les anciennes blessures qui semblaient avoir cicatrisé se rouvrirent, faisant à nouveau souffrir son cœur. Et, alors que tous les Deretis l'applaudissaient pour son œuvre inégalable, Ervan, lui, souffrait en silence, car il ne pouvait plus effacer de son esprit les fantômes de son ancienne vie. Les Deretis voulurent organiser une fête en son honneur, mais, n'ayant pas le cœur à s'amuser, il refusa, et chercha à se réfugier dans la solitude.
Face à son désarroi, ses amis cherchèrent à le réconforter, mais nulle parole et nul acte ne pouvaient calmer sa douleur. Un matin, sans rien dire à personne, Ervan partit une nouvelle fois en exil, ne voulant plus faire porter à ses compagnons le lourd poids de son triste destin. Arlal seul l'aperçut, et il le suivit en secret. Ils voyagèrent loin et longtemps, jusqu'à atteindre la côte méridionale de Tolonque, là où Ervan avait pour la première fois posé le pied sur ce qui était devenu sa prison, et là, il se lamenta de nouveau sur son triste sort. Son ami révéla enfin sa présence, et, pour le réconforter, lui offrit toutes les gemmes qu'il avait pu emmener avec lui, mais aucun trésor ne pouvait réconforter ce cœur meurtri. Finalement, en dernier recours, Arlal partit chercher ses compagnons, et leur demanda de construire la plus haute des tours ayant jamais été, afin de créer une voie qui mènerait jusqu'à Karas Longs furent les travaux, mais les Deretis étaient de grands ouvriers, laborieux et peu nécessiteux, et, en l'espace de quelques années, ils avaient fini leur construction, qu'ils nommèrent "Palais de la Tour". Ce palais était immense, comptant d'innombrables pièces où étaient entreposés les larges trésors qu'Ervan leur avait appris à extraire du roc, mais aussi les plus belles œuvres qu'ils avaient forgé au long de leur vie, et, au sommet de la tour, se trouvait une unique chambre, où trônait le rubis, qu'Ervan, en sa grande souffrance, avait nommé Ellina. Malheureusement, malgré le fait que cette tour atteigne les plus hauts firmaments, aucune pierre n'était assez solide pour résister aux conditions qui régnaient aux abords de Karas, et jamais cette construction ne permit de faire un lien entre ces deux terres. Ervan, se tenant au sommet de la tour, d'innombrables jours à observer au loin cette île flottante qu'il aimait tant, cherchant désespérément à voir Ellina une fois de plus, mais jamais il n'y parvint, et cette histoire ne dit pas ce qu'il est advenu de cette princesse à la beauté légendaire. Sentant ses derniers jours arriver, Ervan, dans une ultime tentative, bondit en direction de Karas, espérant y passer ses derniers jours en compagnie de ceux qu'il avait aimé. Y est-il parvenu ? A-t-il réussi à contourner la plus rigide des lois régissant le peuple Lucis ? Nul ne le sait.
Par la suite, le Palais de la Tour devint un lieu de rendez-vous non seulement pour tous les Lucis, mais aussi pour tous ceux qui souhaitent se recueillir et honorer le souvenir de ce Lucis, qui, malgré les souffrances qu'il avait enduré au long de sa vie, avait réussi l'un des plus grands exploits ayant été jamais réalisé par un mortel : celui d'attendrir le cœur des Deretis, et de leur faire oublier un temps leur soif de richesse. Et l'on dit que, depuis, ceux qui gravissent la Tour, peuvent entendre ses douloureuses plaintes, et que le joyau Ellina porte encore les marques des larmes qu'il a versé en le contemplant durant les derniers instants de sa vie.

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Message édité par Vareth le 12-06-2006 à 16:54:38
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Marsh Posté le 12-06-2006 à 13:39:19    

stuveu une bonne histoire tu rajoute une grotte enfoui dans une montagne avec des artefact technologiques oublié de tous :love:

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Marsh Posté le 12-06-2006 à 13:42:51    

le background du monde est agréable et bien trouvé.
j'ai parcouru rapidos la nouvelle et je la trouve pénible à lire.
Certaines phrases sont tres lourdes et maladroites
 
ex: " En réalité, les Deretis, craintifs et méfiants, et ce, malgré le fait que la nature les ait dotés d'un puissant corps, aussi robuste que le métal qui, selon les légendes, servit à leur confection, s'étaient cachés dans les plus profonds cachots de leur demeures, espérant ainsi échapper au danger potentiel que représentait cet inconnu."
 
"Découvrant chaque jour de nouveaux contes, il réussit à oublier quelque peu le douloureux amour qu'il portait à Ellina, et bien vite il fut de nouveau heureux, jusqu'au jour où, signe de son funeste destin, il rencontra, dans une auberge, un homme qui lui révéla un des plus profonds secrets de Tolonque : "
 
mais y a du potentiel  :)  
 
Autre critique, certaines descriptions font un peu gamines (les morts avec leur regard méchant  :love: )


Message édité par Sebounette2 le 12-06-2006 à 13:46:15
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Marsh Posté le 12-06-2006 à 13:52:51    

:sol:

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Marsh Posté le 12-06-2006 à 13:53:38    

Vous pouvez enlever les caps en trop...

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Marsh Posté le 12-06-2006 à 16:07:05    

totoz :  :sarcastic:  
 
sebounette2 : Ben, je vais essayer pour la prochaine nouvelle de faire un peu moins lourd. Normalement, ca devrait aller de mieux en mieux, vu que, pour le moment, je dois décrire absolument tous les lieux/persos, alors que plus tard, je me contenterais d'une rapide citation... Sinon, j'ai modifié la description des Takrans, si tu en voies d'autres, fais-moi signe  :hello:  
 
totoz :  :ange:  
 
Bresse : J'a pas tout pigé  :pt1cable:

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Marsh Posté le 12-06-2006 à 16:13:04    

Les majuscules du titre du topic...

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Marsh Posté le 12-06-2006 à 16:18:23    

Ok, je le fais tout de suite ^^

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Marsh Posté le 12-06-2006 à 16:28:35    

Vareth a écrit :

Or, malgré que chaque jour les voyait devenir plus nombreux, aucun parmi ceux-ci ne l'aimait plus qu'Ervan.


 
:/

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Marsh Posté le 12-06-2006 à 16:30:33    

ça fait mal aux oreilles "malgré que" !
cf. http://www.langue-fr.net/index/M/malgre-que.htm
voir aussi http://www.synapse-fr.com/manuels/MALGRE.htm
 
<mode pédant="on">
et il devrait être suivi du subjonctif
</mode>


Message édité par noldor le 12-06-2006 à 16:31:53
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Marsh Posté le 12-06-2006 à 16:56:44    

J'ai essayé d'arranger du mieux que je pouvais, mais vous êtes quand même pointilleux :D
 
EDIT : Pour la prochaine nouvelle, je vais commencer par l'Eveil des éléments au lieu de faire La prophétesse...
Ces deux histoires s'entrecroisent, et cet ordre me permettra de faire moins de répétions...


Message édité par Vareth le 12-06-2006 à 17:01:15
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Marsh Posté le    

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